Les Filles aux mains jaunes porte un nouveau regard sur la Grande Guerre, en retraçant à travers elle l’histoire de l’émancipation féminine.

1914. Julie, Rose, Jeanne et Louise travaillent dans une usine d’armement. On les appelle les obusettes, ou encore les filles aux mains jaunes car la manipulation quotidienne des substances explosives colore durablement leurs mains et leurs cheveux. Livrées seules à leur destin car tous les hommes sont partis au front, dans l’enfer de l’arsenal, empoisonnées chaque jour par cette poudre jaune, payées deux fois moins que les hommes, elles vont participer sans le savoir à l’émancipation féminine et militer pour les droits des ouvrières.

« (…) Autour d’une condition très souvent passée sous silence, un texte très émouvant, aux accents de vérité, dans la tradition d’un théâtre social réussi, et quatre beaux portraits de femmes qui nous apprennent à les aimer pour toutes ces valeurs que les hommes, trop souvent, négligent. »
Gilles Boulan
(comité de lecture du PantaThéâtre, Caen)

Théâtre – Cie Dynamo Théâtre / Créadiffusion

Tarif B
Durée : 1h20
Spectacle conseillé à partir de 10 ans

BILLETTERIE EN LIGNE

Texte : Michel Bellier
Mise en scène : Joëlle Cattino
Lumières & scénographie : Jean Luc Martinez
Costumes : Camille Levavasseur
Musique : Dominique Lafontaine
Distribution: Valérie Bauchau (Rose), Céline Delbecq (Louise), Anne Sylvain (Jeanne), Blanche Van Hyfte (Julie)
Co-production : Théâtre municipal de Esch-sur- Alzette (Luxembourg) ; Théâtre Le Public (Bruxelles) ; Théâtre Le
Sémaphore ; Théâtre de Grasse ; La Chartreuse – Villeneuve-les-Avignon ; Théâtre des Doms, Éclats de scènes.
Avec le soutien de : la Drac PACA, la Région Provence- Alpes-Côte-d’Azur, la ville de Marseille, la fondation Beaumarchais/SACD, l’Adami, la Spedidam, la Mission du Centenaire, le département du Pas de Calais.
Le spectacle est labellisé « Mission du Centenaire ».

Cet article a été modifié pour la dernière fois le 26 octobre 2018 à 10:20