Expressions libres 2024

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Le tourisme, un atout pour les Saint-Rémois

C’est une réflexion, sur le ton du reproche, que l’on nous fait régulièrement lorsque nous achevons un projet : « vous faites tout pour les touristes et rien pour les Saint-Rémois ». Qu’en est-il vraiment ?

En tant que décideurs et gestionnaires de la commune, nous ne négligeons évidemment aucun public, les habitants comme nos visiteurs méritant toute notre attention.

Ainsi, lorsque l’on réhabilite une voie, comme l’avenue Durand- Maillane, on modernise les réseaux souterrains qui distribuent l’eau et l’électricité aux habitants, on rénove la chaussée pour le confort des automobilistes qui y circulent (même en saison basse !), on aménage des voies cyclables et des cheminements piétons pour faciliter les déplacements et offrir des alternatives à la voiture dans la vie quotidienne de tous. Et si une belle avenue est agréable à la vue des touristes en haute saison, elle ne l’est pas moins pour les Saint- Rémois toute l’année !

Autres exemples : lorsque l’on rénove la collégiale Saint-Martin, la priorité est de sauvegarder le patrimoine remarquable qui caractérise notre commune et son histoire. Idem lorsque l’on prend des mesures pour protéger les milieux naturels, comme le lac de Barreau, le lac de Peiroou et les Alpilles en général. Par ailleurs, pour faire vivre notre commune toute l’année, nous soutenons fortement les associations locales, et organisons une saison culturelle qui se déroule principalement hors saison.

Le cadre et la qualité de vie que la municipalité s’attache à améliorer constamment, et dont nous bénéficions à l’année, font envie ; c’est cela que viennent trouver à Saint-Rémy ses nombreux visiteurs. C’est pour les accueillir dignement et chaleureusement, mais aussi pour favoriser la meilleure cohabitation avec les habitants, en toute sécurité que nous entretenons les infrastructures et optimisons le service public rendu.

Le tourisme est enfin un pan important de l’économie locale. Attirer, accueillir et prendre soin de nos visiteurs fait vivre un grand nombre d’entreprises et fait de Saint-Rémy une ville extrêmement dynamique, où l’on ne trouve aucun rideau baissé contrairement à d’autres communes proches.

Loin d’opposer les uns et les autres, nous avons conscience que tout le monde, Saint-Rémois et visiteurs, bénéficie d’une ville agréable et attractive.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Mobilité: où va-t-on ?

La question des déplacements est au cœur des préoccupations des Saint-Rémois. Et, pour l’instant, force est de constater que nous n’y voyons pas très clair.

En 2021, la municipalité commande, pour un coût de 70 000 euros, une étude sur la mobilité à Saint-Rémy. Au terme de plusieurs mois de travail, un document avec préconisations et propositions est remis à la même municipalité sans que l’on sache vraiment quelles conclusions celle-ci en tire.

Or, dans notre esprit, cette étude aurait dû déboucher sur un plan de déplacements cohérent, lequel aurait permis d’inscrire les rénovations des principales artères de Saint-Rémy (Libération, Durand-Maillane, Gleizes/Fauconnet) dans une démarche plus globale.

Qui dit déplacement, dit aussi stationnement. Là encore, on regrette le manque d’anticipation par exemple sur la rénovation de l’avenue Fauconnet qui va impliquer la suppression de 35 places sans qu’aucune alternative ne soit prévue. Ce point a été particulièrement souligné par les riverains et les commerçants lors de la réunion publique du 3 avril dernier, sans qu’une véritable réponse ne soit apportée par la municipalité.

Dans ce plan de déplacement, nous pourrions imaginer le déploiement de navettes à l’image de celle qui circule l’été les jours de marché.

Par exemple, à Apt (commune de 11 800 habitants), deux navettes électriques circulent gratuitement tous les jours pour permettre les déplacements à l’intérieur de la ville. Pourquoi ne pas s’en inspirer à Saint-Rémy ?

Toujours concernant la mobilité, à l’approche de l’été et de l’arrivée des nombreux touristes dans notre commune, il serait indispensable de mettre en place une véritable signalisation des parkings existants.

A Cassis, commune touristique comme Saint-Rémy, la municipalité a mis en place, à l’entrée de la ville, des panneaux qui indiquent en temps réel les places disponibles dans les différents parkings. Ainsi cela permet de diriger les automobilistes vers les bons endroits sans qu’ils passent un temps infini à chercher une place. Pourquoi ne pas s’en inspirer à Saint-Rémy ?

Dans le même esprit, il serait opportun de faire davantage respecter les horaires de livraison, sur les boulevards du Cours et dans les rues du centre village. Cela permettrait d’apaiser les déplacements au sein de notre commune.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Pendant qu’ils commentent, nous construisons

L’année 2024 est une année importante de notre mandat, dans la mesure où de nombreux projets portés de longue date entrent ou vont entrer en chantier : construction de la piscine couverte, restauration intérieure de la collégiale, végétalisation de la cour de l’école de la République, construction de 152 logements aux Cèdres, requalification de l’avenue Fauconnet…

Bien sûr, comme tout chantier, ceux-ci occasionneront quelques perturbations, qu’il s’agisse de bruit ou d’impact sur la circulation ou le stationnement. Et bien sûr, comme pour chaque projet, certains viendront nous dire qu’il aurait fallu les mener autrement, qu’il aurait fallu faire plus, plus vite et moins cher, qu’il aurait fallu concilier l’inconciliable, ou qu’il y avait d’autres chantiers plus urgents à faire, ailleurs et avant (rayez la ou les mention(s) inutile(s)).

Évidemment, nous sommes conscients que lorsque nous lançons la rénovation d’une avenue ou d’un parking dans un secteur de la ville (par ex : av. Durand-Maillane ou Fauconnet, parking de la Libération ou Jean-Jaurès), cela suscite des attentes ailleurs (par ex : av. Frédéric Mistral ou Schweitzer, parking de la Gare). Et même si dans l’absolu nous aimerions nous aussi pouvoir y répondre, il n’est tout simplement pas possible de tout faire en même temps : ces chantiers sont très coûteux (1 million d’euros par tranche annuelle en moyenne),
tiennent compte des rythmes annuels (pas de travaux de mai à octobre ni en décembre) et impliqueraient de fermer plusieurs axes de circulation à la fois, ce qui bloquerait complètement la ville (donc quand l’opposition écrit qu’elle aurait rénové l’intégralité du Cours en 4 ans, c’est totalement irréaliste).

Il faut prendre conscience qu’avec un investissement record à Saint- Rémy, 3 fois supérieur à la moyenne des communes de même strate, nous développons nos infrastructures et nos équipements à un rythme extrêmement soutenu. En regardant en arrière, nous constatons combien le visage de Saint-Rémy s’est transformé ces dernières années : rues du centre ancien, ch. de la Combette, av. de la Libération et Pellissier, parking de la Libération, zone de la Gare, Alpilium… (voir notre bilan de mi-mandat) ont considérablement augmenté l’attractivité de la commune, au grand dam des prophètes du déclin.

Les chantiers prévus vont avancer, les élus, les agents municipaux et les entreprises seront à l’écoute des habitants. La patience paie, et nous tenons à remercier les Saint-Rémois pour la leur.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Fauconnet-Gleizes: un projet qui mérite d’être amélioré et approfondi

Si nous sommes évidemment favorables à la rénovation des avenues Fauconnet et Albert Gleizes, inscrite dans notre programme électoral en 2020 et en 2022, le projet appelle quelques réflexions de notre part.

D’abord, dans la méthode, nous aurions souhaité qu’il soit vraiment coconstruit en amont avec les Saint-Rémois habitant et travaillant sur ses deux avenues.

Cela aurait permis de tenir compte au plus près de leurs besoins, de leurs attentes et de leurs propositions.

D’autre part, la réunion publique du 3 avril a bien fait l’objet d’une communication sur les réseaux sociaux et dans le journal municipal.

Mais il aurait été opportun d’organiser une distribution dans les boîtes aux lettres de l’invitation dans tout le quartier, afin de sensibiliser tous les Saint-Rémois concernés.

Nous pensons notamment aux Saint-Rémois qui habitent Route du Rougadou et Chemin de Barrielle car ces deux voies vont être impactées par les travaux car elles sont amenées à passer en sens unique.

Si le projet va permettre d’embellir et de sécuriser l’entrée ouest de notre commune, il mérite d’être amélioré et approfondi dans son contenu.

Trois points, qui font partie des réserves que nous avions émises lors d’une réunion en mairie en février, ont été particulièrement débattu lors de la réunion publique :

  • la suppression de 35 places de stationnement avenue Fauconnet sans que ce ne soit envisagé d’alternative.
  • L’hypothèse (non retenue) du passage en sens unique de l’avenue Fauconnet afin de fluidifier la circulation sur cette voie très étroite.
  • L’absence de prolongement de la rénovation de l’avenue Albert Gleizes depuis le panneau Saint-Rémy jusqu’à la RD 99. Cette partie de voirie appartient au Conseil Départemental. Pourquoi ne pas négocier dès maintenant avec celui-ci sa rétrocession ?

Enfin, cette requalification aurait dû s’intégrer dans une démarche plus globale et dans un véritable plan de déplacements.

Un plan nécessaire pour envisager une organisation cohérente des déplacements et du stationnement dans notre commune.

D’ailleurs, l’étude sur la mobilité commandée par la municipalité en 2021 aurait dû permettre la définition d’actions pour améliorer les déplacements et le stationnement.

Cette vision d’ensemble sur la mobilité qui doit guider la politique municipale, nous l’attendons toujours.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Un mandat inédit, une équipe renforcée

Figure quasi imposée dans notre travail et notre vie d’élus locaux, le bilan de mi-mandat est toujours un exercice passionnant et en l’occurrence, en ce qui nous concerne, très valorisant.

En obligeant à prendre une respiration et un peu de recul dans un quotidien et un calendrier extrêmement chargés, il permet en effet de porter un regard objectif et transparent sur les actions menées ces dernières années, afin d’en mesurer toute l’étendue et l’avancement.

Il va sans dire que la période 2020-2024 a été inédite à Saint-Rémy. D’abord, il faut se rappeler qu’en 2020, fait unique dans l’histoire de la Cinquième République, les deux tours de l’élection municipale ont eu lieu à plus de 3 mois d’écart en raison de la crise Covid. Ensuite, le recours déposé par nos opposants et l’annulation de l’élection en novembre 2021 ont prolongé un climat de tension politique épuisant pour les Saint-Rémois, avec en point d’orgue la gestion de la ville par une délégation spéciale pendant près de 3 mois et une nouvelle élection fin janvier 2022.

Mis bout-à-bout, ces contretemps ont évidemment eu un impact important sur la conduite des projets, les procédures règlementaires (recherche de financements, appels d’offre…) s’accommodant guère des turbulences administratives et électorales.

Ils n’ont cependant entamé ni notre détermination ni notre efficacité, comme en témoignent les innombrables projets lancés et/ou achevés, dans tous les domaines de votre vie quotidienne.

Les nouveaux défis qui se sont dressés sur notre route fin 2021 et début 2022 (explosion du prix de l’énergie, guerre en Ukraine, inflation) ont encore compliqué les choses, exigeant sang-froid et rigueur pour maintenir à la fois le cap de notre programme et le cadre budgétaire. Sans nul doute, notre grande expérience de la gestion municipale permet que Saint-Rémy et ses habitants restent à ce jour plutôt préservés du fracas du monde.

Nous tenons à exprimer toute notre gratitude pour votre soutien et votre confiance dans notre capacité à protéger notre cadre de vie et à gérer au mieux les affaires communales, dans l’intérêt général, au bénéfice de tous les Saint-Rémois.

Il reste maintenant 2 ans avant le prochain scrutin municipal ; d’ici là nous continuerons à travailler sans relâche pour, avec vous, défendre notre histoire et construire un avenir meilleur.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Ce que nous aurions fait en quatre ans

Il y a quelques mois, dans un précédent numéro de ce journal municipal, nous avions déjà pris le temps d’établir un bilan de l’action de la municipalité à mi-mandat.

Aujourd’hui, nous souhaitons vous faire partager ce que nous aurions entrepris si nous avions eu l’honneur d’administrer notre commune depuis 2020.

Nous sommes convaincus que la réussite de Saint-Rémy repose sur une approche véritablement participative, plus dynamique, dans laquelle chaque Saint-Rémois est engagé.

Voici quelques-uns des projets concrets que nous aurions menés à bien, en lien direct avec les attentes exprimées par les Saint-Rémois aux élections municipales :

  • La réhabilitation de logements, à des prix abordables et maîtrisés par la mairie, dans le centre-ville, spécialement conçus pour les jeunes actifs et les familles de Saint-Rémy
  • La rénovation du Cours pour le rendre plus agréable et plus apaisé en améliorant la voierie, en renforçant la propreté, en végétalisant l’espace public, en mettant en place des colonnes enterrées pour les déchets, en favorisant les déplacements doux sécurisés…
  • Le réaménagement du parking de la Gare absolument indispensable car régulièrement en mauvais état
  • L’extension du COSEC pour permettre la pratique de nouvelles disciplines sportives, ce qui n’est pas possible avec l’équipement existant
  • La réalisation d’un pumptrack (BMX, roller, skate, trottinette, VTT) pour les moins de 10 ans
  • L’organisation de véritables festivités de Noël en collaboration étroite avec les commerçants et les associations (animations pour les enfants, arrivée du Père Noël, patinoire, concerts…)
  • La création d’un centre de supervision urbain dans les locaux de la police municipale pour visionner en temps réel les images des caméras de vidéoprotection
  • Une programmation plus ambitieuse et plus accessible à l’Alpilium, avec des évènements culturels variés et en mettant en avant des artistes populaires

En parallèle de ces actions, nous aurions également instauré une nouvelle méthode privilégiant la concertation et la proximité.

Nous aurions créé des comités de quartiers pour favoriser un dialogue régulier et approfondi entre les élus et les Saint-Rémois, tout en impliquant toute la population dans la prise de décision pour façonner ensemble l’avenir de notre commune.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Budget 2024 : investissement record et fiscalité stable

Comme la loi l’impose, les communes sont amenées à voter leur budget avant le 15 avril de chaque année. Et comme le veut la procédure, ce vote est précédé d’un débat d’orientation budgétaire. Celui-ci a été lancé lors du conseil municipal, lors duquel le maire a présenté les grandes lignes du budget 2024 que l’on peut résumer en quelques mots : malgré un contexte économique mondial qui se durcit, la bonne santé financière de la commune permet de programmer un investissement record, des impôts qui n’augmentent pas et une dette stable. Le fruit d’une excellente gestion depuis des années, contre vents et marées.

En 2024, plusieurs facteurs sur lesquelles nous n’avons pas de prise directe nous semblent défavorables : des prix de l’énergie et des taux de marchés financiers élevés, des frais de personnel en hausse en raison de nouvelles obligations règlementaires (au bénéfice du pouvoir d’achat des agents municipaux), et des recettes provenant des droits de mutation en baisse, liées au ralentissement du marché immobilier, observé dans toute la France.

Malgré cela, les recettes restent largement suffisantes pour absorber nos dépenses qui sont celles d’une ville touristique surclassée démographiquement par l’État depuis 2021 (environ 20 000 habitants), et aussi celles d’une ville-centre d’intercommunalité rurale. Et bien
que l’excédent dégagé en 2023 soit moins élevé qu’en 2022, il reste exceptionnel (bien des maires en rêveraient !) et devrait permettre d’investir massivement pour l’avenir de la commune et des Saint- Rémois.

Investir dans l’avenir

Au premier rang de ces investissements figure bien évidemment la piscine couverte tant attendue par les Saint-Rémois, dont le chantier démarre ce mois-ci pour une durée de 14 mois environ. Figurent également la rénovation des voiries (av. Durand-Maillane et Fauconnet), la restauration intérieure de la collégiale Saint-Martin, et bien entendu des projets de transition énergétique, indispensables pour atténuer les effets de la crise écologique en cours.

Pour la 13ème année consécutive, vos impôts n’augmenteront pas ; il faut rappeler à quel point c’est une prouesse, compte tenu de toutes les épreuves que les communes ont traversé depuis ! (baisse des dotations de l’État, Covid, guerre en Ukraine…)

Quant à la dette, contrairement à ce qu’on peut lire ici ou là, celle-ci reste saine et maîtrisée.

Rendez-vous au conseil municipal du 26 mars prochain en salle d’honneur de la mairie pour le vote !

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Retour sur le débat d’orientations budgétaires

A l’occasion du débat d’orientations budgétaires au conseil municipal du 6 février dernier, nous avons exprimé notre vigilance sur plusieurs points importants.

D’abord il est intéressant de comparer Saint-Rémy aux communes de même strate (entre 5000 et 10 000 habitants).

Ainsi, selon les chiffres de la Direction Générale des Finances Publiques pour 2022, les charges de fonctionnement sont très élevées pour une commune de cette strate. Dépenses par habitant : 1662 euros à Saint-Rémy contre une moyenne à 1104 euros.

Selon la même source, l’encours de la dette est supérieur à celui des communes de la même strate : 1 195,00 euros/habitant à Saint-Rémy tandis que la moyenne est de 763,00 euros/habitant.

Sur l’investissement, les clignotants virent parfois au rouge.

Notamment sur la piscine. Il y a dix ans, au moment où le dossier était soumis au Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône, le projet de piscine couverte était évalué à 5,1 millions d’euros.

Aujourd’hui, ce sont près de 9 millions d’euros qui sont inscrits en autorisation de programme par la majorité municipale dans ces orientations budgétaires !

Toujours s’agissant de la piscine, nous savons toujours pas comment elle fonctionnera ni quel sera son impact réel sur nos finances communales.

« Aucun problème ! », nous a répondu le Maire évoquant le chiffre de 500 000 euros de frais de fonctionnement annuels sans même savoir qui va la gérer en délégation de service public (DSP). En effet, cette procédure de DSP actée en conseil municipal en juillet 2021 n’a toujours pas été lancée.

Le même flou entoure le contenu de certaines dépenses prévues.

Par exemple, sur les travaux dans les écoles, « hors transition écologique », demandés par la communauté éducative et qui s’avèrent nécessaires à l’Argelier, à Marie Mauron et à la République.

Par exemple, sur « les ajustements » du Plan Local d’Urbanisme, en clair la modification du PLU lancée il y a déjà trois ans en conseil municipal et qui a fait l’objet d’un changement de bureau d’études.

Nous ne pouvons que constater les perspectives de moins en moins favorables pour notre commune, si l’on considère à la fois les lourds investissements prévus, les charges de fonctionnement toujours plus importantes et des recettes en nette baisse, notamment sur les droits de mutation (liés au marché de l’immobilier).

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

La démocratie participative au cœur de notre action

Depuis plusieurs années, la municipalité est engagée dans une démarche active de démocratie participative qui donne un rôle essentiel aux habitants.

Depuis environ 2 décennies, en effet, les citoyens cherchent à s’exprimer par d’autres moyens que lors des rendez-vous électoraux ; ils veulent s’impliquer autrement, être associés, donner leur avis. Un besoin de citoyenneté renouvelée, auquel nous avons répondu en leur donnant la possibilité de travailler avec nous, de comprendre les choix qui sont faits, de découvrir les contraintes (techniques, financières, réglementaires…) qui sont celles des décideurs, de proposer des projets, de se confronter à la réalité d’intérêts ou de problématiques parfois contradictoires, qu’il faut pourtant arbitrer ou concilier.

La démocratie participative, ça ne se décrète pas ; ça s’apprend et ça se construit sur le temps long. Du côté de la municipalité, en mettant en œuvre les bons outils, comme du côté du public, en prenant le temps de s’en saisir.

C’est ainsi que selon l’adage bien connu « tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin », nous associons au quotidien des Saint- Rémois de tous âges au travers de dispositifs aussi variés que :

  • le budget participatif, créé en 2021, qui a déjà permis de sélectionner 23 projets proposés par les administrés ;
  • la concertation exemplaire autour du projet de « renaturation » des cours d’école, associant tous les usagers concernés (enfants, équipe pédagogique, agents d’entretien…), et récompensée lors des Trophées de la participation et de la concertation en novembre dernier à l’Assemblée nationale ;
  • les ambassadeurs du goût, ces jeunes enfants qui participent à l’élaboration des menus de cantine scolaire ;
  • le Conseil local de la vie associative (CLVA), qui depuis la rentrée fait l’interface entre la mairie et les associations ;
  • l’appli mobile qui permet à tous de faire remonter des désordres constatés sur la voie publique ;
  • la participation du public pour identifier les objets des collections du musée des Alpilles…

À l’opposé du partage compulsif de publications souvent polémiques et non vérifiées sur les réseaux sociaux, pratique qui en vérité nuit au débat public, l’exercice de la démocratie participative est pédagogique et responsabilisant ; il permet de prendre réellement part à la vie publique, en échangeant de façon argumentée et apaisée pour parvenir à des réalisations concrètes.

C’est aussi l’objectif que nous poursuivons.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Meilleurs vœux pour l’année 2024 à Saint-Rémy et aux Saint-Rémois !

En ce début d’année 2024, nous vous présentons nos meilleurs vœux.

Que cette nouvelle année vous apporte bonheur, santé et joie, ainsi qu’à tous vos proches.

Pour toute l’année 2024, notre engagement envers vous demeurera constant, avec une écoute attentive et une proximité permanente.

Nous resterons à vos côtés pour vous aider de la meilleure manière possible.

Fidèles à notre engagement pris dès le début du mandat, nous continuerons de porter votre voix et d’être force de propositions dans l’intérêt de tous les Saint-Rémois.

D’ailleurs, la fin de l’année 2023 a été marquée par deux avancées significatives qui correspondent à ce que nous proposions depuis longtemps.

Sur le logement, la commune a lancé en octobre l’étude préalable d’une « opération programmée d’amélioration de l’habitat et de renouvellement urbain » (OPAH-RU). Cela fait plusieurs années que nous demandions l’instauration de ce dispositif qui vise à inciter les propriétaires du centre ville à améliorer ou à réhabiliter les logements existants, pour y habiter à l’année ou les proposer à la location (non saisonnière).

La rénovation urbaine de notre centre ville est un enjeu majeur pour l’avenir de Saint-Rémy. Elle constitue l’une des réponses à la demande de familles Saint-Rémoises qui veulent rester dans notre commune mais qui ne le peuvent pas faute de logements disponibles et accessibles à des prix raisonnables.

D’autre part, sur la sécurité, nous avons voté au conseil municipal de décembre la mise en place d’un dispositif de participation citoyenne avec la gendarmerie. Il s’agit de faire participer les Saint-Rémois à la sécurité de leur quartier, avec l’appui et sous le contrôle de l’Etat. Cette mesure va dans le sens du dispositif « Voisins Vigilants » inscrit dans nos programmes électoraux de 2020 et 2022.

Une mesure nécessaire puisque Saint-Rémy connaît une recrudescence des cambriolages. C’est pourquoi nous avons proposé à ce même conseil municipal, sans être malheureusement entendus, l’accélération du déploiement des caméras de vidéoprotection, la création d’un Centre de Supervision Urbain pour visionner les images captées par ces mêmes caméras, et le renforcement des moyens alloués à notre police municipale.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expressions libres 2023

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

La minute pédagogique : pourquoi on manque de logements

Hervé Chérubini est le maire qui a accordé le plus de permis de construire dans l’histoire de Saint-Rémy, avec une moyenne de 77 logements créés chaque année depuis 2005. Pour autant, le manque de logements, qui affecte de très nombreuses communes, avec des conséquences pour les particuliers, les professionnels et les collectivités, nous touche aussi fortement : augmentation du prix de l’immobilier, impossibilité pour certains de rester vivre à Saint-Rémy, fermeture de classes, difficulté pour les entreprises de recruter du personnel… Mais comment en est-on arrivé là ?

La thématique du logement est particulièrement complexe car elle dépend de plusieurs facteurs sur lesquels les collectivités, à qui on demande de tout résoudre, ont en réalité assez peu de prise. Saint-Rémy n’y échappe pas :

  • La décohabitation a pris une forte ampleur ces dernières décennies : il s’agit du phénomène sociologique par lequel des personnes d’un même foyer (typiquement des couples) cessent de vivre ensemble, à la suite d’une rupture ou d’une mutation professionnelle par exemple. Il faut alors 2 résidences au lieu d’une pour les loger.
  • Le presque doublement du nombre de résidences secondaires depuis 2008 (près de 1300 aujourd’hui), dont la plupart étaient auparavant habitées par des familles à l’année ;
  • Le boom des locations saisonnières de type Airbnb depuis quelques années ;
  • Des logements privés insalubres que les propriétaires ne souhaitent pas rénover malgré la mobilisation possible d’aides publiques, car celles-ci imposent de conventionner (donc d’encadrer) le montant des loyers ;
  • Une réglementation de l’urbanisme de plus en plus contraignante sur l’artificialisation des sols, rendant quasi impossible l’aménagement de nouveaux lotissements sur des zones agricoles ou naturelles, pour répondre (à juste raison) aux enjeux écologiques.

Dans ce contexte difficile, qui est aussi le revers de la médaille d’une ville très attractive, nos opposants ont beau jeu de critiquer un supposé immobilisme de notre part. Il faut donc rappeler nos efforts pour favoriser la création de logements, et surtout redire que pendant ce temps, ces mêmes opposants ont participé sans vergogne à l’obstruction de projets salvateurs comme celui des Cèdres (152 logements retardés depuis 3 ans), contre l’intérêt des Saint-Rémois.

Une absence totale de clairvoyance pour cette opposition et un choix impardonnable à nos yeux, dont les conséquences se feront malheureusement sentir encore longtemps.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

2024, rendez-vous des engagements électoraux ?

A l’occasion des élections partielles de janvier 2022, le Maire annonçait quatre projets phares pour le mandat, déjà inscrits dans son programme au scrutin de juin 2020 : la piscine couverte, le cinéma, les déplacements doux, et la centrale photovoltaïque.

A ce jour, seule la centrale photovoltaïque a été achevée et inaugurée. Car, pour les trois autres projets, nous sommes loin du compte.

Sur la piscine couverte, son ouverture était annoncée « début 2024 ». Or, le choix des entreprises est tout juste finalisé (au bout de 9 mois et 3 Commissions d’Appels d’Offres) et le chantier n’est pas encore commencé. Sans compter la procédure de la Délégation de Service Public (pourtant adoptée en juillet 2021) toujours pas lancée et sans parler des surcoûts de construction qui dépassent déjà 2 millions d’euros.

Concernant le cinéma, les 3 salles à l’emplacement de l’ancienne piscine devaient voir le jour « courant 2023 », toujours selon le programme électoral du Maire. Or, le budget n’est toujours pas bouclé et le permis de construire en cours d’instruction.

Pour les déplacements doux, si la première partie de l’Avenue Durand- Maillane a été effectivement réalisée, un flou artistique entoure les autres requalifications qui étaient annoncées : avenue Albert Gleizes pour 2023 et avenue Albert Schweitzer pour 2024. Ni pour l’une ni pour l’autre aucun projet n’a, pour l’instant, été présenté. Bien sûr on nous dira que « ce n’est pas notre faute ! ».

Bien sûr on nous dira qu’il y a eu l’Ukraine, l’inflation, la Covid, les élections et tout le reste pour expliquer ces retards flagrants.

Pourtant, dans les autres communes, à deux ans de la fin du mandat, les chantiers sont lancés, les premières pierres posées et des inaugurations programmées.

A ces quatre dossiers, il faut ajouter un cinquième, celui des Cèdres, puisque l’urbanisation de ce quartier faisait aussi partie du programme électoral du Maire.

A cet égard, nous avons été surpris et choqués de l’utilisation par le Maire des moyens de communication de la ville (Site Internet, Facebook, Journal Municipal) pour attaquer l’opposition municipale et entretenir une polémique politique inutile suite au jugement de la Cour administrative d’appel.

Quoi qu’il en soit, nous vous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année et nous vous présentons nos meilleurs voeux pour 2024.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Quartier des Cèdres : l’histoire se répète

La nouvelle est tombée le 13 octobre : en rejetant l’appel déposé par des particuliers et par 3 associations (Appeva, Saint-Rémy Patrimoines et Perspectives, Association de sauvegarde de l’ancien quartier des Bains), la justice a une nouvelle fois (et définitivement) validé le permis de construire du quartier des Cèdres, accordé par la ville en novembre 2020. Elle met ainsi un terme à des années de procédure et de blocage de ce projet de 152 logements, au sud du parking de la Libération.

« Tout ça pour ça ! », pourrait-on regretter. Car si du côté de la majorité municipale, nous avons toujours été convaincus de la qualité et du bien-fondé de ce projet, celui-ci a été pris systématiquement pour cible pendant plus de dix ans par une minorité d’opposants, promettant l’apocalypse pour défendre des intérêts privés au détriment de l’intérêt général.

Trois ans ! Trois ans ont été perdus en procédures inutiles, pendant lesquels ni les 38 logements sociaux du projet, ni les 35 logements en accession à la propriété, n’ont pu bénéficier aux Saint-Rémois les moins aisés qui comptaient dessus, parfois dans l’urgence, pour rester vivre dans leur commune.

Cette décision juridique est un camouflet pour ceux qui ont déposé les recours puis fait appel malgré les faibles probabilités de l’emporter ; c’est aussi un désaveu de l’opposition municipale qui a attisé les braises autant que possible en espérant en retirer un bénéfice électoral.

En raison de l’actualité internationale, de l’inflation et de l’augmentation des taux d’intérêt, nombreux sont les Saint-Rémois qui devront désormais payer plus cher leur logement aux Cèdres, s’ils ont encore la possibilité de boucler leur crédit. D’autres, probablement, devront renoncer à l’idée. C’est bien cela le bilan de l’obstruction par ces associations et par l’opposition municipale, qui portent une responsabilité directe dans l’évolution démographique de la commune.

Nous l’avons déjà dit et répété : le revers de la médaille de l’attractivité et du dynamisme de Saint-Rémy, c’est le prix de l’immobilier. Et il y a très peu de leviers sur lesquels peut agir une municipalité, quelle qu’elle soit et quelle que soit la commune, pour en maîtriser ou réduire l’augmentation.

Nous espérons que le quartier des Cèdres sorte de terre le plus rapidement possible, pour offrir une bouffée d’oxygène aux familles saint-rémoises impatientes de s’y loger.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Bilan et perspectives

Nous sommes à deux ans et demi des prochaines élections municipales. Il est donc temps de faire le point sur l’action de la municipalité en place depuis juin 2020.

Pour nous, le premier fait marquant, c’est évidemment la fermeture de l’école maternelle Mas de Nicolas à la dernière rentrée scolaire. Du jamais vu à Saint-Rémy !

Une école qui ferme dans une commune, c’est le signe que quelque chose ne va pas. C’est malheureusement la conséquence de la baisse constante du nombre d’habitants depuis plus de dix ans et l’absence de politique structurée en matière de logement.

La municipalité attend beaucoup de l’urbanisation des Cèdres et du Valat Neuf. Elle ne produira pas les effets escomptés car les prix ne sont pas abordables pour les jeunes actifs qui devraient être les premiers bénéficiaires d’une offre de logements portée par la puissance publique.

Nous avons, à plusieurs reprises, proposé des mesures pour inverser la tendance mais elles n’ont malheureusement pas été prises en compte. Tout comme nos avertissements sur le projet de construction de la piscine couverte n’ont pas été entendus. A l’heure de l’inflation et de la transition écologique, il est nécessaire d’adapter ce projet au contexte présent. Résultat : une explosion des coûts de construction, des retards sur le démarrage du chantier (prévu initialement en septembre 2023) et une procédure de Délégation de Service Public toujours pas lancée : qui va gérer et quels seront les prix des entrées ?

Par ailleurs, d’autres projets mériteraient d’être menés avec davantage d’ambition. Par exemple la rénovation attendue de la Collégiale Saint-Martin pourrait faire l’objet d’une mobilisation du mécenat privé et d’une grande souscription dans le cadre du plan de soutien au patrimoine religieux. Par exemple les travaux prévus de l’éclairage public sur les boulevards du Cours devraient s’inscrire dans une requalification plus globale notamment pour végétaliser l’espace urbain et favoriser les déplacements doux.

Dans le même esprit, nous espérons que cette deuxième partie de mandat sera l’occasion de se saisir de sujets qui préoccupent les Saint- Rémois. Entre autres : la propreté dans le centre-ville avec plus de moyens mobilisés et l’installation promise des colonnes enterrées, le stationnement et la circulation avec un vrai plan de déplacements suite à l’étude mobilité.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Développer ensemble la culture du risque

À l’heure où nous écrivons ces lignes, les températures battent des records historiques de chaleur en France après un 15 août, et chaque jour voit de nouveaux départs de feux, heureusement avec une gravité moindre qu’en 2022 (où 72 000 hectares avaient brûlé), grâce aux efforts de tous ceux qui sont engagés sur les incendies, et avant cela, dans leur prévention – pompiers bien sûr, mais aussi comités communaux feux de forêts, forces de l’ordre, etc. Le dérèglement climatique, bien engagé, fait peser sur la population, les biens et la biodiversité, des risques croissants (incendies, inondations, canicule, tempêtes…) auxquels nous devons nous préparer collectivement.

C’est dans cette perspective que la ville a révisé cette année son Plan Communal de Sauvegarde, qui prévoit l’organisation des secours et l’information de la population avant, pendant et après un accident majeur. Les risques auxquels nous sommes exposés à Saint-Rémy ne se limitent pas aux aléas climatiques ; ils sont au nombre de 14 et englobent également les séismes, les accidents industriels, les épidémies…

« Un Saint-Rémois averti en vaut deux »

Pour que la résolution d’une crise soit la plus efficace possible, il est indispensable que la préparation ne repose pas uniquement sur les pouvoirs publics ; tout le monde, particuliers comme professionnels, doit s’intéresser à la question avant que des situations graves ne se présentent (comme c’est arrivé à Barbentane en 2022 avec l’incendie de la Montagnette).

Pour cela, la ville a distribué en début d’année dans les foyers un « Dicrim » (document d’information communal sur les risques majeurs) qui recense les risques auxquels la commune est soumise. Si vous ne l’avez pas reçu, celui-ci est disponible en mairie ou en téléchargement sur le site web de la ville.

La ville met aussi à disposition du grand public des outils pour se tenir informé en cas d’alerte : l’application mobile (disponible pour iOS et Android), la télé-alerte et la page Facebook municipale.

Enfin, une réunion publique d’information se déroulera le mardi 3 octobre à 18h30 à l’Alpilium, au cours de laquelle le cabinet RisCrises exposera à la population le Plan Communal de Sauvegarde.

La sécurité des Saint-Rémois ne se réduit pas aux problématiques de délinquance ; la municipalité l’a bien compris et compte sur votre présence le 3 octobre pour vous faire savoir comment réagir et vers qui vous tourner en cas de crise.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Sécurité : nos propositions

Le 22 juin dernier, Le Figaro a révélé le classement des communes de 5000 à 20 000 habitants touchées par la délinquance. Il a été établi par le Ministère de l’Intérieur pour l’année 2022.

Hélas, Saint-Rémy figure à la 10ème place de ce palmarès des communes les plus concernées par les cambriolages avec une hausse de 142,6 % entre 2016 et 2022 !

Il n’y a certes pas de recette miracle pour lutter contre ce type de délinquance. Nos forces de l’ordre-gendarmerie et police municipale- y travaillent au quotidien avec compétence et professionnalisme.

Mais nous disons depuis longtemps qu’il est nécessaire de renforcer notre politique municipale de sécurité grâce à un plan global et cohérent, avec des moyens supplémentaires.

Depuis trois ans, lors de nos interventions en conseil municipal, nous renouvelons nos propositions inscrits dans notre programme pour les élections de 2020 et 2022 :

  • Créer un centre de surpervision urbain (comme à Châteaurenard et Tarascon) pour visionner les images des caméras de vidéoprotection en temps réel, ce qui n’existe malheureusement pas à Saint-Rémy
  • Accélérer le déploiement de caméras de vidéoprotection (47 actuellement dans toute la commune), soit moins qu’à Graveson, Châteaurenard et Tarascon.
  • Augmenter l’effectif de la police municipale pour développer les missions de proximité et de surveillance
  • Organiser les dispositifs « Voisins Vigilants », « Participation Citoyenne » et « Tranquillité Vacances » pour mieux lutter contre les cambriolages

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Pendant l’été, on s’active dans les écoles

Alors que l’été bat maintenant son plein, pour les travailleurs saisonniers comme pour ceux qui s’apprêtent à partir en vacances, la municipalité prépare déjà la prochaine période, à savoir la rentrée scolaire, qui sera marquée cette année par 3 gros dossiers.

L’été sera ainsi mis à profit pour préparer la fusion des 2 écoles maternelles sur le site de l’école Marie-Mauron, avec le déménagement du matériel de l’école Mas-de-Nicolas et la mise en œuvre de travaux sur l’établissement et la voirie.

Un plateau ralentisseur sera aménagé sur l’avenue Édouard-Herriot et la rue Paul-Arène sera mise en sens unique, avec élévation du trottoir pour empêcher le stationnement anarchique des véhicules lors du dépôt des enfants.

Lors d’un conseil d’école extraordinaire du 15 mai, les enseignants et les parents d’élèves des 2 maternelles ont proposé et validé le maintien des horaires de l’école Marie-Mauron, que nous avions proposé de décaler.

Pour faciliter la circulation entre les écoles (Marie-Mauron – République et Marie-Mauron – Argelier), nous voulons renouveler et dédoubler le pédibus ; pour cela il est indispensable que des parents se portent volontaires pour l’accompagner. Pensez également aux déplacements à vélo !

Par ailleurs, dès le début des vacances scolaires vont démarrer les travaux d’aménagement de la cour de l’école de l’Argelier, afin de procéder à sa « renaturation ». Ce projet consiste à désimperméabiliser et revégétaliser les sols, afin de créer des ilots de fraicheur ombragés, des surfaces enherbées et des coins nature offrant de nouvelles activités. Peu d’écoles ont déjà franchi le pas de cette transformation à visée écologique et pédagogique, à laquelle les enfants ont été associés. Une fois encore, comme pour les performances de la restauration scolaire, Saint-Rémy fait figure de pionnière dans ce qui sera bientôt une nouvelle norme. Le gros œuvre sera effectué dans l’été, et les végétaux (au nombre de 110 !) plantés à l’automne.

En parallèle, nous allons procéder à la rénovation de la cuisine de l’école de l’Argelier, qui date de la construction de l’établissement. Les travaux se termineront après la rentrée scolaire, mais les écoliers pourront bien sûr manger normalement : les plats seront préparés à l’école Mas-de-Nicolas et transférés en liaison froide à l’Argelier où ils seront réchauffés.

Au-delà de l’échéance de l’automne, nous préparons surtout nos écoles pour l’avenir, dans l’intérêt des enfants !

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Etude mobilité : et après ?

La saison estivale est déjà bien entamée et les difficultés se font sentir en centre-ville.

Les Saint-Rémois constatent un manque évident de places de stationnement les jours de grande affluence puisqu’il n’est plus possible de se garer sur la partie réservée à la construction des logements aux Cèdres (fouilles archéologiques en cours).

Dans le même temps, la construction envisagée des trois salles de cinéma et de la piscine va forcément impacter la circulation sur une déviation déjà bien chargée puisque tous les grands équipements sont situés sur cet axe (collège, stades…).

Or, il y a plus de deux ans, la municipalité lançait une étude sur la mobilité, les déplacements et le stationnement dans notre commune.

Un état des lieux et un diagnostic de 136 pages, riches d’enseignements et d’informations intéressants, ont été établis par un cabinet spécialisé.

Reste à savoir quelles conclusions vont être tirées de ce travail réalisé ces deux dernières années… car la municipalité n’a pas attendu ces mêmes conclusions pour réaliser des travaux structurants sur les axes de circulation Libération/Pellissier, Durand-Maillane ou en envisager sur Fauconnet/Albert Gleizes.

Ces rénovations sont pertinentes mais elles ne s’inscrivent pas, hélas, dans une vision complète de l’aménagement de la commune.

Logiquement, sur la base de cette étude et surtout à la lumière des problématiques actuelles, un plan de déplacements et de stationnement devrait maintenant être élaboré par la municipalité.

Un plan cohérent avec les attentes et les besoins des Saint-Rémois.

Un plan global qui intègre aussi bien les mobilités douces (vélos, piétons…) que la logistique urbaine (livraisons en centre-ville).

Un plan adapté à la dimension touristique de Saint-Rémy qui accueille une grande partie de l’année de nombreux visiteurs.

Sans oublier que cette question de la mobilité doit être pensée au- delà même des frontières de Saint-Rémy et qu’il est nécessaire d’envisager au niveau de notre territoire des Alpilles un schéma de déplacements là aussi cohérent avec les attentes des habitants.

Un véritable réseau de transports en commun reste, par exemple, à imaginer et à construire dans l’ensemble du Pays d’Arles si nous voulons encourager les alternatives à la voiture et ainsi contribuer à l’effort général en faveur de la transition écologique.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Une saison touristique étendue

Ces dernières années, nous avons tous pu constater que la saison touristique à Saint-Rémy, qui traditionnellement s’étendait de Pâques à fin septembre, s’élargit de plus en plus, démarrant désormais au tout début du printemps et se prolongeant encore quelques semaines au mois d’octobre. Alors que bien des communes touristiques aimeraient bénéficier d’une haute saison de plus de 4 mois, nous devons bien reconnaître qu’à Saint-Rémy, celle-ci en dure désormais près de 8 !

C’est évidemment le signe d’une attractivité et d’une dynamique fortes, et aussi le fruit d’années de travail d’une municipalité soucieuse de valoriser un cadre de vie exceptionnel. C’est peut-être aussi la conséquence d’un report de séjours de nos visiteurs dans la période du printemps, permettant ainsi d’éviter les fortes chaleurs estivales. Et de fait, les commerçants et forains que nous avons interrogés font déjà part de leur satisfaction quant à ce démarrage précoce de la saison.

Voilà qui devrait faire réfléchir les incorrigibles prophètes du déclinisme qui, à la vision des parkings bien remplis dès les mercredis du mois d’avril, annoncent (évidemment à tort !) la mort des commerces au lieu de se réjouir d’une haute saison plus longue qu’auparavant. De notre côté, en tant que décideurs publics, nous préférons voir la fréquentation touristique se répartir sur une plus longue période plutôt que d’en accompagner, voire en subir, une croissance démesurée sur les seuls mois d’été, avec les problèmes qui découlent de ce qui deviendrait du tourisme de masse.

Ce constat sur la fréquentation touristique recoupe par ailleurs certains points-clés du diagnostic de l’étude mobilité, notamment ceux du stationnement et plus largement de la place de la voiture, en lien avec l’objectif d’une cohabitation apaisée entre les différents modes de déplacement.

Les enjeux de la mobilité sont nombreux et concernent Saint-Rémois comme visiteurs. Qu’ils concernent la sécurité, la fluidité de la circulation, la pollution et même la question de la précarité, on ne pourra pas les résoudre avec la solution unique d’une place illimitée à la voiture.

Ainsi, une saison touristique élargie, c’est la possibilité de mettre en œuvre une mobilité durable sans nuire à la croissance de nos commerces.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Notre position sur le budget 2023

Comme l’année dernière, nous nous sommes abstenus sur le budget voté au conseil municipal le 28 mars dernier.

Comme dans toutes les collectivités locales, c’est un budget de crise, fortement contraint par le contexte d’inflation et de crise économique. Les charges de fonctionnement explosent sous le coup de la flambée des coûts de l’énergie.

Sur le fonctionnement, le soutien renouvelé aux associations et le maintien de la subvention de 500 000 euros au CCAS sont de bonnes choses.

Nous sommes satisfaits que cette année, les travaux prévus dans les logements d’urgence de la Combette puissent se réaliser. Il était grand temps !

Nous pensons que nous pourrions réduire nos charges de fonctionnement en optimisant, par exemple, l’Alpilium (plus de 200 000 euros par an) et en ouvrant celui-ci davantage aux congrès et aux séminaires d’entreprises.

Sur l’investissement, nous approuvons la rénovation de notre collégiale Saint-Martin, la désimperméabilisation de nos cours d’écoles, la requalification de l’espace sportif de la Petite Crau, la transition écologique de nos bâtiments communaux, le budget participatif.

Néanmoins, Il y a un investissement lourd qui continue de poser question aux Saint-Rémois : la piscine.

Comme nous l’annoncions dès le mois de juillet dernier, les coûts de construction explosent : 1,6 millions d’euros en plus par rapport au budget initial !

En quelques mois, nous sommes passés d’un budget de 5,8 à 7,4 millions d’euros avant même que les travaux ne commencent.

Au-delà de l’investissement, c’est la section fonctionnement de notre budget qui sera très fortement impactée par ce futur équipement.

Une piscine ouverte toute l’année dans le contexte actuel, c’est une flambée assurée, prévisible des coûts de l’énergie, de l’eau, de l’entretien général et du personnel.

D’ailleurs, nombres de communes font ce constat, ne peuvent déjà plus faire face à toutes ces dépenses et ferment leurs piscines : Châteaurenard, Maussane…

Nous persistons à penser que ce projet aurait dû être modifié, amendé, adapté au vu des circonstances défavorables.

Il aurait pu aussi être envisagé de mutualiser avec Châteaurenard qui a également un projet de piscine couverte car nous sommes dans le même bassin de vie et il est raisonnable de mutualiser ce type d’équipement.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Un budget armé pour affronter l’avenir

Pour le néophyte, un budget communal semble être une accumulation de tableaux, de chiffres et de termes techniques complexes dont il semble difficile d’extraire du sens. Néanmoins, en l’examinant d’un peu plus près, on remarque qu’il reflète les conséquences des choix faits par la municipalité depuis de nombreuses années, qu’il esquisse le visage de la commune dans un avenir plus ou moins proche, tout en témoignant très concrètement des facteurs extérieurs qui peuvent peser sur une petite ville, qu’ils soient géopolitiques ou environnementaux.

Le budget que nous avons élaboré pour la ville de Saint-Rémy-de- Provence en 2023 met ainsi en évidence plusieurs points :

  • avec 36 millions d’euros inscrits au total, il s’agit du budget le plus élevé jamais présenté ;
  • le choc énergétique subi en 2022 se poursuit en 2023, multipliant par 2,5 la facture globale gaz-électricité-carburants par rapport à 2021 ;
  • nos recettes sont extrêmement dynamiques, conséquence de la forte attractivité de la commune, qui elle-même résulte de la politique menée par la municipalité depuis près de 20 ans ;
  • nous continuons d’investir dans l’amélioration des équipements communaux (construction de la piscine couverte, restauration intérieure de la collégiale, requalification de l’avenue Durand-Maillane, rénovation de voirie, etc.) ainsi que dans la transition énergétique (éclairage public et bâtiments) et écologique ;
  • nous poursuivons le désendettement ;
  • les taux locaux d’imposition restent inchangés depuis 2010.

Dans la période très incertaine que nous traversons, mais parce qu’il porte une grande ambition face aux nouveaux enjeux, nous pouvons affirmer que ce budget 2023 est un budget de crise, mais pas un budget en crise.

Votez au budget participatif !

Cette année encore, 300 000 euros du budget communal sont réservés au budget participatif : un dispositif qui permet aux Saint-Rémois de proposer puis de choisir des projets pour leur commune.

L’édition 2023 en comporte 19, actuellement en phase de vote. Loin d’être anecdotiques, ils ont trait au stationnement, à la circulation, à l’éclairage public, à la végétalisation, à des réaménagements ou des réhabilitations. Les projets retenus seront réalisés dans les 2 ans. Certains peuvent conduire à des changements dans nos habitudes ; ils nous concernent donc tous !

Nous vous encourageons donc à en prendre connaissance sur le site de la ville, et à voter pour vos préférés avant le 1er mai !

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Mas de Nicolas : un choc pour Saint-Remy

La majorité municipale a donc entériné la fermeture de l’école maternelle Mas de Nicolas à la prochaine rentrée.

C’est un véritable choc pour notre commune de voir une école qui a ouvert en 1987 fermer ainsi ses portes en raison du déclin de la démographie à Saint-Rémy.

Nous pensons aux élèves, aux parents, aux enseignants, aux personnels qui sont très attachés à Mas de Nicolas. Pendant ces 36 années, ils ont appris, travaillé, enseigné dans cette école très appréciée car bien située, au calme, ensoleillée, proche de la verdure, avec une cour entièrement rénovée en 2019.

Les parents du Mas de Nicolas se sont mobilisés pour garder l’école ouverte à la rentrée 2023. Leur pétition a ainsi recueilli plus de 200 signatures mais la décision a été prise par la municipalité de regrouper les six classes de maternelle à l’école Marie Mauron, sans se battre avec force auprès de l’inspection académique, sans que ce choix n’ait été expliqué aux uns et aux autres, sans (une fois encore) que les saint- rémois y soient associés.

Pour inverser la tendance et pouvoir rouvrir de nouvelles classes (34 élèves pour ouvrir une classe), il est urgent de proposer des logements accessibles, à des prix adaptés au pouvoir d’achat des jeunes actifs, dans un contexte d’inflation, ce qui n’est pas le cas dans les projets en cours.

La municipalité a choisi de confier à des promoteurs privés la construction de programmes immobiliers au Valat Neuf alors qu’elle aurait pu porter elle-même ce projet avec ses partenaires comme l’Etablissement Public Foncier PACA.

Au nord des Cèdres, la municipalité veut étendre à nouveau l’urbanisation jusqu’au canal des Alpines ce qui va poser un certain nombre de questions sur les déplacements au sein de ce futur quartier et sur l’avenue de la Libération qui, en plus d’avoir été mal conçue, est déjà saturée.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Logement : le « y a qu’à – faut qu’on » des pompiers pyromanes

Le 7 février en conseil municipal, le chef de l’opposition Romain Thomas, en bon pompier pyromane, a osé faire la leçon pendant plus d’une demi-heure sur le manque de logements à Saint-Rémy. Rappelons qu’il s’oppose vaillamment au projet d’aménagement du quartier des Cèdres (152 logements dont 38 en locatif social) depuis son arrivée sur la commune il y a 5 ans, et encourage systématiquement les recours qui bloquent le projet et en augmentent les prix d’acquisition (lire notre tribune dans le journal n°67).

La situation serait cocasse si elle n’était pas aussi tragique. Depuis plus de 15 ans, à chaque fois que la municipalité a voulu créer des logements, elle a rencontré de vives réactions de la part des oppositions successives, désireuses d’en retirer un bénéfice électoral.

À l’époque, elles fédéraient leur public et multipliaient les pétitions en agitant la menace grotesque d’une commune de 15 000 habitants, saturée de logements sociaux de type « barres HLM »

On voit bien aujourd’hui, à l’aune des projets arrivés à terme et des fermetures de classes qui se succèdent, que tout cela n’était que mensonge. Le problème est qu’en encourageant le blocage systématique des projets, l’opposition s’est rendue directement responsable de la situation actuelle : un nombre de logements insuffisant pour faire face à la demande des habitants, confrontés aux problématiques de notre époque qui ne sont plus celles de jadis : familles monoparentales ou recomposées, séparations, etc. Un phénomène qui, associé à la forte attractivité de la commune (consécutive notamment à l’excellent travail de la municipalité…) et à des contraintes environnementales, comme la nécessité de lutter contre l’étalement urbain en réduisant le nombre de parcelles constructibles, participent à la hausse constante du prix de l’immobilier.

Romain Thomas tente maladroitement de faire oublier sa responsabilité en proposant des mesures impossibles à appliquer, déployées dans des communes qui n’ont pas du tout les mêmes spécificités que Saint-Rémy, ou en reprochant que les projets que nous avons portés n’aient pas abouti en un claquement de doigts – ce qui n’arrive jamais dans le monde réel qui est le nôtre et que M. Thomas semble méconnaitre.

Par ailleurs, au rayon des bonnes nouvelles : l’aménagement du parking des Cèdres, dont l’opposition dénonce à grands cris la disparition depuis 10 ans, est bientôt achevé. Nous avons toujours annoncé 400 places ; il en compte au final 438. Promesse tenue… et dépassée.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Logement : il y a urgence !

Depuis plusieurs années maintenant, des classes ferment à Saint-Rémy.

A la rentrée prochaine, ce ne sont pas seulement deux classes maternelles qui vont disparaître mais c’est bien une école maternelle qui va fermer.

Rien d’étonnant puisque, selon les chiffres de l’INSEE publiés dans La Provence du 4 janvier 2023, nous sommes passés de 10 458 habitants en 2009 à 9692 en 2020.

Nous savons tous que les jeunes couples avec des enfants ne peuvent pas se loger à Saint-Rémy compte tenu de l’absence de logements pouvant correspondre à leur pouvoir d’achat.

Le Maire explique cette situation par les recours des associations et des riverains contre le projet des Cèdres alors que les fermetures de classes ont commencé en 2017, soit bien avant que celui-ci ne soit présenté à la commission extra-municipale (en septembre 2019).

Il oublie de rappeler que sa première élection date de juin 1995 et qu’il entre dans sa 24ème année de mandat.

Malgré cette longévité, force est de constater qu’il n’a pas eu de volonté politique, contrairement à Serge Pampaloni (1989-1995) et à Lucien Palix (2001-2005) qui ont impulsé les lotissements des Chutes et du Hameau de Laurigues au bénéfice des Saint-Rémois.

Malgré cette longévité, du retard a été pris sur l’urbanisation d’Ussol qui a mis 7 ans à sortir de terre et sur celle de La Roche qui n’a pas encore démarré.

Des occasions ont également été manquées lorsque le Plan Local d’Urbanisme (PLU) a été élaboré en 2018.

La municipalité a alors rendu constructible des parcelles sans pour autant négocier leur éventuelle acquisition.

Aujourd’hui, certaines opérations sont enfin lancées mais il n’est pas du tout certain qu’elles permettront la scolarisation de nouveaux enfants sur notre commune.

Comment, en effet, imaginer qu’un couple de jeunes actifs avec enfants puisse s’acheter une maison à 600 000 euros au Valat Neuf où va se construire un programme immobilier privé soutenu par la mairie ?

Nous considérons que la mairie doit favoriser la construction de logements à des prix abordables.

Pour cela, plusieurs leviers pourraient être actionnés : définir une véritable stratégie pour acquérir du foncier, mobiliser les locaux disponibles appartenant à la commune et lancer une politique de rénovation urbaine dans le centre-ville.

Oui, il y a urgence si nous voulons inverser la tendance rapidement !

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Bonne année 2023, première année « normale »

Le mandat actuel (2020-2026) a débuté par deux années de Covid en 2020 et 2021, suivies d’une période de renouvellement du Conseil Municipal début 2022, suite à l’invalidation prononcée fin 2021. Alors que nous sommes quasiment déjà à mi-mandat, cette nouvelle année 2023 qui débute, est donc la première année complète, « normale », sans crise sanitaire, sans élection intermédiaire. Elle inaugure, nous en faisons le vœu, une période de sérénité retrouvée.

Elle nous permettra de confirmer l’ensemble des projets que nous avons initiés et/ou fait avancer depuis 2020. Des projets menés grâce à la rigueur et l’expérience des élus qui, épaulés par l’ensemble des agents municipaux, ont permis de conduire les affaires municipales durant la période tourmentée que nous venons de traverser, tout en faisant face aux aléas de la crise sanitaire (confinement, centre de vaccination, etc.).

Avec la même vigueur, le même savoir-faire et le même esprit combatif, nous abordons cette nouvelle année et les nouveaux défis qui s’annoncent, ne serait-ce que celui du coût de l’énergie, qui impactera très sensiblement le budget communal. En effet, selon les prévisions, la facture énergétique (électricité, gaz, fuel…) pourrait être en 2023 trois supérieure à la facture payée en 2021 ; elle avoisinerait ainsi les 1,5 million d’euros. Ce n’est pas anodin, et cela aura pour conséquence de modifier la structure de notre budget annuel, en cours de préparation, dont nous reparlerons au moment du vote du budget en mars prochain.

C’est donc avec le même enthousiasme que nous entendons conduire les affaires municipales en 2023. En dehors de tout esprit partisan, nous continuerons à porter un regard à 360 degrés sur la diversité des situations de l’ensemble des Saint-Rémois, en ayant à cœur de placer, au centre de toutes nos réflexions et de toutes nos décisions, l’intérêt général, l’amélioration de votre quotidien quel que soit votre âge et vos centres d’intérêt, tout en contribuant à préserver notre environnement et notre qualité de vie à tous.

L’ensemble des élus de la majorité, vous souhaitent à toutes et tous une année 2023 riche de joie et de bonheur partagés, et selon l’expression consacrée, « se sian pas mai, que fuguen pas mens ».

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Bonne année 2023 à Saint-Rémy et aux Saint-Rémois !

En ce début d’année 2023, nous vous présentons nos meilleurs vœux. Une très belle et heureuse pour vous et tous ceux qui vous sont chers, avec la santé, la joie et le bonheur.

Une bonne année également à Saint-Rémy, notre commune pour laquelle nous travaillons au sein de notre mairie depuis maintenant deux ans et demi. Nous siégeons avec assiduité dans les différentes commissions afin de suivre l’évolution des dossiers municipaux.

Nous sommes particulièrement vigilants sur la mise en œuvre des projets lancés par la municipalité. Ainsi, sur la construction de la piscine couverte, nous pensons qu’il faut être plus que jamais prudents dans un contexte particulièrement défavorable avec les surcoûts des prix des matériaux et la flambée des prix de l’énergie.

De la même manière, nous pensons que les grands chantiers engagés- avenue Durand-Maillane- ou qui doivent l’être sur les avenues Fauconnet et Albert Gleize- mériteraient d’être vraiment co-construits avec les riverains et les associations et ne plus être simplement présentés aux habitants comme le fait la municipalité par facilité.

Nous continuons également à être force de propositions sur le budget comme sur d’autres problématiques. Ainsi nous avions proposé qu’une grille de critères pour l’attribution des subventions aux associations soit élaborée afin d’assurer plus de transparence et d’équité. D’où la création d’un conseil local de la vie associative votée en décembre. Au conseil d’administration du CCAS, nous avons plaidé pour que la rénovation des logements d’urgence situés chemin de la Combette soit programmée au budget, ce qui a été fait.

Au conseil municipal, nous intervenons sur des sujets dont nous parlent les Saint-Rémois eux-mêmes. Par exemple sur le parking de la gare particulièrement en mauvais état en décembre, pour lequel nous avons réclamé une nouvelle fois la requalification dans l’intérêt des commerçants et des Saint-Rémois. Par exemple sur les nuisances survenues dans le quartier du Mas de Sarret, ce qui a amené le maire à annoncer l’installation d’une caméra de vidéo protection en haut de l’avenue des Martyrs de la Galine.

Cette année encore, vous pourrez compter sur notre écoute et notre présence à vos côtés N’hésitez pas à nous contacter par téléphone (06 61 43 18 73) ou par mail (lerenouveausaintremois@gmail.com).

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expressions libres 2022

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Un territoire dynamique tourné vers le futur

Saint-Rémy a beau être une petite commune, elle témoigne tous les jours d’un haut niveau de performance, comme en témoigne le dynamisme de l’économie locale. Quelques exemples le mettent en évidence.

Créée en 1992, située route de Noves, la société Distrimpex qui fabrique et distribue des emballages dans toute l’Europe va déménager à la Massane, dans le but d’augmenter sa production d’emballages écoresponsables en papier et activer ainsi un nouveau levier de croissance.

Florame, créée en 1990, regroupe actuellement sur son nouveau terrain de la Massane l’ensemble de ses activités logistique, administrative et de production. Auparavant sous-traités, la production et le conditionnement des produits seront désormais effectués sur place à Saint-Rémy.

La société Azurtrade, déchèterie pour les professionnels fondée en 2009, est en train de construire ses nouveaux bâtiments sur le terrain acquis cette année à la Massane. À partir de juin 2023, elle offrira au territoire une solution de tri dimensionnée pour les petits industriels, les artisans et commerçants, beaucoup plus adaptée que la déchèterie intercommunale, destinée aux particuliers.

Installés depuis 2015 dans un bâtiment loué, les deux jeunes ferronniers de CT Métal Concept ont pu acheter un terrain bien à eux, sur lequel ils construisent aujourd’hui leur nouvel atelier.

Grâce à « La Bergerie », incubateur d’entreprises à Fontvieille créé par la Communauté de communes il y a 2 ans, des start-ups prennent leurs marques sur le territoire pour devenir, nous le souhaitons, les entreprises durables de demain.

Ces nombreuses initiatives sont accompagnées de près par la CCVBA, qui joue notamment un rôle de facilitateur dans la location ou la revente de terrains ou de locaux. Elles témoignent de la forte attractivité de Saint-Rémy et promettent la création de nombreux emplois à court et moyen terme.

À cela, ajoutons que depuis cet été, la centrale photovoltaïque construite sur l’ancienne décharge municipale a commencé à produire ses premiers mégawattheures, pouvant alimenter près de 1400 foyers. Écologique, cet équipement est aussi une source de revenus pour la commune de Saint-Rémy, puisque l’exploitant lui reversera 54 450 euros par an au titre de la location du terrain.

En phase avec les enjeux de demain, nous conjuguons donc le cadre de vie de nos Alpilles avec le développement économique, sans jamais sacrifier le premier au profit du second.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Adapter nos politiques municipales aux temps nouveaux

L’inflation galopante touche de plein fouet les collectivités locales et remet en cause le fonctionnement de nombreuses communes. La facture d’énergie des communes flambe, à Saint-Rémy comme ailleurs. Partout, des efforts sont annoncés à plus ou moins terme pour faire face à cette crise d’une ampleur exceptionnelle.

Il est bien évident que toutes nos politiques municipales sont impactées par cette crise et doivent donc être adaptées aux temps nouveaux. A Saint-Rémy comme ailleurs.

Il est ainsi permis de s’interroger sur la pertinence de projets d’envergure, pensés il y a déjà plusieurs années et qui ne vont pas tout à fait dans le sens de la « sobriété environnementale» aujourd’hui à l’ordre du jour.

Prenons par exemple l’urbanisation du quartier des Cèdres au cœur du centre-ville. Alors que nous assistons à des épisodes orageux de plus en plus violents (le dernier date du 8 septembre dans les Alpilles), la prise en compte du ruissellement des eaux de pluies dans le projet de construction des 152 logements pose question.

Malheureusement, la commune n’a pas étendu sa réflexion à l’ensemble du quartier qui souffre depuis plusieurs années de problèmes d’inondations. L’avenue de la Libération est souvent impraticable les jours de pluies soutenues alors même que les constructions n’ont pas commencé et qu’elle a été rénovée il y a peu.

Le projet de piscine couverte est, lui aussi, fragilisé par la crise actuelle. Parmi les équipements les plus affectés par la hausse des coûts de l’énergie, les piscines figurent en très bonne place. Partout en France, nombre d’entre elles vont fermer cet hiver partiellement ou complètement.

L’année dernière, déjà, des bassins avaient dû fermer à cause de la hausse des coûts de l’énergie. Et, cet été, beaucoup ont été surpris par la décision brutale de l’entreprise Vert Marine de fermer une trentaine de piscines qu’elle gère en Délégation de Service Public, pour le compte de communes.

Dès lors, la question se pose de savoir si une piscine couverte, chauffée au gaz, qui va coûter au moins entre 5 et 6 millions d’euros d’investissement et 900 000 euros annuels de fonctionnement, est toujours opportune. D’autant qu’à dix kilomètres de distances, la ville de Châteaurenard a également l’intention de construire, elle aussi, une piscine couverte.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Quartier des Cèdres : stop à l’obstruction !

Délivré par la ville début 2021, le permis de construire du quartier des Cèdres avait été attaqué par 5 particuliers et 3 associations (Appeva, Saint-Rémy Patrimoines et Perspectives et l’Association de sauvegarde de l’ancien quartier des Bains). Le 22 septembre dernier, le Tribunal Administratif de Marseille, dans un jugement très complet et précis, a rejeté l’intégralité des 18 points abordés par les particuliers, portant sur tous les aspects imaginables : eau, assainissement, réseaux secs, circulation, hauteur des bâtiments, insertion paysagère…

Les 3 associations, elles, ont été déboutées pour des problèmes de formalisme juridique. Mais si le fond de leur recours n’a pas été examiné par le TA, il est très vraisemblable que le résultat aurait été le même, les prétendus points de litige soulevés étant très similaires.

Il faut se rendre à l’évidence : le projet des Cèdres est un excellent projet, aujourd’hui validé par le TA, et même désormais utilisé en exemple par l’EPF-PACA, propriétaire historique du terrain, pour faire valoir son rôle et la qualité des réalisations auxquelles il prend part.

Ce quartier tel qu’il a été conçu (avec 3 années de concertation) est compatible avec les objectifs poursuivis : maintenir et accueillir des Saint-Rémois dans un espace urbain optimisé, répondant aux besoins des jeunes, des petits ménages et des séniors, tout en conservant un espace de stationnement adapté proche du centre ancien.

L’obstruction des uns pèse sur le budget des autres

Nous aurions souhaité que ce jugement marque la fin des procédures et permette enfin de démarrer les constructions. Las ! Il semble que les associations envisagent de faire appel et de retarder encore, en pure perte, l’aboutissement du projet, avec l’approbation complice de l’opposition municipale.

Il est consternant de voir que par le jeu des recours, les opposants rendent en réalité les logements plus coûteux pour les acquéreurs : rien que sur l’année et demie écoulée depuis la délivrance du permis, le contexte international a conduit à une augmentation des taux d’intérêt et du prix des matériaux, qui va renchérir le coût final des logements annoncé début 2021. Il est même à craindre que pour certaines familles saint-rémoises, ce surcoût compromette la possibilité de financer leur projet.

Il n’est pas acceptable que ces familles subissent l’agitation procédurière et politique de quelques-uns.

À un moment donné, il faut savoir arrêter les hostilités.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Retour sur nos interventions au conseil municipal du 28 septembre dernier.

Avenues Fauconnet et Albert Gleize :

Nous approuvons les projets de réaménagement de ces avenues. Nous l’avions prévu dans notre programme pour les municipales de 2020 et 2022. Nous avons proposé que ces travaux soient pensés dès le début en réunion de quartier avec les riverains et les associations. Il est important pour nous que les Saint-Rémois soient associés à la construction des projets qui impactent leur quotidien.

Énergie :

La commune va lancer un audit énergétique sur les bâtiments municipaux. Nous avons demandé un bilan sur les investissements déjà réalisés (exemple : la chaufferie bois à l’école de l’Argelier). Nous proposons, comme le font déjà d’autres communes, d’éteindre l’éclairage public de 23 h à 6 h dans certains lieux (exemple : les parcs de jeux) car il faut aller plus loin que l’abaissement de l’intensité mis en place dans notre commune. La prise en compte de la performance énergétique dans les marchés publics sera aussi incontournable dans les futurs projets.

Aire d’accueil des gens du voyage :

Nous avons voté pour une délibération sur nouveau schéma départemental d’accueil des gens du voyage élaboré à la fois par l’Etat et le Conseil Départemental : une aire d’accueil y est prévue conjointe entre la communauté d’agglomération Terre de Provence et la communauté de communes Vallée des Baux Alpilles. Reste à savoir où cette aire sera installée. Pour l’instant, l’aire d’accueil est toujours prévue à Saint-Rémy, inscrite au Plan Local d’Urbanisme depuis 2018, à proximité de la Gendarmerie et du Clos Mozart. Nous avons rappelé que cette décision n’avait fait l’objet d’aucune concertation spécifique auprès des riverains et des Saint-Rémois.

Les Cèdres :

Nous avons pris acte des jugements rendus par le Tribunal Administratif suite aux recours des associations et des riverains sur le permis. Certains ont décidé de faire appel. Ce contentieux démontre encore une fois le manque de concertation avec les Saint-Rémois et les associations. Si depuis toutes ces années ce projet est toujours aussi fortement contesté, c’est parce que, dès le départ, il n’a pas été co-construit avec les Saint-Rémois. Nous pensons toujours qu’il faut construire des logements mais que ce site n’est pas approprié. L’urbanisation des Cèdres va considérablement pénaliser le centre-ville avec la suppression de plusieurs centaines de places pourtant indispensables aux Saint-Rémois et à nos nombreux visiteurs.

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

L’avenue Durand Maillane entre dans le 21e s.

Depuis 2005, la ville réaménage ses rues et avenues, modernisant les réseaux en sous-sol, la voirie et l’éclairage urbain, rétablissant l’accessibilité, créant des places de stationnement, des voies cyclables, et de nouveaux espaces verts. Elle améliore ainsi significativement notre cadre de vie commun.

Année après année, la quasi-totalité des rues et ruelles du centre ancien ont ainsi été rénovées, et également plusieurs entrées et axes principaux de la ville : ch. de la Combette, av. Charles-Mauron, av. Louis Mistral, av. de la Libération, av. Pellissier. Chaque tranche de travaux, une par an, représente un investissement de l’ordre du million d’euros, financé avec le soutien, selon les projets et les années, de la Communauté de communes et du Conseil départemental 13.

Complexes, étalés sur plusieurs mois, ces travaux engendrent temporairement un certain nombre de désagréments pour les riverains ou pour les automobilistes. Mais le jeu en vaut la chandelle : il suffit de regarder des photos du Saint-Rémy d’il y a 15 ans pour constater les indiscutables progrès accomplis.

Avec la rénovation de l’avenue Durand Maillane, pendant 2 ans, la ville s’attèle à une autre voie très fréquentée et aujourd’hui très abîmée. Axe stratégique traversant la commune du nord au sud, comptant par ailleurs une douzaine de commerces, elle ne répond plus aux problématiques des villes modernes, qui doivent consacrer plus d’espace aux déplacements doux et à la végétation.

Le projet qui va naître a été conçu pour répondre à ces problématiques mais aussi aux nombreuses contraintes règlementaires et, plus prosaïquement, à l’espace disponible. Nous sommes persuadés que le projet choisi est le meilleur possible.

Nous vous demandons de faire preuve de patience lors de vos déplacements ces prochains mois, et surtout de penser aux commerces qui vont composer avec le chantier à proximité immédiate. Avec les services de la ville et de la CCVBA, nous réfléchissons actuellement à des initiatives pour soutenir ces indispensables professionnels pendant cette période, après deux années déjà marquées par la pandémie.

« Et ma rue c’est pour quand ? »

À chaque rénovation de voirie sur la commune, les riverains d’autres quartiers nous demandent si nous pensons à eux. Sachez que dans les années suivantes, toujours au travail, nous rénoverons l’av. Albert Schweitzer, l’av. Frédéric Mistral puis l’av. Albert-Gleizes.

Un peu de patience ! Tout comme Rome, Saint-Rémy ne s’est pas (re) faite en un jour !

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Nos questions sur le projet de piscine

Au conseil municipal du 6 juillet dernier, nous avons soulevé trois questions importantes sur la future piscine couverte à laquelle nous sommes favorables sur le principe mais prudents sur les coûts de construction et de fonctionnement.

D’abord, nous constatons d’ores et déjà un surcoût de 434 000 euros dans le budget d’investissement dû à l’augmentation des prix des matériaux et à des prestations supplémentaires (extension des plages, salle de massage…). 215 000 euros d’options (notamment chaufferie bois pour une alternative du chauffage initialement prévu au gaz) pourraient s’ajouter à ce surcoût, ce qui nous amènerait à 650 000 euros supplémentaires a minima pour l’investissement.

La commune peut-elle les absorber financièrement ?

Ensuite, le budget prévisionnel de fonctionnement est basé sur des données de 2019. Il mérite d’être revu tant le contexte économique a changé avec des dépenses d’énergie qui explosent littéralement pour ce type d’équipement. Par exemple, le chauffage de la piscine couverte des Carnougues à Salon coûtait avant la crise ukrainienne 8000 euros par mois à la commune. C’est désormais 53 000 euros !

Comment faire en sorte de maîtriser les futurs coûts de fonctionnement?

Enfin, à 10 petits kilomètres de chez nous, la ville de Chateaurenard va construire, d’ici 2025, à côté de l’actuel bassin extérieur de 50 mètres, une piscine couverte de 25 mètres. L’investissement est estimé entre 8 et 10 millions d’euros.

Comment le projet de piscine couverte à Saint-Rémy, qui a l’ambition de rayonner largement sur le territoire, peut-il s’adapter à la concurrence d’un grand complexe aquatique juste à côté?

Autant d’incertitudes qui nous ont conduits à nous abstenir sur les délibérations proposées, sans esprit polémique mais avec la volonté d’aboutir au meilleur équipement possible pour les Saint-Rémois.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Pascal Bouterin, Marie-Pierre Diassy, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Saint-Rémy revit

La saison touristique bat son plein. Les terrasses des cafés et des restaurants ne désemplissent pas, les hébergeurs voient avec satisfaction arriver de nombreux vacanciers. En ce début d’été toutes les conditions sont réunies pour que nous retrouvions le plaisir d’un été à Saint-Rémy sans contraintes sanitaires, avec toutes les animations culturelles, festives, ludiques que nous affectionnons tous.

Depuis notre réélection fin janvier, après l’installation du conseil municipal et du conseil communautaire, nous avons, en tant qu’élus, pu reprendre nos dossiers en cours (vote du budget, remise en route des projets tels que piscine, rénovation de l’avenue Durand Maillane, etc.) et « lancer » les projets annoncés dans le programme municipal (centrale solaire photovoltaïque, amélioration de la restauration scolaire, pédibus, budget participatif, etc.).

Le tout dans un contexte international qui est source d’inquiétude, qui nous préoccupe et nous incite à être en permanence vigilants et réactifs comme nous l’avons été avec la crise sanitaire ou la crise en Ukraine.

Mais surtout, depuis notre réélection, l’ensemble des élus municipaux n’a eu de cesse de travailler pour bien préparer cette saison touristique.

Nous avons travaillé pour que la saison soit une grande et belle saison touristique, synonyme de renaissance après deux années très perturbées par la crise sanitaire.

Comme tous, nous nous réjouissons de retrouver l’art de vivre qui fait de Saint-Rémy ce qu’elle est, cet art de vivre qui attire des touristes du monde entier.

Profitons de cette belle saison qui se profile dans notre commune !

Nous vous souhaitons un bon été à tous !

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Questions sur l’urbanisation du Valat Neuf

Lors du conseil municipal du 17 mai dernier, fidèles à notre volonté d’être constructifs et force de propositions, nous avons voté pour les délibérations qui vont dans le bons sens pour les Saint-Rémois.

Nous avons approuvé, par exemple, la mise en place, expérimentale, d’un pédibus entre le parking du stade Sans Souci et l’école de la République pour les enfants scolarisés à celle-ci.

Nous l’avons d’autant plus approuvé que le pédibus figurait dans notre projet pour les élections municipales.

Nous sommes donc heureux que notre idée d’un ramassage pédestre encadré et sécurisé soit reprise par la majorité municipale.

Nous resterons cependant très vigilants sur sa bonne mise en œuvre dans l’intérêt des enfants et des parents.

A ce même conseil municipal, nous nous sommes exprimés sur l’urbanisation du quartier du Valat Neuf (entre l’avenue André et Denis Pellissier et le chemin Canto Cigalo) voulue par la majorité municipale.

Il est en effet prévu dans le Plan Local d’Urbanisme adopté en 2018 qu’un promoteur privé réalise 61 logements dont 17 logements sociaux.

Si nous sommes évidemment favorables à la construction de logements (mais à prix raisonnables) dans notre commune, il est bien évident que ce projet va impacter la vie de tout ce quartier proche du centre-ville.

Cela nécessite une concertation approfondie avec les riverains.

Cela nécessite une anticipation des conséquences de cette urbanisation sur les déplacements et la circulation dans ce secteur.

Cela nécessite une vision globale du projet et de toutes ses implications.

Pour l’instant, les informations sur les prix des logements et les garanties sur la nécessaire concertation n’étant pas suffisantes, nous nous sommes abstenus sur la délibération.

Nous restons très attentifs à l’évolution de ce dossier, là aussi dans l’intérêt des Saint-Rémois.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Un printemps citoyen

Avec 4 tours d’élections présidentielles et législatives, le printemps 2022 est assurément un moment important de la vie républicaine française. Paradoxalement, au cours de cette même période, notre fonctionnement démocratique, que de nombreux pays nous envient, semble n’avoir jamais été autant en crise.

Si l’intérêt pour la « chose publique » paraît très émoussé, avec notamment une abstention en hausse à chaque scrutin, en particulier chez les jeunes, on constate qu’en réalité c’est plus largement l’exercice de la citoyenneté qui est questionné ou remis en cause, par les citoyens eux-mêmes mais aussi par ceux qui nous gouvernent (ou qui aspirent à le faire).

La crise des « Gilets jaunes », les marches citoyennes, les mouvements revendicatifs, les débats sur les réseaux sociaux, traduisent chez nos concitoyens une volonté toujours aussi forte de s’exprimer.

Par ailleurs, sur le plan national, nous avons pu constater ces dernières années que les corps intermédiaires, les syndicats, les chambres consulaires, les élus locaux, les associations représentatives, etc. ont souvent été négligés dans les prises de décision.

En mai, un nouveau souffle démocratique

Parce qu’il y a nécessité de réinventer positivement la vie démocratique, nous avons choisi, au niveau local, de développer le budget participatif, qui permet aux citoyens de coconstruire des projets pour leur commune, de les défendre auprès des administrés, et de laisser à ceux-ci la possibilité de voter pour ceux qu’ils préfèrent.

C’est au cours de ce mois de mai que les Saint-Rémois qui le souhaitent pourront choisir parmi les projets proposés par leurs concitoyens. Vous pourrez les découvrir dans ce journal, sur la plateforme internet dédiée, ou encore le samedi 14 mai, en salle Jean-Macé, lors d’une journée de présentation par les porteurs de projet eux-mêmes.

C’est aussi pour une citoyenneté modernisée que nous avons mis en place un financement participatif pour la centrale solaire photovoltaïque qui va entrer en service d’ici l’été. Nous sommes attentifs à ce que les administrés puissent contribuer à choisir ou à élaborer, main dans la main avec les élus du conseil municipal, aux projets qui nous concernent tous.

Nous vous donnons la parole, n’hésitez pas à la prendre !

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Budget 2022 : le renouveau constructif et vigilant

Animés par un esprit de responsabilité et parce que nous voulons continuer à être utiles aux Saint-Rémois, nous nous sommes abstenus sur le budget 2022 au conseil municipal du 29 mars dernier.

Nous approuvons les projets qui, d’ailleurs, figuraient dans notre programme électoral : le budget participatif, la rénovation de l’intérieur de la Collégiale Saint-Martin, la restructuration de l’avenue Durand-Maillane, la construction de la piscine couverte.

Nous resterons bien sûr vigilants sur leur mise en œuvre et leurs modalités. Vigilants, nous le serons particulièrement sur les coûts de chauffage de la future piscine dans le contexte actuel de flambée des prix de l’énergie.

Vigilants, nous le serons aussi sur les avancées promises par Hervé Chérubini suite à nos propositions présentées lors du débat d’orientations budgétaires : l’extension du COSEC, la requalification de la Place de Gaulle en lien avec la CCVBA, et le renforcement des moyens de notre police municipale sur la vidéoprotection.

Par ailleurs, à l’heure où les charges de notre commune augmentent fortement, nous avons insisté sur la nécessité de chercher des recettes nouvelles. Un seul exemple : l’Alpilium coûtera cette année 270 000 euros de frais de fonctionnement.

Pourquoi ne pas le louer pour des congrès et des séminaires d’entreprises afin de limiter ces frais et de faire rentrer de l’argent dans les caisses de la commune ?

Le développement du tourisme d’affaires pourrait tout à fait s’envisager en maintenant bien sûr l’accueil de manifestations associatives et de spectacles dans cette salle.

Au regard de l’attractivité et du rayonnement de Saint-Rémy, cette stratégie permettrait également de générer de nombreuses retombées hors saison pour toute notre économie locale.

Dans la situation actuelle, soyons plus que jamais audacieux et imaginatifs !

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Deux mois vécus tambour battant

Cela fait maintenant près de deux mois que la nouvelle municipalité est installée. Deux mois qui sont passés très vite mais qui paraissent déjà une éternité, tant l’actualité internationale a bouleversé notre quotidien à tous.

Depuis l’installation du nouveau conseil municipal le 5 février, puis celle du conseil communautaire la semaine suivante, nous avons voté le 22 février la composition des commissions et des différents conseils d’administration où la ville doit être représentée.

Dans la foulée a débuté le débat d’orientation budgétaire, préalable au vote du budget communal, qui dresse le bilan financier de l’année écoulée et esquisse les choix pour l’année qui débute. À l’heure où nous rendons ce texte, le vote du budget n’a pas eu lieu mais vous en trouverez l’analyse détaillée dans ces pages : nous devons faire face à des contraintes imprévues qui vont peser davantage sur le budget. Grâce à l’excellente gestion de ces dernières années, nous maintenons nos investissements, tout en diminuant la dette et sans toucher à la fiscalité ; mais il est à craindre que la guerre en Ukraine engendre une augmentation rapide, et hélas durable, des tarifs de l’énergie, susceptible de se répercuter sur nos charges de fonctionnement, et d’enchérir le coût de nos investissements.

En 2 mois, nous avons également avancé sur certains projets. L’un des plus attendus, la centrale solaire photovoltaïque, va entrer en service cet été. Elle clôt un chapitre entamé en 1999, avec la fermeture de la décharge communale. Elle s’inscrit également dans la continuité de nos actions en faveur de l’environnement et de la citoyenneté, puisqu’un financement participatif est actuellement en cours pour permettre à ceux qui le souhaitent d’investir dans l’équipement. Cette centrale assurera enfin d’importantes rentrées d’argent à la commune.

En 2 mois, enfin, les conséquences du conflit en Ukraine ont fait irruption dans nos vies quotidiennes. De nombreux Saint-Rémois se sont mobilisés pour aider les Ukrainiens, soit en faisant des dons de matériel ou d’argent, soit en s’impliquant personnellement dans la collecte des dons ou dans l’hébergement des réfugiés.

Ceux-ci sont déjà plusieurs dizaines à être arrivés dans notre commune, pris en charge par la ville, par des associations ou des particuliers.

Ces 2 mois nous ont sans doute déjà un peu transformés, mais nous pouvons être fiers que la solidarité saint-rémoise soit toujours aussi forte et réactive.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Budget 2022 : des propositions concretes dans l’interet des Saint-Remois

Notre volonté, c’est d’être vigilants bien sûr, mais aussi constructifs et force de propositions au sein du conseil municipal durant ce mandat de quatre ans.

Dès le débat d’orientations budgétaires, qui s’est tenu le 8 mars dernier au conseil municipal, nous avons proposé au Maire, Hervé Chérubini, d’inscrire au budget 2022 cinq projets attendus par les Saint-Rémois :

  • La requalification et l’optimisation du parking de la Gare. Elles sont réclamées depuis plusieurs années notamment par les commerçants.
  • L’extension du COSEC. Le COSEC est trop exigu et ne permet plus d’accueillir la pratique de nouvelles activités sportives à Saint-Rémy.
  • La création d’un Centre de Supervision Urbain (CSU) dans les locaux de la Police Municipale afin de visionner en temps réel les images des caméras de vidéoprotection, comme à Châteaurenard et Tarascon.
  • Le réaménagement et l’embellissement du Parc de l’Argelier, délaissé depuis plusieurs années, pour en faire un espace vert agréable à côté de notre conservatoire de musique.
  • La mise en place d’un système de climatisation réversible, nouvelle génération et économe en énergie, dans nos écoles. Elle a été demandée à plusieurs reprises par les parents d’élèves.

Ces projets sont réalistes, raisonnables et peuvent être tous soutenus financièrement par le Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône mais aussi par l’Etat et la Région. Par exemple, pour le CSU, le Conseil Départemental peut subventionner l’investissement jusqu’à 70%, comme il l’a fait à Tarascon.
Par exemple, pour le COSEC, la commune de Saint-Rémy peut solliciter des financements auprès de l’Etat dans le cadre des Jeux Olympiques de 2024 puisqu’elle a déjà été labellisée « Terres de Jeux 2024 ».
Dans l’attente de la réponse de la majorité municipale, nous nous sommes abstenus sur ces orientations budgétaires.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Pascal Bouterin, Nathalie Hervet

Expression de la majorité municipale
Défendons notre histoire construisons notre avenir

Le bilan d’une élection

Le second tour des élections municipales le 30 janvier dernier a clôturé une longue séquence politique qui s’était ouverte il y a 19 mois, avec le recours déposé par l’opposition au lendemain du second tour de 2020.

Nous serions tentés de dresser un petit bilan chiffré de cette vaste opération, indépendante de notre volonté, que nous avons tous collectivement vécue :

  • 2,5 mois : le temps perdu par la commune, gérée par une délégation spéciale préfectorale aux pouvoirs limités, et donc dans l’incapacité de résoudre les problèmes des Saint-Rémois ;
  • 30 000 euros : les dépenses engagées par la commune pour l’organisation des deux tours de l’élection municipale de 2022 (sans compter les dépenses annexes non calculées) ;
  • 1 fauteuil : ce qu’ont perdu les membres de l’opposition au sein du nouveau conseil municipal, passant de 7 à 6 élus suite à l’important écart de voix entre les deux listes (610 voix d’écart, plus important encore au second tour qu’au premier).

Si nous devions également en tirer un « bilan moral », nous constaterions également la mise en œuvre de pratiques qu’on avait rarement (sinon jamais) vues auparavant à Saint-Rémy, comme des prises de position publiques par des associations prétendument apolitiques, qui se sont servies de leur cause, sans aucun scrupule, pour promouvoir un candidat. Des associations au sein desquelles ont eu lieu des démissions en cascade de colistiers ou de proches du candidat en question, dans la semaine-même qui a suivi le scrutin, comme si leur rôle était soudain devenu sans objet. Voilà qui questionne la sincérité de leur engagement associatif…

Mais ce que nous préférons retenir de cette séquence, c’est plutôt les 1 066 votants supplémentaires qui se sont déplacés entre le second tour de 2020 et celui de 2022.

C’est aussi la clairvoyance des Saint-Rémois qui, à une large majorité*, ont marqué leur attachement à des valeurs républicaines saines, et leur confiance en une équipe expérimentée et sincère. C’est cela le vrai bilan de l’élection, duquel nous devrions tirer des leçons pour demain.

Nous tenons à vous renouveler tous nos remerciements, et vous assurer que le résultat dont vous nous avez honoré nous oblige toujours plus à servir Saint-Rémy du mieux possible.

Nous restons à votre écoute, quelles que soient vos problématiques, et vous accueillerons avec plaisir à nos permanences pour les aborder, comme nous l’avons toujours fait.

* 55,27% soit 3 196 voix, un record pour une liste dans l’histoire de Saint-Rémy.

Expression de l’opposition municipale
Le Renouveau St-Rémois

Merci pour votre confiance !

Les 23 et 30 janvier dernier, les Saint-Rémois ont été très nombreux à se rendre aux urnes pour les élections municipales partielles.

Ce scrutin les a passionnés et le Renouveau Saint-Rémois est heureux d’avoir participé à ce débat d’idées pour l’avenir de Saint-Rémy.

Nous souhaitons remercier les 2586 électeurs qui ont voté avec conviction et enthousiasme pour notre projet.

Ils savent qu’ils peuvent compter sur nous pour les 4 ans à venir et au-delà.

Ils savent qu’ils peuvent compter sur nous pour porter avec force leur voix au sein du conseil municipal.

Nous continuerons, avec beaucoup de travail, de détermination et d’humilité, à défendre Saint-Rémy.

Nous continuerons notre action de terrain et de proximité pour être à l’écoute des préoccupations quotidiennes des Saint-Rémois.

Nous souhaitons bonne chance à Hervé Chérubini et à son équipe, pour les quatre ans qui viennent, dans l’intérêt de notre village.

Nous représenterons, face au Maire et à sa majorité, une opposition constructive et exigeante, avec la volonté d’être utile aux Saint-Rémois.

Lors du premier conseil municipal, nous avons demandé à la municipalité de prendre les initiatives nécessaires pour empêcher la fermeture d’une classe à l’école de la République à la prochaine rentrée scolaire.

Si cette fermeture était confirmée par l’inspection académique, il s’agirait de la quatrième classe fermée, confirmant ainsi le déclin démographique de Saint-Rémy.

Il est urgent de rompre ce cercle vicieux et de permettre aux jeunes actifs de se loger à Saint-Rémy.

Romain Thomas, Céline Salvatori, Jean-Jacques Mauron, Marie-Pierre Diassy, Nathalie Hervet, Pascal Bouterin

Comment nous joindre ?
Tel : 06 61 43 18 73 renouveausaintremois@gmail.com Facebook : romainthomassaintremy

Expressions libres 2021

Expression de la majorité municipale – Défendons notre histoire construisons notre avenir

Démocratie et citoyenneté, au cœur de la vie saint-rémoise

À l’heure où ce magazine est envoyé sous presse, le Conseil d’État a tenu audience pour examiner le contentieux électoral qui oppose la majorité municipale, menée par Hervé Chérubini, au groupe du Renouveau saint-rémois. La décision de cette institution sera connue dans quelques semaines.

Si le Conseil d’État confirme le jugement du tribunal administratif, les élections municipales de 2020 seront définitivement annulées, et les Saint-Rémois amenés à revoter, probablement début 2022.

Depuis notre investiture le 4 juillet 2020, nous avons mis tout notre cœur à protéger la population de la crise de la Covid-19 et de ses effets, avec des mesures sanitaires et économiques fortes, afin d’anticiper et d’accompagner la relance. Nous avons également engagé ou accompagné de nombreux projets pour créer le Saint- Rémy de demain, plus agréable et écologiquement plus vertueux. Les logements aux Cèdres et à Ussol, la future piscine, le cinéma de 3 salles, la mobilité responsable, la nouvelle résidence seniors du Mas de Sarret, la poursuite de l’extension du réseau d’eau, la restauration intérieure de la collégiale, le réaménagement du parking de la Libération, le surclassement démographique de la commune, l’adhésion au dispositif « Petites villes de demain », le lancement d’une appli mobile dotée d’un service de signalement… sont autant de dossiers sur lesquels nous avons avancé tambour battant, pendant 16 mois, en dépit d’une opposition autocentrée et procédurière qui se soucie bien peu que la vie de la commune et des Saint-Rémois soit gelée pour une durée indéterminée.

Avec le budget participatif, nous instaurons une nouvelle forme de citoyenneté, qui va plus loin que les rendez-vous électoraux espacés de plusieurs années, et plus en profondeur que certains commentaires postés sur les réseaux sociaux. Le budget participatif permet en effet à chacun de proposer des projets réfléchis et argumentés, de se confronter à la réalité du terrain et du temps long, de prendre en compte leur faisabilité technique, règlementaire et financière, ainsi que les attentes des Saint-Rémois. C’est un puissant outil de démocratie participative, une passionnante opportunité de participer à la vie publique de la commune, de façon constructive, dans le but d’améliorer la vie de ses concitoyens.

Quelle que soit la décision que prendra le Conseil d’État, nous vous encourageons à déposer vos projets, du 15 novembre au 31 décembre.

Nous restons à votre service et à votre écoute, avec détermination.

Expression de l’opposition municipale – Le Renouveau St-Rémois

Romain Thomas à votre écoute

Déjà contestés par le Tribunal administratif de Marseille au printemps, les résultats des élections municipales 2020 sont en passe d’être purement et simplement annulés par le Conseil d’Etat, à la suite des conclusions du rapporteur public cet automne. De nouvelles élections devraient donc être reprogrammées très bientôt !

Et pendant que Hervé Chérubini et la majorité tentent d’expliquer l’inexplicable, notre équipe poursuit en toute sérénité son travail de proximité auprès de tous les Saint-Rémois :

  • un nouveau journal d’information avec, entre autres, tout ce qui se fait avec succès dans les communes voisines mais qui n’existe pas chez nous…
  • une nouvelle newsletter où l’on réaffirme notre attachement au parking des Cèdres, où l’on innove avec la climatisation dans les écoles…
  • des réunions de quartier pour discuter ensemble des problèmes rencontrés tout près de chez vous et des solutions que nous pourrions apporter…

Vous souhaitez rencontrer Romain Thomas et son équipe ? Appelez-nous : 06 44 97 86 91
Vous souhaitez recevoir les infos du Renouveau Saint-Rémois ? Ecrivez-vous : renouveausaintremois@gmail.com

Expression de la majorité municipale – Défendons notre histoire construisons notre avenir

Une équipe au travail, des dossiers qui avancent

L’été qui s’achève a permis aux Saint-Rémois de prendre des congés bien mérités, pour se reposer ou décompresser après une année difficile, ou au contraire de redoubler d’efforts, à l’occasion de la haute saison, pour rattraper un chiffre d’affaires malmené pendant des mois de crise sanitaire.

Fidèles au poste, vos élus de la majorité ont pour leur part continué à travailler intensément sur les dossiers essentiels à l’avenir de Saint- Rémy et des Saint-Rémois :

  • Ainsi, le conseil municipal du 23 juillet a validé le choix de l’architecte pour la piscine couverte. Une étape très importante dans le calendrier de ce projet très attendu.
  • Nous avons également voté la promesse de bail emphytéotique avec le Ciné-Palace, qui permettra à l’association d’obtenir les financements nécessaires à la réalisation du nouveau cinéma de 3 salles à l’emplacement de l’ancienne piscine.
  • Sur la question du logement, la vente au Clos des Cèdres a débuté avec succès et une très grande majorité de Saint-Rémois s’est positionnée sur les logements à prix maîtrisés. À Ussol, les derniers lots ont été attribués et les premières signatures devant notaire ont eu lieu début septembre.
  • Nous avons engagé le travail sur le thème central de la mobilité. Une première étape consiste à un comptage du flux de véhicules en plusieurs endroits stratégiques de la commune et à 2 périodes très différentes, aux mois d’août et d’octobre. Ce travail permettra de définir les mesures à mettre en œuvre en vue de réduire la dépendance à la voiture, développer les déplacements doux, pour une ville apaisée qui tient compte des enjeux environnementaux.
  • Enfin, dès novembre, la collecte des déchets va évoluer avec l’instauration de la collecte individuelle, pilotée par la Communauté de Communes Vallée des Baux Alpilles. Là encore, cette mesure va améliorer notre cadre de vie, en réduisant fortement les dépôts sur la voie publique, et réduire l’empreinte écologique de nos modes de vie.

Dans l’espoir de retrouver une vie quasi normale, nous poursuivons bien sûr notre contribution à la lutte contre la Covid-19. Après quelques semaines de pause, le centre de vaccination a été déplacé à l’espace de la Libération, plus adapté aux besoins aujourd’hui, ce qui permet aussi à l’Alpilium de retrouver sa vocation culturelle première.

Vous le voyez, nous restons à vos côtés quoi qu’il arrive, travaillant sans relâche pour une ville dynamique et un avenir radieux.

Expression de l’opposition municipale – Le Renouveau St-Rémois

A quand un dialogue entre le maire et les Saint-Rémois ?

Le projet initial du Renouveau Saint-Rémois, dévoilé en février 2020, prévoyait la création de comités de quartier. Pourquoi ? Parce que trop de Saint-Rémois ne se sentent plus impliqués dans la vie municipale, renonçant même à se déplacer pour voter (46 % d’abstention au second tour des dernières élections municipales !).

Un constat qui devrait faire réfléchir n’importe quel élu et, pourtant, les mandats d’Hervé Chérubini se suivent et se ressemblent sans écouter, ni dialoguer, ni consulter les Saint-Rémois sur les grands projets,
Dans les communes voisines, les projets sont présentés à la population et font l’objet d’une véritable concertation. Pas à Saint-Rémy !

L’exemple le plus flagrant est celui de l’urbanisation des Cèdres aux conséquences pourtant néfastes.

Disparition du grand parking de la Libération, pourtant vital pour les Saint-Rémois et les commerçants, circulation déjà saturée en centre-ville où les futures habitations vont générer mécaniquement toujours plus de véhicules, transformation de notre poumon vert au profit d’une bétonisation croissante face aux Alpilles…

En dépit des recours déposés par des particuliers et des associations, les travaux ont débuté et la commercialisation immobilière aussi.

Qu’arrivera-t-il si la justice exige de la mairie qu’elle revoie sa copie ?
Autre exemple édifiant, la construction d’une nouvelle piscine à Saint- Rémy à laquelle le Renouveau Saint-Rémois est favorable !

Promise depuis 1995 par Hervé Chérubini, ses contours sont encore très flous : Quel sera le tarif d’entrée pour les Saint-Rémois ? Qui va gérer la future piscine : la ville de Saint-Rémy ou la communauté de communes Vallée des Baux-Alpilles ?

Comment maîtriser ses coûts de fonctionnement qui, selon la Cour des Comptes, sont évalués en moyenne à 640 000 € par an, loin des 200 000 € estimés par la municipalité ? A titre d’exemple, les coûts de fonctionnement de la piscine de Beaucaire-Tarascon, ouverte toute l’année, représentent un million d’euros par an entre les frais de personnel et les charges fixes !

Comme n’importe quel citoyen, nous nous interrogeons. Et à défaut d’obtenir des réponses claires de la part de la majorité, l’opposition est traitée avec mépris et arrogance. Il est profondément regrettable que la majorité, pourtant élue avec 5 petites voix d’écart en juin 2020, reste claquemurée dans ses certitudes. Les Saint-Rémois jugeront.

Expression de la majorité municipale – Défendons notre histoire construisons notre avenir

La désertion du Renouveau saint-rémois

Les 20 et 27 juin se sont tenues dans toute la France les élections départementales et régionales, que le gouvernement avait regroupées le même jour en raison du contexte que l’on sait, et qui ont eu la triste particularité de battre des records en matière d’abstention des électeurs, pour des raisons sans doute multiples.

Ce désintérêt des électeurs s’est mécaniquement traduit par une autre désaffection, celle des citoyens qui, à chaque scrutin, participent à la tenue des bureaux, aux côtés des élus de la majorité et de l’opposition, en tant qu’assesseurs désignés en partie par les candidats, afin que les différentes sensibilités politiques soient représentées.

Lors des élections du mois de juin, l’organisation des 20 bureaux (10 pour les régionales et 10 pour les départementales) nécessitait au minimum 60 personnes titulaires et 60 suppléants, donc dans l’idéal 120 personnes.

Il aurait été logique que le groupe de Romain Thomas en désigne environ la moitié, soit 60 personnes. Or, il n’en fut rien : au premier tour, en tout et pour tout, il désigna 7 assesseurs titulaires et 3 suppléants, et au deuxième tour, 10 titulaires et 6 suppléants. Soit respectivement 10 et 16 personnes mobilisées sur les 60 attendues chaque dimanche… Autant dire une désertion.

Grâce à la mobilisation du Maire et des élus de la majorité, qui ont sollicité quelques dizaines de Saint-Rémois de bonne volonté, prêts à consacrer quelques heures durant deux dimanches, le scrutin a néanmoins pu être organisé dans de bonnes conditions.

Sans tous ces bénévoles que nous remercions chaleureusement ici, il aurait fallu réquisitionner des employés municipaux, avec un coût important pour la collectivité, comme cela s’est produit dans plusieurs grandes villes

Une fois encore, nous avons donc pu constater que M. Thomas, toujours prompt à faire le buzz, à bien parler, à s’agiter, à faire des recours pour tenter de décrocher l’écharpe de Maire, est soudain bien peu fiable lorsqu’il s’agit de travailler pour le bon fonctionnement de la démocratie et de s’impliquer autrement qu’au service de lui-même. La charge est manifestement trop lourde pour lui…

Expression de l’opposition municipale – Le Renouveau St-Rémois

Plaçons chaque Saint-Rémois au cœur des grands projets !

Aller à la rencontre des Saint-Rémois, chez eux, s’intéresser à leurs problèmes du quotidien, c’est se confronter à une réalité qu’un élu ne peut ignorer. Depuis le mois de mai, notre équipe écoute et fait des propositions concrètes à l’occasion de réunions de quartier qu’elle a initiées.

Et les Saint-Rémois, sympathisants ou non, se mobilisent et répondent avec enthousiasme à notre invitation. Les échanges sont parfois passionnés, mais le ton reste courtois car la démarche appréciée. On y apprend que le maire a fait de belles promesses pour séduire les uns et les autres – campagne électorale oblige -, mais que rien n’a été entrepris sur le terrain depuis…

Inscrit dans notre projet pour Saint-Rémy avant même le 1er tour de l’élection municipale en mars 2020, notre engagement en faveur d’une vraie démocratie locale est plus que jamais d’actualité. Si nous sommes élus, nous innoverons avec la création de comités de quartier.

Une première étape pour (re)donner la parole à chaque Saint-Rémois, les impliquer dans le présent et l’avenir de leur commune.

Pour que les Saint-Rémois aient de nouveau envie de s’impliquer dans la vie municipale, il est aujourd’hui indispensable que Saint-Rémy se dote de nouveaux moyens de gouvernance.

On pense au Conseil Municipal des Jeunes, créé il y a quelques années, mais hélas abandonné alors qu’il représente une formidable illustration de la citoyenneté !

On pense au Conseil des Anciens, consulté sur les projets municipaux, mais qui a lui aussi été supprimé depuis un an.

Mais il faut aller plus loin ! Les récents taux d’abstention records (64 % pour les élections régionales et 62 % pour les élections départementales) à Saint-Rémy, comme ailleurs, nous conduisent à accélérer le mouvement vers une participation citoyenne renforcée. D’autres villes ont déjà franchi le pas : référendum d’initiative citoyenne organisé si 10 % des habitants le demandent ; amendement citoyen qui permet de modifier une délibération inscrite au conseil municipal ; un budget consacré exclusivement à des projets citoyens dans chaque quartier…

Le Renouveau Saint-Rémois a été battu de 5 voix au second tour des municipales. Mais il n’a pas oublié les 3 894 électeurs qui ne se sont pas déplacés ce jour-là (46 % d’abstention !). Il devient donc urgent de moderniser la façon de diriger notre commune en plaçant chaque Saint-Rémois au cœur des grands projets et en faisant vivre une vraie démocratie locale.

Expression de la majorité municipale – Défendons notre histoire construisons notre avenir

Saint-Rémy renaît

La première journée de déconfinement, ce mercredi 19 mai, semble annoncer la couleur pour l’été qui se profile. Comme l’année dernière, l’assouplissement des restrictions sanitaires a immédiatement métamorphosé la commune. Du jour au lendemain, la réouverture des commerces, des bars, des restaurants et des équipements culturels (musées, grands sites patrimoniaux, Ciné-Palace…) a ranimé la vie saint-rémoise telle que nous l’aimons.

Pour nous autres, élus de la majorité municipale, c’est évidemment un soulagement et une satisfaction très particulières. Dès les prémices de l’épidémie, nous nous sommes mobilisés pour atténuer et résoudre les effets de l’épidémie, sur les plans sanitaire, économique et social. Immédiatement opérationnels après les élections municipales qui ont reconduit Hervé Chérubini dans ses fonctions de maire, nous n’avons pas perdu un instant pour mettre en place ou conforter les mesures nécessaires à la protection des Saint-Rémois les plus fragiles, à la préservation de nos entreprises frappées de plein fouet, ou encore à la création d’un centre de dépistage devenu un centre de vaccination dont les cadences, rapportées à la population municipale, sont parmi les plus élevées de France.

Les actions accomplies depuis près d’un an pour préparer le retour à la vie cet été se sont accompagnées de nombreuses mesures destinées à inscrire Saint-Rémy dans un avenir à plus long terme, comme l’engagement ou la poursuite d’aménagements structurants (rénovation de l’avenue Pellissier, parking de la Libération, piscine couverte…), l’avancement de projets de logements indispensables pour les Saint-Rémois (écoquartier d’Ussol, Clos des Cèdres…), la mise en œuvre de projets de développement durable (amélioration de la collecte des déchets dès cet automne à Saint-Rémy, l’installation d’une centrale photovoltaïque à l’ancienne décharge…).

L’assouplissement des règles sanitaires nous permet aujourd’hui de renouer avec les découvertes culturelles. Nous sommes heureux de voir les arènes Barnier reprendre vie et accueillir très prochainement le spectacle de lancement de la biennale G-Graines (le 4 juin) et des artistes amateurs pour la Fête de la musique (le 21). Ce magnifique site, restauré depuis septembre dernier en parc de verdure, sera par ailleurs amélioré d’ici un an, avec notamment l’ajout d’éclairages et de toilettes, pour permettre l’organisation de manifestations plus ambitieuses.

Saint-Rémy renaît et n’a pas fini de nous étonner !

Expression de l’opposition municipale – Le Renouveau St-Rémois

Sécurité : prévenir, rassurer, protéger

A l’occasion des dernières élections municipales, nous avions présenté aux Saint-Rémois un plan global et cohérent sur la sécurité.

Ce plan reposait sur des propositions pragmatiques pour prévenir, rassurer, protéger :

  • Renforcement des effectifs de la police municipale avec une redéfinition de ses missions et une présence accrue sur le terrain, dans tous les quartiers : en 2021, à Saint-Rémy, il y a moins de policiers municipaux qu’il y a vingt ans.
  • Augmentation du nombre de caméras de vidéo-protection placées à des lieux stratégiques : à la fin de l’année, Saint-Rémy, commune de 10 000 habitants, aura 49 caméras, c’est-à-dire à peine plus de caméras que Graveson (4800 habitants) qui en compte 43.
  • Raccordement de ces caméras à un Centre de Supervision Urbain (CSU), ce qui n’est pas le cas à Saint-Rémy. Comme à Châteaurenard et Tarascon, ce CSU permettrait de détecter la moindre problématique et de lancer une intervention.

Ces mesures sont indispensables pour soutenir et aider nos policiers municipaux et nos agents de surveillance de la voie publique qui réalisent un travail remarquable auprès des Saint-Rémois.

Il faudrait les libérer de certaines tâches, comme la surveillance de l’entrée et de la sortie de nos écoles. Pourquoi ne pas étudier, en étroite concertation avec la communauté éducative, la faisabilité du Papy-Mamy Trafic avec des retraités qui pourraient, en contrepartie, recevoir une gratification financière ?

A Châteauneuf-les-Martigues, ces papy et mamy trafic reçoivent 350 € par mois, ce qui leur permet de compléter une retraite parfois modeste.
Munir les Papy et Mamy Trafic du boîtier d’alerte automatique en lien avec les forces de l’ordre et le personnel sur place permettrait de maintenir la sécurité aux abords des écoles.

Ce plan est finançable par le Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône qui aide les communes dans leur politique de sécurité. Il a par exemple financé le CSU de Tarascon à hauteur de 70%.

Ce plan mérite d’être bien sûr complété et approfondi.

Par exemple, pourquoi le dispositif « Voisins Vigilants » n’est-il pas instauré à Saint-Rémy ? Ne pourrait-on pas s’inspirer de la ville de Rognac et de sa future application pour les Voisins Vigilants qui permettrait de déclencher une alerte et de l’envoyer directement au CSU ?

Autant de questions qui méritent des réponses appropriées et justes parce que la sécurité des Saint-Rémois doit être une priorité de la gestion municipale.

Expression de la majorité municipale – Défendons notre histoire construisons notre avenir

Surclassement démographique de Saint-Rémy : ce que cela signifie

Dans un arrêté du 12 avril, la préfecture des Bouches-du-Rhône a acté le surclassement démographique de la commune de St- Rémy-de-Provence : il est désormais considéré qu’à la population municipale recensée par l’Insee (9 893 hab.) s’ajoute la population touristique moyenne (9 443 hab.), soit une population totale de 19 336 habitants.

Il faut prendre la mesure de cette excellente nouvelle. Il ne s’agit pas en effet d’une décision préfectorale tombée subitement du ciel : c’est au contraire l’aboutissement d’années de travail, d’un cap tenu par une équipe et son capitaine pour accomplir une vision, et d’un combat pour faire reconnaître Saint-Rémy à sa juste valeur.

Pour obtenir ce surclassement, il fallait en effet avoir le statut de « station de tourisme », obtenu début 2020, qui lui-même nécessitait de répondre à de multiples critères, tant sur les équipements communaux que sur la qualité de notre office de tourisme. Nous les avons minutieusement remplis, l’un après l’autre, au fil des années.

Nous avons su développer un réseau d’eau potable et d’assainissement très performant et à coût modéré, au sein d’une régie publique créée par Hervé Chérubini en 1999. Nous avons investi massivement pour rénover les ruelles du centre-ville, pour restaurer notre patrimoine, du plus important (les Antiques) au plus modeste (fontaines…), pour doter la commune de services publics de qualité, dans des bâtiments rénovés, pour préserver notre environnement exceptionnel qui attire le monde entier, pour soutenir les associations qui perpétuent nos traditions, pour renforcer l’attractivité et la croissance de nos entreprises.

Ce surclassement traduit donc l’excellente santé économique de notre commune. Il ouvre la voie à un accroissement de la dotation globale de fonctionnement octroyée par l’État, et invalide les attaques récurrentes de nos détracteurs, qui invoquent un soi- disant déclin ou dénoncent des dépenses de fonctionnement et une dette prétendument plus élevées que dans d’autres communes de la même strate. Car comme le maire l’explique depuis des années, on ne peut comparer Saint-Rémy à une commune de 10 000 habitants, du fait justement de son caractère touristique.

Que l’on vive à Saint-Rémy depuis longtemps ou que l’on vienne d’y arriver, on peine à se souvenir d’où l’on était parti, ou à réaliser le chemin parcouru ces 15 dernières années. Ce type de distinction basée sur des critères objectifs permet de nous le rappeler. Saint- Rémy se porte bien et continue de faire rêver.

Expression de l’opposition municipale – Le Renouveau St-Rémois

Ce qui vous attend avec le projet des Cèdres

Saint-Rémois, savez-vous qu’un permis de construire de 152 logements aux Cèdres, avec l’arrivée de 434 nouveaux habitants, va bouleverser votre quotidien ?

Savez-vous que les riverains et des associations ont fait des recours sur ce permis ?

Savez-vous que les plus de 2000 Saint-Rémois qui ont signé une pétition pour le maintien du parking des Cèdres ont été ignorés ? Savez-vous surtout que plusieurs autres projets immobiliers privés d’envergure sont prévus dans ce quartier de la Libération et des Cèdres jusqu’au Valat Neuf et, avec eux, une augmentation de 10 % de la population en deux ans ?

Savez-vous que l’urbanisation de ce secteur va entraîner la disparition de l’actuel parking des Cèdres indispensable à notre qualité de vie, à nos commerçants et à notre centre-ville ?

Savez-vous que rien n’a été prévu sur l’accès à ce nouveau quartier ? L’adjoint à l’urbanisme, Henri Milan, l’a lui-même avoué dans La Provence du 21 avril : « Une seule chose reste gênante, c’est l’accès. On cherche des solutions ».

On croit rêver ! Réfléchir à l’entrée et à la sortie de 152 logements et d’un parking de seulement 400 places aurait été bien utile, en effet… En effet, une fois ces logements réalisés, tout ce monde sortira sur le chemin St-Joseph, seule voie d’accès inscrite dans ce projet, et l’avenue de la Libération où il est déjà difficile de circuler.

Vous Saint-Rémois, comment allez-vous circuler avec ces flux de voitures supplémentaires ?

Où allez-vous vous garer ?

Où vont se garer les milliers de visiteurs que nous accueillons chaque année ?

Le stationnement est déjà insuffisant dans St-Rémy, impossible les jours d’affluence.

Malgré cela, Hervé Chérubini supprime ce parking vaste et confortable de la zone des Cèdres sans prévoir la création de nouvelles places de parking par ailleurs.
Hervé Chérubini parle d’un bon projet d’intérêt général mais depuis quand l’intérêt général se résume t-il à une opération immobilière générant de gros bénéfices pour quelques-uns et de graves nuisances irréparables pour tous ?

Oui il faut des logements mais il faut les réaliser à prix accessibles et sur d’autres sites plus adaptés.

La disparition de plus de 500 places de stationnement gratuit aux Cèdres et la transformation d’un quartier tout entier en plein centre de Saint-Rémy se font au mépris de la plupart de vos attentes.

Nous continuerons à nous battre pour maintenir ce parking et avec lui la vie de notre centre-ville !

Expression de la majorité municipale – Défendons notre histoire construisons notre avenir

Un budget historique pour préparer demain

À l’heure où nous écrivons cette tribune, le vote du budget n’a pas encore eu lieu en conseil municipal (prévu fin mars), mais le débat d’orientation budgétaire a eu lieu lors de la séance du 16 février dernier, et celui-ci a permis de mettre en évidence, une nouvelle fois, l’excellente gestion des finances communales par les élus de la majorité.

Fidèles aux principes qui nous animent depuis toujours en matière budgétaire, et malgré une année 2020 exceptionnelle en raison de l’épidémie, nous avons maintenu un service public de grande qualité et continué à moderniser les équipements, tout en réduisant la dette et sans augmenter les impôts. Nous y sommes parvenus au-delà de nos espérances : alors que la crise sanitaire a coûté environ 1 million d’euros à la commune, nous avons dégagé un excédent historique de 3 millions d’euros, qui seront immédiatement fléchés sur le budget de 2021.

Cet excédent permettra ainsi de soutenir les investissements essentiels pour l’avenir de Saint-Rémy et des Saint-Rémois, conforter l’attractivité de notre commune, préserver son environnement et son patrimoine : citons par exemple la piscine couverte, la restructuration très attendue de l’avenue Durand-Maillane, la rénovation intérieure de la collégiale Saint-Martin, l’amélioration des stades pour accueillir une équipe de rugby en 2023, la mise en place d’éclairage et de toilettes publiques
aux arènes Barnier, la modernisation et la rénovation énergétique des équipements publics, musée des Alpilles, écoles, Cosec, etc.

Bien entendu, une fois encore, nous ne toucherons pas à la fiscalité et nous sommes déterminés à aider autant que nécessaire nos entreprises, nos associations et les personnes les plus fragilisées par la crise. En relançant les investissements, nous apportons notre part à la reprise économique du pays. C’est cela que permettra le budget de combat que nous prévoyons pour 2021.

Pendant cette crise majeure, notre préoccupation principale est d’en atténuer les effets et d’en anticiper la sortie. C’est ce à quoi nous travaillons chaque jour.

Nous regrettons que pendant ce temps, l’opposition municipale se sente uniquement concernée par la tenue de nouvelles élections, consacre toute son énergie à entraver le bon fonctionnement de l’institution et cherche, par tous les moyens, à désinformer les Saint- Rémois. Ce n’est pas comme cela qu’ils parviendront à être pris au sérieux dans une période compliquée pour tout le monde.

Expression de l’opposition municipale – Le Renouveau St-Rémois

Revoter en 2021 et retrouver de l’espoir

Huit mois après le second tour des élections municipales, le recours déposé par le Renouveau Saint-Rémois auprès du Tribunal Administratif de Marseille a abouti.

De nouvelles élections municipales seront organisées en 2021 à Saint- Rémy de Provence, seule ville des Bouches-du-Rhône dans ce cas !

Et parce qu’il est insupportable d’être qualifiés en permanence de « menteurs » par Hervé Chérubini et la majorité municipale avec une rare violence, nous avons publié sur nos pages Facebook et sur notre site Internet (www.romainthomas2020.com) l’intégralité du jugement, toujours consultable. Chacun se fera son idée sur l’identité réelle du « menteur »…

Si nous devons revoter, c’est parce qu’Hervé Chérubini, élu depuis 1989 et candidat à 12 élections, n’a tout simplement pas respecté le droit électoral, ce qui est loin d’être une anecdote ou une « futilité » pour un maire en place.

Maintenant, il faut redonner rapidement la parole aux Saint-Rémois alors que notre commune est frappée par la crise sanitaire, économique et sociale. Il est temps de proposer et d’agir pour notre jeunesse qui vit masquée et privée de sa légèreté.

Il est temps de proposer et d’agir aussi pour nos anciens qui sont nombreux à être isolés et éloignés de leurs proches.
Il est temps de réfléchir et d’agir pour soutenir nos soignants qui sont
à bout de souffle.
Il est grand temps d’impliquer et d’écouter les chefs d’entreprises qui s’interrogent sur le devenir de leur activité et de leurs salariés.

Cette nouvelle élection interviendra à un moment décisif : les Saint- Rémois ont besoin d’optimisme, d’espoir et de joie de vivre. Nous avons, tous ensemble, l’opportunité d’écrire une nouvelle page de l’histoire de Saint-Rémy, entre tradition et innovation, authenticité et modernité.

La proximité est au cœur de tous nos projets depuis le début de notre engagement.

Notre équipe, autour de visages nouveaux, est celle de la diversité : on y débat en toute liberté de social, de culture, de logement, d’économie, de santé, de sport, d’éducation, de patrimoine, de sécurité, d’écologie, d’environnement… Avec un seul mot d’ordre : préserver notre identité et notre qualité de vie !

Loin des polémiques politiciennes dans lesquelles le maire aimerait tant nous enfermer, nous sommes conscients des vrais enjeux pour les Saint-Rémois et nous sommes prêts : d’abord pour revoter et, ensuite, pour apporter la preuve qu’une autre voie est possible, celle du Renouveau.

Expression de la majorité municipale – Défendons notre histoire construisons notre avenir

La vaccination, une aventure humaine

Le centre de vaccination, que nous avons proposé dès fin décembre à l’Agence régionale de santé (ARS), et mis en place en seulement 2 semaines à l’Alpilium, figure sans aucun doute parmi les plus grandes contributions de la commune à la lutte nationale contre l’épidémie de Covid-19.

S’il offre un service de proximité très apprécié pour les Saint-Rémois, ce centre couvre aussi en effet tout le bassin de population du nord du Pays d’Arles, soit 23 communes, environ 90 000 habitants, dont environ 9 000 de 75 ans et plus ou présentant des risques particuliers.

Pour le faire fonctionner, nous mettons à disposition, en plus de l’Alpilium lui-même pour une durée indéterminée, de nombreux agents municipaux à toutes les étapes de l’organisation : préparation et entretien de la salle, coordination de tous les acteurs impliqués (autorités préfectorales, ARS, Communauté professionnelle territoriale de santé des Alpilles, professionnels de santé locaux, centre hospitalier de la Timone, élus du territoire, bénévoles…), prise de rendez-vous avec une plateforme téléphonique dédiée pour faciliter les démarches des personnes éloignées d’internet, accueil du public, communication…

Nos collègues Catherine Meinhard et Sophie Roussi-Planché, conseillères municipales déléguées à la santé, ainsi que le premier adjoint Yves Faverjon, sont sur le pont chaque jour pour superviser ce formidable élan qui constitue notre meilleur espoir de sortie de crise.

La tâche est immense et hélas, compliquée par plusieurs inconnues et de nombreuses difficultés, comme les incertitudes sur la disponibilité des vaccins, ou les consignes de l’ARS qui évoluent d’une semaine sur l’autre.

Notre détermination reste néanmoins intacte pour poursuivre cette campagne autant que nécessaire, et nous ne doutons pas que dans les semaines qui viennent, nous puissions vacciner davantage et plus rapidement.

Au nom des Saint-Rémois, nous tenons à remercier tous nos partenaires et toutes les personnes impliquées dans cette belle entreprise, professionnels de santé, agents municipaux, bénévoles volontaires.

Même si les effets de la vaccination sur la propagation de l’épidémie ne seront pas perceptibles à court terme, elle occasionne un soulagement quasi immédiat pour les personnes qui ont pu en bénéficier.

Expression de l’opposition municipale – Le Renouveau St-Rémois

DERRIÈRE LE MAIRE, ON A DÉMASQUÉ LE CANDIDAT !

Les Saint-Rémois le savent et parfois même le disent : « il faudrait qu’il y ait des élections plus souvent car on voit le Maire partout ! ».

La perspective d’un nouveau scrutin provoque agitation et fébrilité au sein de la majorité municipale qui utilise ainsi tous les moyens pour faire campagne, du centre de vaccination à la nouvelle formule du Journal Municipal.

Sauf que la crise sanitaire que nous traversons, aujourd’hui économique et demain sociale, ne saurait faire oublier les manquements de celui qui dirige la ville depuis 1995.

Énergique quand il revêt son habit de candidat, « Docteur Hervé » déborde alors de propositions et de promesses. Une fois le costume de maire enfilé, « Mister Chérubini » éprouve toutes les peines du monde à masquer son manque de vision.

La population diminue à Saint-Rémy (833 habitants en moins entre 2008 et 2018) ? C’est la faute de l’INSEE dont il conteste les chiffres…

La circulation trop dense et mal régulée sur le Cours ? Pas de problème, il va lancer une énième étude sur la mobilité, une de plus, coûteuse et payée par les Saint-Rémois.

L’absence de logements à des prix accessibles pour les jeunes saint- rémois ? Pas de problème, il construit le Clos des Cèdres, omettant au passage le prix du m2, rédhibitoire quand on débute dans la vie active…

Le retard colossal pris dans la réhabilitation, puis le transfert du Mas de Sarret qui a failli partir de notre commune ? C’est la faute du Conseil Départemental…

La fermeture d’une classe à l’école de la République et les prochaines envisagées au vu de la baisse des effectifs ? C’est la faute de la Direction Académique qui ne tient pas compte des effets de la Covid-19…

Les entreprises et les commerces, particulièrement malmenés depuis un an, qui voient les élus voisins anticiper la chute des chiffres d’affaires ? Pas de problème, il créé une commission – une de plus ! – pour statuer sur une éventuelle aide financière, quand ailleurs on joue la carte de l’attractivité de Noël et on procède à un dégrèvement partiel ou total de la taxe CFE…

Alors, oui, M. le maire, c’est bien d’abaisser l’âge des bénéficiaires des colis de Noël et de distribuer des gâteaux des rois à nos anciens. Mais vous n’êtes plus en campagne, vous avez été élu pour gouverner et donc prévoir…

A moins que vous n’anticipiez déjà (pour une fois) que le recours déposé par le Renouveau Saint-Rémois et examiné le 8 février par le Tribunal Administratif de Marseille aboutisse.

Expression de la majorité municipale – Défendons notre histoire construisons notre avenir

Nos meilleurs vœux pour l’année 2021

Chères Saint-Rémoises, chers Saint-Rémois,

Cette éprouvante année 2020 s’achève avec un certain soulagement pour nous tous, marqués à des degrés divers par les difficultés engendrées par la triple crise sanitaire, économique et sociale.
Cela fait tout juste six mois que les citoyens saint-rémois nous ont choisis pour porter la destinée de notre commune. Six mois au cours desquels nous avons déployé des efforts considérables pour affronter l’épidémie et ses conséquences, mais aussi pour poser les bases de notre programme pour l’avenir de Saint-Rémy.

Sachez qu’en 2021, nous resterons à votre écoute et à vos côtés pour vous aider à mener à bien vos projets, pour vous soutenir dans les moments difficiles ou vous accompagner lors des évènements de la vie.

N’hésitez pas à venir nous rencontrer durant nos permanences en mairie ; vous trouverez les jours et horaires sur le site ou sur l’application de la ville. Quels que soient les sujets que vous voudrez aborder avec nous, le dialogue est toujours un début de solution, et c’est à travers lui que nous pourrons avancer, ensemble et de façon positive, tout au long de cette nouvelle année.

Nous vous adressons tous nos vœux de bonheur, à vous et à vos proches, tant au niveau personnel que professionnel, pour l’année 2021. Prenez soin de vous !

Expression de l’opposition municipale – Le Renouveau St-Rémois

Et si 2021 était l’année du Renouveau ?

Nous vivons une crise sanitaire, économique et sociale d’une extrême gravité qui nous oblige à repenser toutes nos politiques municipales et à déterminer de nouvelles priorités pour les Saint-Rémois en 2021.

Est-il possible de le faire avec une municipalité composée d’élus ayant trahi leurs électeurs et aujourd’hui affaiblie par le départ des principaux cadres administratifs ?

Est-il possible de le faire avec une municipalité qui va attendre les résultats d’une étude, chiffrée à plus de 50 000 euros, prévue pour durer au moins un an, pour agir sur la circulation et le stationnement ?

Est-il possible de le faire avec une municipalité qui parle de transition écologique et qui, en même temps, bétonise un quartier entier du centre-ville aux Cèdres ?

Nous ne le pensons pas. Nous pensons que l’heure est venue de passer à la vitesse supérieure.

Sur la santé, le Maire de Saint-Rémy est président du conseil d’administration de l’EHPAD Marie Gasquet depuis 1995. Or cela fait des années que la situation de l’EHPAD se dégrade sans que rien ne soit fait. La responsabilité du président et du maire était de préparer une refonte complète de l’établissement avec les acteurs concernés. Ce qui devait être une priorité est aujourd’hui une urgence.

Cela fait aussi longtemps que nous savons que la moitié de nos médecins généralistes partira en retraite dans les toutes prochaines années. Il faut mettre en place une véritable politique de santé à Saint-Rémy qui passe, entre autres, par la création d’une maison pluridisciplinaire de santé pour favoriser l’installation de médecins généralistes.

Sur l’économie et l’emploi, nos zones d’activités sont saturées. Il est nécessaire d’identifier le foncier disponible pour les entreprises tout en permettant à ceux qui travaillent de se loger à Saint-Rémy. Redynamiser, impulser, accompagner tous nos entrepreneurs, commerçants, artisans, restaurateurs, en pariant sur les atouts de notre commune, est la clef de la relance attendue par tous.

Bref, il faut changer. Nous restons sereins et déterminés face à la fébrilité et à l’agressivité d’un Maire en campagne qui essaie de nous faire croire qu’il a réalisé en six mois ce qu’il n’a pas fait en quatre mandats.

L’année 2021 sera celle du Renouveau si, comme nous l’espérons, la justice donne une suite favorable à notre recours et nous permet de revoter. Nous vous présentons nos vœux de santé, de bonheur et de réussite pour vous et vos proches.

Expressions libres 2020

Expression de la majorité municipale – Défendons notre histoire construisons notre avenir

À vos côtés dans la crise sanitaire

L’année 2020 s’achève dans quelques semaines après avoir durablement marqué la France et le monde sur les plans sanitaire, économique et social.

Dès les prémices de la crise, les élus de la majorité, au sein du conseil municipal et du conseil communautaire de la CCVBA, se sont mobilisés avec une grande réactivité, en réorganisant les services, et en relation constante avec l’ensemble de leurs partenaires : l’État et ses services, les collectivités régionales et départementales, les professionnels de santé, les acteurs économiques, les partenaires sociaux, le milieu associatif.
Depuis le début, notre principal objectif a été de prendre les mesures nécessaires pour limiter la propagation de l’épidémie et atténuer ses nombreux effets. Le renouvellement des mandats électoraux au début de l’été n’a pas altéré cette volonté, bien au contraire.

Les efforts considérables que nous déployons aujourd’hui ont aussi pour but de préparer « l’après ». C’est le sens des mesures économiques de résilience que nous avons prises sans la moindre hésitation : permettre aux entreprises de survivre pendant cette période difficile, car elles seront essentielles, une fois la crise derrière nous, pour nous reconstruire tous ensemble.

Ainsi, en complément des dispositifs du gouvernement ou en soutien des dispositifs des collectivités, la CCVBA a créé un fonds intercommunal d’urgence et de relance de 2 millions d’euros, abondé au fonds régional Covid Résistance (95 000 euros), proposé la gratuité des services de l’Office de tourisme pour ses adhérents, mis en place des facilités de paiement pour le règlement de l’eau et de l’assainissement. En parallèle, à Saint-Rémy, forts de l’excédent budgétaire dégagé en 2019, nous avons créé un fonds d’aide de 200 000 euros pour les personnes ne remplissant pas les critères des dispositifs existants.

De bonnes nouvelles sont à relever malgré tout dans la morosité actuelle. Ainsi, au mois d’octobre, la société Florame, au rayonnement international et à la croissance soutenue, a décidé de regrouper l’ensemble de ses activités à la Massane, sur un terrain dont elle vient de faire l’acquisition ; de nombreux emplois figurent à la clé. La concrétisation de ce projet a été rendue possible par un appui important de vos élus, et notamment d’Yves Faverjon.
C’est là un signe positif parmi d’autres, porteur d’espoir et témoin d’une reprise à portée de main.

Expression de l’opposition municipale – Le Renouveau St-Rémois

Anticiper pour gérer les crises

Comme partout en France, la situation sanitaire à Saint-Rémy s’est considérablement dégradée. Au dernier conseil municipal du 22 septembre, nous avons reformulé des propositions faites dès le mois de mars. Malheureusement, celles-ci n’ont pas trouvé l’écho escompté ! Hervé Chérubini se félicite d’avoir enfin réuni une cellule de veille sanitaire le 27 octobre. Il était temps ! Il a fallu que les chiffres explosent à Saint-Rémy pour qu’il y vienne quand d’autres maires ont agi dès mars ! Chiffres qu’il a préféré cacher aux SaintRémois considérant sans doute qu’ils n’auraient pas été capables de comprendre ce qu’est « un taux d’incidence ». Or, dès le printemps, le Docteur Jean-Jacques Mauron appelait de ses vœux la création d’une cellule de veille sanitaire. L’objectif étant de réunir tous les acteurs du secteur médical, mais aussi des représentants du monde économique, social, scolaire, associatif, … pour apporter des solutions, et identifier celles et ceux qui souffrent en silence. En dépit de ses efforts, le CCAS manque de moyens dans son accompagnement aux familles les plus précaires. Grâce au Docteur Eric Philippe, l’Alpilium a été un centre de consultations Covid au printemps. Nous proposons qu’il devienne un centre de dépistage, comme à Châteaurenard et à Tarascon. Cela permettrait d’accélérer les délais pour les tests et de soulager les professionnels de santé que nous remercions pour le travail accompli. L’équipe du Renouveau n’a pas attendu pour proposer et agir : livraisons à domicile, bons d’achat à dépenser dans nos commerces locaux, prise en charge d’une partie des loyers professionnels pendant ce second confinement ne sont que quelques exemples. Des propositions négligées par le Maire qui préfère donner l’illusion d’agir en s’affichant dans la presse en sauveur du petit commerce et en mobilisant les services municipaux pour distribuer aux commerçants le courrier au Ministre et leur expliquer à quel point il est un bon Maire. Ne serait-ce pas plutôt de la propagande politique à l’approche de verdict imminent sur le second tour des municipales ? Enfin, personne n’oublie la menace sécuritaire qui pèse sur la France. Nos propositions sur l’augmentation des effectifs de la police municipale et le redéploiement de leurs missions appuyées par une vidéo-protection performante, prennent malheureusement aujourd’hui encore plus de sens. Il ne suffit pas de faire illusion : il faut agir dans l’intérêt des Saint-Rémois.

Expression de la majorité municipale – Défendons notre histoire construisons notre avenir

« C’est au pied du mur qu’on voit le maçon »

Le 28 juin dernier, les Saint-Rémois ont élu la liste « Défendons notre histoire, construisons notre avenir ». Vous avez donc renouvelé votre confiance en Hervé Chérubini.
L’heure n’est cependant pas au triomphalisme car la tâche qui s’ouvre devant nous est immense. La grave crise sanitaire du Covid-19 a complétement transformé notre façon d’appréhender l’action publique et il est légitime de penser que rien ne vaut un élu de grande expérience pour affronter les conséquences de cette épidémie.

Selon le vieil adage, « c’est au pied du mur qu’on voit le maçon » : il faut voir les gens travailler pour juger de leur compétence. Pourrait-on réellement faire confiance à un candidat qui, au plus fort de la crise, n’a rien trouvé de mieux que proposer l’organisation d’un marché couvert à la salle Jean-Macé, au mépris des mesures sanitaires les plus élémentaires, ou qui a prôné la non-réouverture des écoles lors du déconfinement ?
En vérité, rien ne vaut l’expérience. Les Saint-Rémois mesurent aujourd’hui l’étendue et l’importance des très nombreuses actions menées par la municipalité pour aider tous nos concitoyens au plus fort de la crise sanitaire. Il y a d’un côté les élus d’action qui savent prendre les bonnes décisions au bon moment, et de l’autre, les simples commentateurs.
Un exemple, un seul : l’équipe du Renouveau saint-rémois passe son temps à dire que Saint-Rémy se meurt, qu’il est important d’être aux côtés des entreprises de la ville pour assurer la dynamique économique en cette période difficile. Pourtant, absolument tous les documents édités par le Renouveau saint-rémois durant la campagne des municipales ont été imprimés hors de Saint-Rémy, à Cavaillon, à Avignon, alors que des entreprises locales existent et font un travail de grande qualité. Au-delà du symbole, le choix de Romain Thomas de faire imprimer sa propagande politique par des entreprises étrangères au territoire communal démontre que sous le vernis du discours bien huilé et bien travaillé se cache une vérité plus dérangeante.

Fort heureusement, les Saint-Rémois peuvent avoir confiance en nous et en Hervé Chérubini pour défendre leurs intérêts. Nous avons tiré les leçons du scrutin des municipales et nous sommes bien décidés à consacrer les 6 prochaines années à mener une action de proximité, centrée sur les citoyens et mettant au tout premier plan les questions environnementales et de santé.
Comptez sur nous !

Expression de l’opposition municipale – Le Renouveau St-Rémois

Un recours aujourd’hui pour le Renouveau demain

Devancée seulement de 5 voix lors d’un second tour entaché d’un certain nombre d’irrégularités constatées dans plusieurs bureaux de vote, notre équipe a déposé un recours le 3 juillet auprès du Tribunal Administratif. Nous attendons avec sérénité la décision de justice qui se prononcera d’ici la fin de l’année. Si nous obtenons gain de cause, nous pourrions être amenés à revoter en 2021.
D’ici-là, le « Renouveau Saint-Rémois » continue son travail de proximité.
Romain Thomas, Gisèle Perrot-Ravez, Jean-Jacques Mauron, Céline Salvatori, Mattia Siffredi, Dany Aoun et Pascal Bouterin siègent au conseil municipal avec la ferme intention de faire entendre la voix des électeurs qui nous ont déjà fait confiance et de tous les autres qui souhaitent un vrai changement pour que Saint-Rémy retrouve ses lettres de noblesse. Humble et respectueux, notre groupe a déjà interpellé l’équipe municipale sur le projet très controversé de suppression du Parking des Cèdres/Libération, l’aménagement de l’Eco Hameau d’Ussol… et bien évidemment sur les éternels problèmes de circulation et de stationnement qui empoisonnent les Saint-Rémois au quotidien !
Nous voulons être également utiles aux Saint-Rémois dans ce contexte inédit de crise sanitaire, économique et sociale. Nous sommes et nous serons d’abord force de propositions. Nous continuerons à défendre les priorités qui sont celles des Saint-Rémois : les protéger face au Covid et à ses conséquences ; soutenir fortement notre tissu économique ; construire des logements adaptés à leurs besoins et à leur pouvoir d’achat ; élaborer enfin un vrai plan de circulation et de mobilité afin d’améliorer nos déplacements quotidiens ; imaginer des politiques municipales innovantes pour accompagner les familles ; aider et valoriser nos artistes locaux. Autant de mesures qui doivent être prises rapidement. Il en va de l’avenir, de la sécurité et du bien-être de chacun. Nous restons à votre écoute grâce à notre mail : renouveausaintremois@gmail.com

Expression de la majorité municipale

Durant cette période préélectorale et par respect de l’équité entre toutes les listes en présence, la Majorité municipale considère que le débat politique doit se dérouler dans un autre cadre que le journal municipal auquel l’ensemble des listes n’a pas accès.
Nous vous invitons à vous reporter en particulier sur les programmes, sites web et permanences créés dans le cadre de la campagne par les différentes listes candidates.

Expression de l’opposition municipale – Henri Milan

LES ELECTIONS MUNICIPALES ONT LIEU LES 15 ET 22 MARS PROCHAINS, JE VOUS ENGAGE A ALLER VOTER !
MON SCORE DE 2014 AYANT AIGUISÉ LES APPETITSDE TOUS BORDS, IL EST ESSENTIEL DE SE MOBILISER AU PREMIER TOUR AFIN QUE NUL NE PUISSE REGRETTER AU MATIN DU 16 MARS DE NE PAS AVOIR ACCOMPLI SON DEVOIR CITOYEN.
CHERES SAINT-REMOISES, CHERS SAINT-REMOIS, C’EST A VOUS QU’APPARTIENT CETTE ELECTION.

Expression de l’opposition municipale – Saint-Rémy au cœur

À l’heure du bilan

Dans la Provence du 17/11/2019, Hervé Chérubini déclarait, en parlant de son bilan de mandat : « Nous avons tenu nos engagements à 98%.. ». Oui mais bien sûr…!

C’est bizarre, mais nous ne parvenons pas tout à fait au même décompte. À partir de sa profession de foi 2014, c’est seulement un petit 8/20 que nous pouvons lui attribuer. En effet, il était question de nouveau parking de centre-ville, de navette électrique durant l’été, des logements pour les Saint-Rémois, de la piscine couverte, de l’amélioration de la propreté, d’une ludothèque, de la rénovation du Cosec, du boulodrome, de la restauration intérieure de la Collégiale, de l’extension du réseau d’eau potable au quartier du Grès, de la réhabilitation des Arènes Barnier… Certes, certains projets n’ont jamais été aussi prêts de démarrer. Pour le moment, rien n’est commencé…

Expression de l’opposition municipale – Angeline Ingoglia

L’UNITÉ OU L’IMMOBILISME ?

Dans quelques semaines les élections municipales.
Leur issue positive pour Saint Rémy ne sera possible qu’avec l’union des forces de droite, sinon une voie royale sera ouverte au Maire actuel dont nous sommes tous convaincus que son temps est passé !
Il ne faut pas oublier qu’en 2014 le rejet de l’union a permis la ré – élection du Maire actuel avec seulement 23 voix de plus ! et qu’ainsi 6 ans de plus de gestion sans projets novateurs notamment économiques ont vu notre village perdre des habitants avec le départ de nos jeunes.
Il faut savoir mettre de côté toute querelle partisane et abandonner toute guerre d’égo !
Il faut se rassembler autour d’idées simples et nécessaires afin d’envisager un futur plus ambitieux pour notre commune que ce soit en matière d’urbanisme, d’emploi, d’environnement, de culture et de sécurité.

Expression de la majorité municipale

Un grand merci aux Saint-Rémois !

Nous voulons remercier les Saint- Rémois qui ont massivement répondu présent au repas annuel de la majorité municipale organisé le 23 novembre dernier. De mémoire d’élus municipaux, jamais nous n’avions vu autant de monde avec plus de 500 personnes réunies à l’apéritif et 450 au repas. Pour des raisons évidentes de sécurité, nous n’avons pas pu accueillir tout le monde et nous nous en excusons. Cet incroyable succès est le symbole du lien très fort qui unit les Saint-Rémois entre eux. Dans notre société mondialisée où les liens humains ont la fâcheuse ten- dance à se distendre, les citoyens ont besoin de proximité et de partage.

Cette proximité, nous veillons à la maintenir au quotidien, avec notamment les permanences assurées par les élus municipaux. Ces 5 dernières années, Hervé Chérubini a reçu plus de 2 000 Saint-Rémoises et Saint-Rémois au cours de ses permanences du jeudi. Chacune de ces rencontres donnent lieu à des fiches qui sont ensuite transmises aux services municipaux pour qu’une réponse, la plus rapide et la plus appropriée possible, soit transmise aux administrés.
À Saint-Rémy, la porte du Maire est toujours ouverte pour les administrés qui souhaitent le rencontrer et échanger sur les problèmes de leur quotidien, afin de les régler quand cela est possible. Rares sont les élus de communes de même dimension qui assurent de telles permanences sans rendez-vous.

Cette proximité est centrale. C’est pourquoi un rattachement à la Métropole marseillaise serait catastrophique pour les Saint-Rémois. Comment continuer à entretenir un tel lien de proximité si le centre de décision était éloigné à près de 90 km ? La relation que tout maire doit entretenir avec ses concitoyens tient en 3 mots : proximité, proximité et proximité.

Expression de l’opposition municipale – Henri Milan

UNE VISION POUR L’AVENIR

Les résultats de la grande consultation que je mène depuis un mois, révèlent vos attentes. La sécurité ; tant les petits et grands manquements à l’ordre se multiplient grâce à l’inertie de la majorité. La santé pour toutes les générations en faveur de la présence d’un centre médical d’urgence permanent. La propreté qui est indigne d’un village aussi réputé mondialement que le nôtre. La circulation et l’urbanisme enfin, oubliés des mandats du maire actuel. Les travaux sur l’avenue
de la Libération entrainent des bouchons chaque jour. Ce manque de vision est révélateur d’un système vieux de plus de 25 ans. Comment prévoir l’avenir quand des considérations électoralistes bloquent les réformes obligatoires. Il conviendra de reprendre à la racine les maux qui nous pénalisent, afin d’envisager notre avenir plus sereinement.

Expression de l’opposition municipale – Saint-Rémy au cœur

La gestion municipale rattrapée par la patrouille !

M Chérubini a retenu du rapport de la Cour des Comptes que la « situation finan- cière de la commune était maîtrisée ». Or en le relisant, on note des anomalies graves qui infirment clairement cette affirmation.
– L’absence de mise en concurrence pour diverses prestations
– Des budgets d’investissements insincères car utilisés pour 50% du budget voté.
– Des manquements graves au respect des règles comptables pour les immobilisations
– Non seulement la ville crée ses propres lois pour chiffrer et constater ses amortissements, mais elle ne les respecte pas !
– Des bases d’imposition de la taxe d’habitation et de la taxe foncière 40% supérieures aux villes de même taille
– Une dette de 13 millions d’euros soit 1300 €/h contre 842 € pour des villes de même importance.

« Situation maîtrisée des finances de la commune » ?!.

Expression de l’opposition municipale – Angeline Ingoglia

Où en sommes-nous à Saint-Rémy en cette fin décembre ?
En cette fin de mandat nous assistons à la mise en place d’une série d’opérations de type cosmétique afin de remplir un contrat passé avec ses électeurs passés ou futurs.
En effet ce qui préoccupent nos concitoyens sont des sujets plus prosaïques tels que la propreté de la ville, le logement, le stationnement, une circulation plus fluide ainsi qu’une signalisation adaptée.
La Commune n’investit pas assez car sa très faible capacité d’autofinancement réduit considérablement nos marges de manœuvres. Des emprunts trop longs, un endettement (1300€ par habitant) supérieur aux communes de même taille, nous pénalisent réduisant notre potentiel d’investissement sur ces sujets primordiaux pour notre avenir.
Bonnes Fêtes à Tous.

Expressions libres 2019

Expression de la majorité municipale

La situation financière de la commune maîtrisée

« La situation financière de la commune est maîtrisée.» Voilà ce qu’il est possible de lire dans le rapport d’observations définitives réalisé par la Chambre Régionale des Comptes et portant sur l’analyse des comptes de la commune depuis 2010. Les ergoteurs qui aiment pointer une soi-disant mauvaise gestion de la ville en sont donc pour leur frais. Rien d’étonnant non plus à ce que les oppositions muni- cipales ne se soient pas emparées de ce rapport, car il dresse un portrait très avantageux de la gestion financière communale.

Les principaux éléments pointés par la CRC concernent des écritures comptables qui ont d’ores et déjà été toutes modifiées et qui n’engageaient absolument pas la sincérité de la gestion communale. Dans son rapport, la CRC remarque même que « les débats d’orientations budgétaires sont de bonne qualité » (p. 8) et qu’à Saint-Rémy, nous sommes sur « une construction prudente et réaliste du budget de fonctionnement » (p. 9).
Si de nombreuses communes redoutent les contrôles de la Chambre Régionale des Comptes, à Saint-Rémy c’est tout le contraire car ceux-ci ont permis de démontrer la saine gestion des deniers communaux, de manière transparente et indiscutable, les magistrats de la CRC étant parfaitement indépendants.

Cette gestion exemplaire permet à la ville de maintenir des investissements importants sans augmenter les impôts et d’avancer sur des projets structurants comme le Mas de Sarret, dont le déménagement à Eyguières a été un temps envisagé par l’Entraide 13. La ville avait immédiatement réagi en votant une aide de 500 000 euros et en proposant à l’euro symbolique un terrain parfaitement adéquat pour recevoir l’institution et ainsi assurer la pérennité de ce service essentiel pour nos ainés.
Une visite des candidats-architectes a récemment eu lieu sur le site. De l’avis des spécialistes, le terrain proposé par la ville est l’un des plus beaux sur lequel ils ont eu à travailler.
L’accompagnement de l’Entraide 13, pour faciliter et accélérer la réalisation de ce projet nécessaire à nos seniors, sera bien sûr poursuivi.

Expression de l’opposition municipale – Henri Milan

À VOTRE SERVICE DEPUIS LE PREMIER JOUR

Je lutte pour défendre nos libertés, nos traditions, son art de vivre et son identité.

Cet engagement je le vis tous les jours dans mon entreprise agricole, par une pratique respectueuse et responsable de notre environnement. J’ai toujours eu l’ambition de laisser un avenir plus sain et naturel à nos enfants, promouvoir une image positive et bienveillante de notre terroir dans le monde entier.
C’est pourquoi dans les prochaines semaines et les prochains mois pendant que
la période électorale occupe toute l’attention des candidats actuels et à venir, je vous reste fidèle en tant que Saint-Rémois dévoué, restant à votre écoute, pour défendre toutes vos priorités «Ad vitam».

Cette promesse d’ouverture, je veux la mettre au service de mon village proven- çal et de tous ceux qui l’aiment.

Expression de l’opposition municipale – Saint-Rémy au cœur

Monsieur le Maire s’enlise dans son projet de construction de logements sur le Clos des Cèdres.

Ignorant les observations de nombreux Saint-Rémois, des associations, ou des membres de la Commission extramunicipale, le Maire poursuit sa démarche de « concertation fallacieuse ». Il refuse d’ailleurs de présenter son projet aux Saint- Rémois ou pire encore au conseil municipal. Ce projet divise par trois la capacité de stationnement du site. Il crée 150 logements en plein centre-ville, dont plus d’une centaine sont destinés à la vente, non pas pour répondre aux besoins des jeunes
ou des familles Saint-Rémoises mais bien pour permettre à des investisseurs de réaliser une opération spéculative. Les problèmes de sécurité des entrées-sorties des véhicules côtoyant des enfants, des piétons ou des personnes âgées restent très aigus. C’est un mauvais projet pour Saint-Rémy qu’il ne faut pas laisser faire en ces lieux.

Expression de l’opposition municipale – Angeline Ingoglia

À six mois des Municipales ….

Après un PLU ne portant pas une vision cohérente du développement tant démographique qu’économique de notre ville, sans une véritable politique en matière de logement, de mobilité et de transport, nous assistons :
– à un replâtrage de travaux sur la place de la République sans reprise ni mise en adéquation avec les réseaux, une remise en état du pourtour des Arènes Barnier ;
– à une proposition de projet sur les Cèdres, sans concertation avec les Saint Rémois, comprenant un accès à la propriété au-dessus des moyens des jeunes ménages.
Ne serait-il temps d’envisager notamment un futur plus ambitieux en réhabilitant les logements inoccupés du centre-ville avec un véritable plan d’urbanisme aidé. Tout ceci n’est que nuage de fumée pour montrer aux Saint-Rémois que le pro- gramme promis sera réalisé.

Expression de la majorité municipale

Un chantage aux subventions pour les opposants à la métropole marseillaise

Intégrer ou ne pas intégrer la Métropole Aix-Marseille, le sujet demeure encore et toujours d’une brûlante actualité sur le Pays d’Arles. Dès l’origine, la ville de Saint-Rémy, par la voix de son Maire, Hervé Chérubini, a toujours été à la pointe du combat contre une intégration forcée de notre territoire dans la Métropole.
Cette position claire et inchangée s’appuie sur des études extrêmement sérieuses, réalisées par deux grands cabinets français spécialistes de ces questions. Les arguments des défenseurs d’un Pays d’Arles autonome sont donc aujourd’hui étayés par des données précises et chiffrées qui prouvent tout ce que notre territoire a à gagner en restant indépendant de Marseille.

Il en est tout autrement pour les partisans de la Métropole dont le positionnement, il faut bien le dire, relève plus d’un parti-pris politique et pour certains d’un opportunisme personnel, que de la recherche de l’intérêt général.
Désormais, les pressions s’accentuent sur les élus réfractaires à l’idée de rejoindre la Métropole. Ainsi, à la communauté d’agglomération Terre de Provence, le président Jean-Marc Martin-Teissère a vu la constitution d’une fronde qui a empêché le vote du budget, avec des conséquences désastreuses pour le territoire.

La majorité des villes qui refusent l’intégration à la Métropole subissent ce qu’on peut appeler un chantage aux subventions, exercé depuis Marseille. Bernard Reynès, Député de la 15e circonscription, converti de dernière minute et désormais ardent défenseur d’une intégration dans la Métropole, l’avouait lui-même avec une franchise déconcertante, dans des propos relatés par le journal La Provence du 6 avril (« Terre de Provence saborde le vote du budget sur fond de Métropole») : « En vous opposant de fait à la présidente du Département (…), vous avez réussi à vous mettre à dos le Département, et Terre de Provence est privée de toutes les subventions, et certaines communes se retrouvent elles aussi privées de ce sou-tien indispensable du Département ». Le pot-aux-roses est dévoilé !

Les choses sont donc de plus en plus limpides.
En parallèle, un sondage d’opinion réalisé courant avril par l’institut BVA a confirmé le sentiment d’une très large majorité des citoyens du Pays d’Arles, qui refusent l’idée de toute intégration de leur territoire à la Métropole.Il est désormais temps de laisser le libre choix aux citoyens : un référendum doit être organisé sur les 29 communes du Pays d’Arles.

Expression de l’opposition municipale – Henri Milan

NI METROPOLE NI PAYS D’ARLES NI CCVBA

Le dernier conseil communautaire a vu Hervé Chérubini mis en difficulté par ses anciens alliés, au même titre que celui de Terre de Provence notre voisin du nord. Il mets en lumière l’impossibilité de mener une action cohérente au service des habitants de nos villages.
Comment imaginer que le maire, élu démocratiquement, voit son action entravée par un conseil communautaire qui lui n’est pas élu au suffrage universel direct. C’est un dévoiement de notre démocratie, sous couvert d’économies d’échelle soit disant, mais qui pratiquement, ajoute une surcouche inutile et dangereuse pour notre démocratie. Le symbole en est l’état désastreux de la propreté de la ville, depuis sa prise en charge par la CCVBA. Triste constat d’une inaction que les électeurs ne comprennent pas et qui les pousse à voter pour les partis extrémistes.

Expression de l’opposition municipale – Saint-Rémy au cœur

Un budget de fin de mandature

Le Budget 2019 illustre l’absence totale de maîtrise de la gestion d’Hervé Chérubini.

Les dépenses de fonctionnement continuent d’augmenter. Un programme d’investissements de 9, 6 millions d’euros est présenté alors que les années précédentes ont démontré que la municipalité n’était capable d’en assurer que la moitié! On relève aussi un véritable fourre- tout des projets promis mais non aboutis à ce jour pour la piscine, la Collégiale et les arènes Barnier sans compter l’explosion des frais d’études à hauteur de 500 000 euros en 2019. Notre commune va s’endetter davantage, avec plus d’un million d’euros supplémentaires, portant la dette par habitant à 1500 euros cette année.

L’état des finances de notre ville laisse augurer de graves difficultés pour son avenir.

Expression de l’opposition municipale – Angeline Ingoglia

Et pendant ce temps-là à Saint Rémy de Provence …

Alors que la guerre des chefs fait rage au sein des communautés de communes pour savoir qui sera le prochain « roi » au sein des futurs découpages ou tout simplement guerre d’égo, la vie continue au sein de notre Commune au gré des bruits divers et des intérêts souvent de chacun plutôt que du bien commun !

Diverses problématiques pourtant existent alors que la saison va bientôt débuter la ville est toujours aussi sale ! Les containers certes plus esthétiques mais volumineux trouveraient une place plus opportune en périphérie. Ne serait-il pas d’ailleurs temps d’envisager des poubelles enterrées comme nous l’avions proposé dès 2014 et que l’on peut voir ailleurs ?

Mais ceci ne doit pas nous faire oublier la nécessité d’être force de proposition afin de maintenir les compétences de proximité : PLU, logement, zone d’activités.

Expression de la majorité municipale

Le gouvernement doit maintenant respecter la voix des 13 500 citoyens du Pays d’Arles

Les mouvements sociaux de ces derniers mois ont entre autres traduit le très fort attachement de nos concitoyens aux collectivités de proximité et leur rejet d’une trop grande verticalité des institutions.

Ce contexte national particulier a donné un écho supplémentaire à la consultation de la population du Pays d’Arles. 13 500 citoyens d’Arles, de Barbentane, d’Eyragues, de Fontvieille, de Saint-Martin-de-Crau, des Saintes-Maries-de-la-Mer, de Saint-Pierre-de-Mézoargues, de Saint-Rémy-de-Provence et de Verquières ont très majoritairement fait part de leur rejet de toute idée de rattachement à la Métropole. Les résultats des consultations citoyennes sont sans ambiguïté : 9 habitants sur 10 se sont exprimés en faveur d’un Pays d’Arles autonome.

Aujourd’hui, le projet d’un Pays d’Arles hors du périmètre métropolitain, assumant tout ou partie des compétences départementales, recueille donc l’assentiment quasi général des citoyens. De très sérieuses études, menées par les cabinets Klopfer et Ressources Consultant Finances, ont démontré non seulement la viabilité, mais aussi la pertinence de ce projet de territoire. La Région, par la voix de son Président Renaud Muselier, a également décidé d’apporter tout son soutien à cette démarche en proposant de porter certaines compétences départementales.

Citoyens, institutions, et élus du territoire expriment donc tous aujourd’hui une volonté commune : ne pas intégrer la Métropole Aix-Marseille-Provence et construire un territoire d’avenir, autonome, organisé autour du Pays d’Arles.

De son côté, le gouvernement n’a cessé ces dernières semaines de multiplier les déclarations sur l’importance de mieux associer les citoyens aux prises de décisions. Le Président de la République a même déclaré : « On ne peut plus décider comme avant, et je parle pour moi et le gouvernement, sans aller rechercher de la délibération et du consensus. »

L’avenir du Pays d’Arles a déjà fait l’objet dans le territoire d’un grand débat, avec réunions publiques, discussions, concertation, et votes. Le gouvernement a une occasion unique de joindre le geste à la parole et de montrer qu’il entend et respecte la voix des citoyens et des élus locaux. Il est urgent que les incertitudes concernant l’avenir institutionnel du Pays d’Arles soient rapidement et définitivement levées pour qu’un projet de nouveau territoire puisse désormais avancer.

Expression de l’opposition municipale – Henri Milan

P.L.U. adopté mais … quel manque de volonté !

– 1 L’étude sur les risques d’inondation rend une grande partie de la commune inconstructible, alors même que de nombreux habitants n’en avaient jamais été victimes.

Le manque d’engagement de notre maire sur ce dossier est criant ; pas de critiques, pas de réactions au mépris de notre avenir.
Voilà pourtant un dossier que M. Chérubini aurait pu défendre puisqu’il en était le seul décisionnaire.
Ce manque de volonté et d’énergie, pénalisera les Saint-Rémois pour de longues années, car ce sera bientôt la CCVBA ou pire Marseille, qui décideront à notre place. Vu de si loin comment prétendre connaître notre situation !

– 2 Même passivité au sujet des compteurs Linky. Dossier géré sans une réelle volonté de nous défendre. « Volonté » un mot qui semble inconnu de notre maire.
Un résumé de son règne depuis si longtemps…

Expression de l’opposition municipale – Saint-Rémy au cœur

Agitation préélectorale

L’année 2019 commence bien mal pour notre ville avec la fin annoncée de notre équipe première de football.
C’est un choc pour les St-Rémois, viscéralement attachés à l’ASSR, aux joueurs qui ont fait sa renommée et aux centaines de jeunes qui ont été formés.
Il est nécessaire de travailler à un nouveau projet sportif pour continuer à former des jeunes à St-Rémy. Pendant ce temps, la municipalité s’échine à faire sortir de terre ses projets, à un an des élections municipales.

La première tranche de la restructuration de l’avenue de la Libération, le square Mauron, l’urbanisation des Cèdres, tout est fait pour agrémenter le maigre bilan de ce dernier mandat marqué par l’immobilisme et l’absence de volonté politique. Car, tous ces travaux réalisés à la hâte ne répondent pas à une vision d’ensemble de Saint-Rémy et de son avenir. Ils permettront seulement à l’équipe municipale de couper des rubans sans que, pour autant, les St-Rémois ne soient dupes de cette agitation préélectorale.

Expression de l’opposition municipale – Angeline Ingoglia

Quel avenir pour Saint-Rémy ?

Des questions essentielles pour notre ville restent désespérément sans réponse.

Comment concilier le respect de l’identité de St-Rémy et un tourisme performant vital pour notre économie locale ?

Comment attirer de nouvelles entreprises, créer des emplois sans une offre de logements adaptée aux actifs et aux classes moyennes ? Aucune étude n’a été faite sur le besoin en logement et plus particulièrement en logements sociaux ! Avant d’envisager de construire ne vaudrait-il pas mieux réaliser cette étude et réhabiliter des logements insalubres du Centre ancien ?

Le projet des Cèdres n’a pas été pensé de manière cohérente : l’urbanisation sur-dimensionnée, la problématique du stationnement sous-évaluée, l’accessibilité de la zone mal anticipée. Nous en avons déjà un exemple sur le chemin Saint-Joseph régulièrement surchargé !

Expressions libres 2018

Expression de la majorité municipale

Le 2 décembre, votez OUI
à un avenir en dehors de la Métropole marseillaise !

Pourquoi aller voter le 2 décembre ?

Parce que rien n’est joué.
Malgré l’idée que certains font courir, aucune décision concernant l’extension de la métropole marseillaise et le devenir du Pays d’Arles n’est encore arrêtée.
La loi ne sera pas votée avant 2019, ce qui laisse le temps à chacun de défendre le principe d’un Pays d’Arles autonome.

Parce que les Saint-Rémois ont leur mot à dire.
Que l’on soit pour ou contre l’intégration forcée de Saint-Rémy-de-Provence à la métropole, la majorité municipale a décidé de donner le droit aux Saint-Rémois
de s’exprimer. Ce n’est pas le cas de l’opposition ; c’est regrettable et anti-démocratique.

Parce que ce débat dépasse le vieux clivage gauche/droite.
Ce qui importe, c’est que chacun s’exprime sur l’avenir de Saint-Rémy et dise ce qu’il souhaite pour notre ville, à savoir rester ou non hors de la Métropole.

Parce qu’un fort taux de participation fera sens.
Plus nous serons nombreux à nous exprimer à Saint-Rémy, Arles, St-Martin-de-Crau, Fontvieille, St-Pierre-de-Mézoargues et peut-être demain dans d’autres
communes, plus le message adressé à l’État et aux parlementaires qui voteront la loi sera entendu et pris au sérieux.

Parce que la complexité de la question posée ne doit pas nous décourager.
Si nous avions pu demander simplement « Pour ou contre la métropole ? », nous l’aurions fait. Hélas, la loi ne le permettant pas, nous avons dû contourner cette
difficulté en posant une question plus complexe, relative à la création d’un comité consultatif chargé de réfléchir à une alternative à l’intégration à la métropole.
Pour nous, la réponse ne fait aucun doute : le 2 décembre nous voterons OUI, pour un avenir en dehors de la Métropole marseillaise.

Parce que tout démontre le bien-fondé d’un Pays d’Arles autonome.
Les études réalisées par deux des plus grands cabinets d’experts français démontrent la viabilité, la cohérence et la force d’un Pays d’Arles autonome exerçant
si nécessaire les compétences du département.

Parce que rejoindre la Métropole marseillaise serait dramatique.
Du point de vue historique, de l’identité de nos territoires, de l’éloignement des citoyens avec le centre de décision et les services publics, de la hausse importante
de la fiscalité qui toucherait les foyers et les entreprises.

Parce que voter contre l’intégration dans la métropole n’isole pas Saint-Rémy.
Parce que s’affirmer, ce n’est pas s’isoler, le 2 décembre, votez OUI à un avenir hors de la Métropole marseillaise.

Expression de l’opposition municipale – Henri Milan

Un référendum/consultation pour quelle utilité ?

La consultation que H C nous propose contre la métropole « honnie » est-elle bien sérieuse ? Une collectivité régie par Arles ne sera pas plus efficace que notre
ex/future CCVBA régie par Maussane. La vérité est que H C ne peut rien nous promettre, parce qu’il ne peut décider de rien. Pareil pour la présidente de la métropole
qui affirme qu’elle nous rendra des compétences comme la voirie ou l’eau entre-autres : c’est l’état qui en décidera seul ! Cette consultation doit porter sur
notre destin et non sur la ville qui va nous posséder. Il faut également conserver la maitrise de notre économie. Arles ou Marseille ne nous ferons pas de cadeaux,
car ces villes seront les premières à se servir. En conclusion et à titre personnel, j’irai voter début décembre pour un parking gratuit de 800 places sur la zone de
la LIBERATION.

Expression de l’opposition municipale – Saint-Rémy au cœur

Le Maire s’isole et isole Saint-Rémy

Le pseudo-référendum que l’on nous propose est inutile et contre-productif.
Nous non plus, nous ne voulons pas intégrer la métropole dans sa forme actuelle. Or, le Pays d’Arles n’entrera pas dans la Métropole actuelle mais intégrerait une
nouvelle collectivité issue de la fusion Métropole-Département.
Nous devons être force de propositions dans l’organisation de cette future métropole. Il est temps d’oublier les postures politiciennes pour se concentrer sur l’intérêt
général et les besoins des Saint-Rémois. L’attitude du Maire nous isole du reste du Pays d’Arles et du département et nous exclut du débat.
Exigez que notre Maire oublie ses motivations personnelles et vous représente dans les discussions en cours pour la construction de la future métropole.
LE 2 DECEMBRE, ne participez pas à cette consultation, N’ALLEZ PAS VOTER

Expression de l’opposition municipale – Angeline Ingoglia

Pourquoi une consultation si complexe ?

Elle ne fait que semer le trouble dans l’esprit de nos concitoyens. Plutôt que créer un comité qui ne résoudra rien, occupez-vous Monsieur le Maire de sujets vitaux
pour Saint-Rémy. Ce n’est pas en faisant la politique de la chaise vide que l’on fait avancer ses idées.

Mobilisez-vous mais pour obtenir, par une négociation intelligente, un maximum de liberté dans la gestion de notre village.

Ne voulant pas de l’organisation actuelle de la Métropole, nous devons être force de proposition afin de maintenir les compétences de proximité de notre commune : PLU, logement, voirie, eau, assainissement, propreté, petite délinquance.

Aussi ne prenons pas part à cette consultation qui n’est que manœuvre politicienne.

Expression de la majorité municipale

Mas de Sarret : tout mettre en œuvre pour sauver cette structure essentielle

La direction de l’Entraide, association qui gère le Mas de Sarret, a publiquement envisagé de déménager cet établissement à Eyguières, provoquant l’émoi des personnes âgées qui y résident ainsi que du personnel.

Nous imaginons que les différents échanges que nous avons eus ces dernières semaines et que nous allons encore avoir avec l’Entraide vont permettre de trouver une issue rapide et satisfaisante pour tous, et ce même si les exigences de l’association pour maintenir son activité sur Saint-Rémy-de-Provence peuvent paraître très (trop ?) importantes.
Au cours d’une réunion organisée en mairie au mois de juillet en présence notamment des familles des résidents du Mas de Sarret et du personnel, le directeur de l’Entraide a en effet fixé le maintien de la structure sur Saint-Rémy à plusieurs conditions : le don à l’euro symbolique d’un terrain de 6 000 m2, une garantie d’emprunt de la part de la ville à hauteur de 50 % et une subvention de 500 000 euros.

Nous proposerons tout de même au prochain Conseil municipal, le 18 septembre, d’y répondre favorablement ; ce qui importe à la majorité municipale, c’est l’avenir immédiat des résidents, des familles et des personnels du Mas de Sarret. Les finances de la ville sont suffisamment saines et solides pour permettre une telle dépense en investissement, tout en continuant à désendetter Saint-Rémy, sans augmenter les impôts et sans remettre en question nos autres projets, très attendus également par les Saint-Rémois : réaménagement de l’avenue de la Libération, projet de piscine, etc.

Nous sommes aux côtés de nos anciens, des résidents du Mas de Sarret et de leurs familles, et nous le prouvons en mettant tout en œuvre pour sauver cette structure socialement essentielle sur notre commune.

Expression de l’opposition municipale – Tous pour Saint-Rémy

BRAVO M. LE MAIRE !

Vous avez enfin réussi ce que nous espérions. A savoir supprimer les jeux des enfants, au profit de la volonté de vieilles gens qui ont EXIGE le silence TOTAL sur nos places. A présent faites respecter votre arrêté, et supprimez aussi les enfants. Au mépris des lois votées depuis plus de dix années pour densifier les centres-villes, au mépris de nos écoles qui se vident, au mépris des jeunes Saint-Rémois que vous voulez loger aux Cèdres ou ailleurs, mais surtout SANS leurs enfants. Même chose pour nos anciens du Mas de Sarret qui doivent surement gêner, vu votre inaction depuis deux ans face aux demandes répétées de rénovation du bâtiment. Continuez avec la piscine en boudin, meilleur façon de décourager d’apprendre à nager…à nos enfants, ainsi ces personnes ne seront plus gênées par les cris et rires. Bravo Bravo !

Expression de l’opposition municipale – Saint-Rémy au cœur

Monsieur le Maire face à ses responsabilités

Sourd aux alertes, il ne s’est pas soucié des difficultés connues et anciennes du Mas de Sarret.
Contraint par nos interventions, il se saisit enfin du dossier.
Ce laxisme coupable l’a conduit à opter pour une solution très coûteuse pour la commune, ce qui illustre l’inconséquence avec laquelle Monsieur le Maire conduit ses projets économiques.
Pour mémoire, Ussol, qui devait accueillir de jeunes Saint-Rémois, ne comportera qu’une vingtaine de lots à 350€ le m2!
Le projet des Cèdres est conçu en ignorant les besoins des Saint-Rémois et la nécessité d’un grand parking de centre-ville.
La zone de la Roche, envisagée pour une centaine de logements, devient la monnaie d’échange pour le nouveau Sarret.
Ces exemples traduisent les approximations du pilotage irrationnel du Maire.

Expression de l’opposition municipale – Angeline Ingoglia

Mobilisons-nous pour l’avenir de Saint-Rémy ! – 3 –

Le Mas de Saret : une résidence pour personnes âgées datant des années 1970 dont la situation est complexe : un terrain communal, un bâtiment qui n’est plus aux normes, dont la réhabilitation ne peut se faire occupé du fait de la présence d’amiante, un gestionnaire, qui ne pouvant fonctionner alerte la Mairie, et sans réponse, indique ses desideratas.
L’Entraide souhaite un terrain au coût symbolique pour y construire un bâtiment moderne, une caution bancaire, une subvention municipale de 500.000€. La Ville accepte les deux premiers points et remet le 3ème à un vote des élus.
L’abandon du projet des Cèdres permettrait certainement une réponse positive à la demande de l’Entraide et la réhabilitation du bâtiment permettrait sa transformation en logement pour les Saint Rémois.

Angeline Ingoglia

Expression de la majorité municipale

“Je ne suis ni pour ni contre, bien au contraire”

Cette fameuse phrase de Coluche caractérise très bien les regrettables errances de l’opposition municipale ces derniers mois, alors que l’on pouvait espérer de leur part davantage de sérieux.
S’opposer pour le principe de s’opposer est plutôt stérile, comme en témoignent les positions prises par l’opposition qui semblent plus souvent dictées par la nécessité de dire non à la majorité municipale que par des choix sérieux, raisonnés, réfléchis et poursuivant l’intérêt général des Saint-Rémois.
Les exemples ne manquent pas : la séance du conseil municipal du 27 mars a donné lieu à des échanges surréalistes, notamment au moment du vote du budget prévisionnel 2018. Alors que le rapport de présentation dudit budget insistait sur la gestion exemplaire qui a permis de maintenir les investissements, de baisser l’encours de la dette sans augmenter les impôts et malgré une énième baisse des dotations de l’État, Mme Aoun, s’adressant au Maire, a livré sa recette pour augmenter ces dotations : il faut augmenter les impôts des Saint-Rémois.
Ce raisonnement par l’absurde a suscité l’émoi du public présent. Nous vous invitons à écouter la longue démonstration faite par Mme Aoun sur le site internet de la ville, où les enregistrements sonores des séances du conseil municipal sont accessibles (conseil municipal du 27 mars, 2e partie, à 41’20’’).

Quant à Henri Milan, il n’est hélas pas en reste quand il écrit sur sa page Facebook, le 5 mars dernier : « Choisir Arles pour éviter Marseille, c’est choisir la fuite en avant afin de faire oublier la gestion désastreuse de sa mairie ». Eh bien non, Monsieur Milan, faire le choix d’Arles, c’est faire le choix de la liberté d’action, du respect de notre identité et de la proximité avec nos concitoyens. Dire non à la Métropole Aix-Marseille-Provence, c’est refuser d’hériter de près de 2 milliards d’euros de dettes, c’est garder la main sur le devenir de notre territoire, c’est faire le pari d’un pays d’Arles autonome et tourné vers son avenir.

Expression de l’opposition municipale – Tous pour Saint-Rémy

UNE FONDATION POUR LE MAS DE LA PYRAMIDE

Je suis très fier que LOLO MAURON ait accepté de léguer le Mas De La Pyramide aux Saint-Rémois. C’est un pan entier de notre histoire qui va être ainsi sauvé et préservé pour les générations futures. Ce mas troglodyte construit sur le site d’une antique carrière romaine, juste à côté de l’abbaye de Saint Paul, a été préservé par Lolo et sa famille durant des décennies pour être offert aux amoureux de notre village.

Lionel Hacquard et des passionnés de notre cité ont créé une association à cet effet, qui en devenant une fondation, aura la charge d’en assurer la pérennité.

Je veux ici les remercier avec ces quelques lignes.

C’est avec grande satisfaction que j’ai aussi, modestement participé au succès de cette fondation, en compagnie de notre député et de notre maire.

Au nom de tous les Saint-Rémois, MERCI LOLO !

Expression de l’opposition municipale – Saint-Rémy au cœur

L’expression du groupe Saint-Rémy au cœur ne nous est pas parvenue. Cet espace lui est néanmoins réservé.

Expression de l’opposition municipale – Angeline Ingoglia

Mobilisons-nous pour l’avenir de Saint-Rémy ! – 2 –

Le Projet du Parking de la Libération est mené à marche forcée tout en ayant diminué d’ambition, il comprend 150 logements, et en n’ayant pas complètement résolu le problème de l’accès prévu angle chemin St Joseph-avenue de la Libération, car seul un droit de passage existe et non un accès libre.

Qu’est-ce qui motive une telle décision à la fois nuisible pour l’avenir de Saint-Rémy sur le plan économique, sociologique, écologique alors que le PLU a défini d’autres sites mieux adaptés ?

Est-ce un problème financier ? Fin décembre 2018 la Ville serait dans une impasse : elle abandonne cette réserve foncière au béton, ou elle rachète ces 2ha à l’EPF !!

Disposer d’un grand parking tel que celui de la Libération est un atout non négligeable pour Saint-Rémy qui ambitionne un développement économique à la hauteur de sa réputation.

Angeline Ingoglia

Expression de la majorité municipale

Une bonne gestion financière, incontestable… et incontestée

Mardi 13 février avait lieu en Conseil municipal le Débat d’orientation budgétaire qui fixe les grands caps financiers pour la ville et l’année à venir. Ce moment très important dans la vie de notre commune s’est tenu en l’absence d’Henri Milan et de Danièle Aoun.

Aucune réaction, aucune remarque, aucune critique, aucune proposition de la part des autres membres de l’opposition qui étaient présents. Il y a des silences qui en disent long ; on peut dire que le mutisme de l’opposition a été très éloquent et a sonné comme la reconnaissance de l’incontestable bonne gestion de notre municipalité.
Malgré 1,3 million d’euros de dotations de l’Etat perdus en 4 ans, nous sommes parvenus à ne pas augmenter les impôts, tout en continuant à baisser l’endettement de la ville pour la 6ème année consécutive, et en assurant des investissements importants pour le cadre de vie des Saint-Rémois. Nous avons également clôturé l’exercice budgétaire 2017 avec un excellent résultat financier. Parmi les grandes opérations programmées pour 2018 figurent la réhabilitation des échelles du Mont Gaussier et du parcours botanique, la réfection de l’avenue de la Libération et de l’avenue Louis-Mistral, la mise en service de la chaufferie bois de l’école de l’Argelier, les travaux d’accessibilité et d’amélioration du Cosec, le réaménagement du parking du collège, la rénovation du tennis-club, la création d’une nouvelle aire de jeux au square Mauron, l’équipement numérique des écoles élémentaires, etc.

Au moment où nous écrivons cette tribune, l’avenir de notre territoire – l’éventuelle absorption de Saint-Rémy par la Métropole marseillaise – est peut-être en train de se sceller. Majorité comme opposition, nous nous devons de parler d’une seule et même voix pour défendre les intérêts de Saint-Rémy. Les Saint-Rémois peuvent compter sur la détermination d’Hervé Chérubini pour défendre le projet d’un Pays d’Arles uni contre les appétits voraces de la Métropole marseillaise ou les regard envieux du Grand Avignon. Au moment où nous écrivons cette tribune, un cap supplémentaire a été franchi, le principe d’une intercommunalité unique, reprenant les compétences départementales, ayant recueilli l’assentiment général au sein de notre Communauté de communes. Le combat n’est pas encore gagné mais la majorité municipale emmenée par Hervé Chérubini met tout en œuvre pour réussir et sauver notre territoire.

Expression de l’opposition municipale – Tous pour Saint-Rémy

Les mauvaises idées socialistes du passé

Dépenser 200 000 € pour une étude qui est sa seule idée brillante contre la métropole : idée socialiste ! Choisir Arles (2074€ dette/hab) pour éviter Marseille (2110€ dette/hab), c’est choisir la fuite en avant afin de faire oublier la gestion désastreuse de sa mairie : idée socialiste ! Investir 2 millions € pour le nouveau siège de la CCVBA alors qu’il veut la supprimer : idée socialiste ! Créer 150 logements à la place du seul parking gratuit qu’il reste aux Saint-Rémois, en empilant les futurs occupants les uns sur les autres (12m de hauteur prévue) : idée socialiste ! Être passif sur la dérive des comptes d’une association sportive subventionnée en grande partie par la mairie : idée socialiste !
Qu’en pense notre maire élu conseiller général socialiste et secrétaire du parti en son temps ?
Henri Milan

Expression de l’opposition municipale – Saint-Rémy au cœur

PLU : Quel crédit apporter à l’étude en cours ?

Que penser d’un PLU basé sur des hypothèses de croissance de la population ignorant la baisse de 1000 habitants ces quatre dernières années, ou sur les résultats d’une étude circulation-stationnement réalisée dans des circonstances tellement fantaisistes qu’ils ont provoqué colère et chahut en présentation publique ? Les conséquences de l’étude ruissellement des eaux pluviales restent obscures en particulier pour les zones d’habitat comme celles des Cèdres, du Valat Neuf, d’Ussol et de La Roche. Malgré les sommes énormes engagées auprès des cabinets depuis quatre ans, nous restons stupéfiés de constater autant d’approximations, d’incertitudes, de flous. L’enquête publique de 6 à 8 semaines doit être terminée avant l’été. Elle sera l’occasion de pointer toutes ces incohérences auprès du Commissaire-enquêteur.

Expression de l’opposition municipale – Angeline Ingoglia

Mobilisons-nous pour l’avenir de Saint-Rémy !

Le P.L.U. engage la ville pour les 15 à 20 ans à venir, et par là-même le devenir des Saint-Rémois et de leurs enfants, sans véritable vision d’avenir.

Il est nécessaire de lancer un vaste plan de réhabilitation des nombreux logements vacants du centre-ville en engageant des aides incitatives permettant aux propriétaires de s’investir dans le destin de leur village et aux jeunes de se loger plus facilement.

Le maintien total du parking de la Libération offrira ainsi une solution de stationnement aux futurs habitants du centre et permettra aux acteurs économiques de continuer à développer un commerce de proximité tout en accueillant toujours autant de visiteurs en cœur de ville.

Il est vital de garder un poumon vert à Saint Rémy sur ce site et préserver ainsi une réserve foncière.

Expressions libres 2017

Expression de la majorité municipale

Intolérable !

Intolérable : c’est le seul mot qui qualifie l’attitude d’une poignée d’individus lors de la réunion publique sur le PLU le 13 novembre dernier. Ces personnes devraient pourtant apprendre que ce n’est pas parce que l’on hurle que l’on a raison.
Le plus regrettable, c’est que de nombreux Saint-Rémois venus ce soir-là pour s’informer ou échanger leurs points de vue n’ont pu s’exprimer. Confrontés à une telle violence verbale, ils n’ont pas osé prendre la parole. Les élus de la majorité présents à la réunion ont recueilli nombre de témoignages allant dans ce sens et ont été sincèrement désolés pour ces Saint-Rémois et pour la qualité du débat public.
Le PLU ne devrait faire l’objet d’aucune récupération politique. Les réunions publiques comme celle du 13 novembre sont organisées pour permettre à chacun de donner son avis et de participer à l’élaboration de ce document d’urbanisme. La municipalité prévoit une autre réunion au mois de janvier ; les Saint-Rémois seront alors en droit d’attendre des débats constructifs, dépassionnés mais surtout débarrassés de toute velléité politique.

Nous ne pouvons accepter plus longtemps qu’une minorité empêche la majorité des Saint-Rémois de s’exprimer comme nous ne pouvons accepter plus longtemps les mensonges proférés contre le parking de la Libération, notamment sur les réseaux sociaux.
À en croire certains, il faudrait sauver le parking de la Libération. Par définition, ne peut être sauvé que ce qui est en péril ; or, nous le répétons, il n’a jamais été question de fermer ou même de réduire le nombre de places de stationnement du parking de la Libération. C’est la majorité municipale actuelle qui a créé ce parking en 2012. Ce n’est pas pour le supprimer aujourd’hui !
Ces mêmes personnes préfèreraient que le quartier des Cèdres soit entièrement dédié au stationnement avec la création de 1 000 places de parking. C’est un souhait totalement excessif. Du côté de la majorité municipale, nous pensons que s’il est nécessaire de conserver les stationnements que nous avons créés, il est tout aussi nécessaire de prendre en considération la demande de logements pour les Saint-Rémois, et de ne pas goudronner les plus beaux terrains de Saint-Rémy au profit du ” tout-voiture “.

Expression de l’opposition municipale – Tous pour Saint-Rémy

MONSIEUR CHERUBINI A PEUR DE LA DEMOCRATIE

M. Chérubini refuse la démocratie. A l’initiative des associations APPEVA et SAINT-REMY POUR TOUS, une pétition demandant le maintien intégral du parking LIBERATION/CEDRES a été déposée en conseil municipal. Cette pétition a recueilli plus de 1780 Signatures. Malgré tout, lui et son équipe municipale refusent de prendre en compte cette pétition, pour le simple et unique fait qu’elle est défendue au conseil municipal par Henri Milan, son premier opposant. Nous en concluons que M. Chérubini n’écoute pas les saint-rémois et qu’il a peur d’un référendum sur le maintien intégral du parking. Parking qui est une nécessité absolue, aussi bien pour tous les habitants, commerçants, associations, et aussi pour tous nos visiteurs. Sachez que Henri Milan défendra jusqu’au bout le maintien de ce parking.

Expression de l’opposition municipale – Saint-Rémy au cœur

“Saint Rémy au Cœur”, résolument CONTRE le projet de réforme territoriale

L’inquiétude grandit sur le Pays d’Arles : le gouvernement poursuit son incompréhensible projet de fusion du département des Bouches du Rhône avec la Métropole Aix-Marseille démontrant ainsi une méconnaissance profonde du monde rural.
Les conséquences pour nos communes peuvent être désastreuses pour le développement économique. En effet, que deviendra l’implication du Département dans les projets d’investissements des petites communes face aux énormes besoins de la Métropole ? Que deviendront demain, les soutiens du Département aux services à la personne, aux transports scolaires, à l’entretien des voieries, à l’agriculture ou à nos traditions ?
Réagissons contre l’ignorance et l’incompétence des décideurs parisiens!
Ensemble, faisons connaître notre opposition à ce projet aberrant.

Expression de l’opposition municipale – Angeline Ingoglia

“Saint Rémy au Cœur”, résolument CONTRE le projet de réforme territoriale

Arrivant à St Rémy, après 18 ans passés au sein d’une équipe municipale unie autour d’un homme aux valeurs tant humaines qu’intellectuelles, j’ai eu envie de me mettre au service de mes concitoyens.
Je me suis alors engagée auprès d’un homme jeune, enthousiaste s’engageant lui-même hors parti politique pour le rayonnement de son village. S’en est suivi une campagne municipale dynamique menée par une équipe unie. Le succès n’a pas été au rendez-vous et nous a conduit dans l’Opposition municipale.

Depuis les sensibilités de chacun ont pu s’exprimer avec plus ou moins de bonheur mais elles ont aussi provoqué son éclatement ce que je regrette profondément d’où mon positionnement actuel.

Je reste élue de l’Opposition, ne me rattache à aucun groupe, gardant ainsi une totale liberté de mes décisions et actions.

Expression de la majorité municipale

Une majorité soudée, une opposition divisée

Dans notre tribune libre du dernier Journal de Saint-Rémy, nous pressentions qu’une crise couvait au sein de l’opposition municipale. Suite à l’appel lancé par Hervé Chérubini, lors de l’entre-deux-tours des élections présidentielles, demandant aux conseillers municipaux de prendre position pour ou contre le Front National, une majorité des élus de l’opposition (6) avait fait le choix de s’exprimer « contre » alors que leur tête de liste, Henri Milan, était resté très évasif. Une position moralement condamnable, mais pas étonnante quand on se souvient que lors des élections municipales, celui-ci avait mollement démenti l’appui et le rôle du parti d’extrême droite dans sa campagne – un soutien pourtant confirmé par le tribunal administratif de Marseille.

Aujourd’hui, le divorce est bel et bien consommé au sein de l’opposition : M. Milan se retrouve désormais seul alors que 6 de ses anciens colistiers ont fait le choix de créer un nouveau groupe – une 7e préférant rester à l’écart.

Nous mesurons aujourd’hui la chance pour Saint-Rémy de pouvoir compter sur une majorité municipale rassemblée derrière Hervé Chérubini. Dans une situation très difficile pour les communes rurales, qui connaissent une baisse historique des aides d’État et un contexte local complexe avec le risque d’absorption de Saint-Rémy par la Métropole marseillaise, le temps ne peut pas être celui des petites chamailleries entre élus. L’heure est grave et Saint-Rémy a plus que jamais besoin d’un maire solide et expérimenté pour tenir la barre et maintenir le cap.

Les élus d’opposition n’ont semble-t-il pas mesuré l’importance de leurs fonctions. Pendant que ces derniers s’employaient à se déchirer, les élus de la majorité ont quant à eux profité de l’été pour continuer à travailler sur les dossiers importants pour la ville, comme la réforme des rythmes scolaires et le retour à la semaine de 4 jours, la sécurité des manifestations associatives et festives, la protection de l’environnement avec la gestion des obligations légales de débroussaillement, le patrimoine avec la préparation des travaux de la collégiale, la culture avec la saison 2017-2018…

Les élus de l’opposition ont une fois encore préféré au travail la gesticulation politicienne. Il est plus facile de colporter des mensonges sur la réduction du nombre de places sur le parking de la Libération que de travailler concrètement à l’avenir de Saint-Rémy.

Expression de l’opposition municipale

En tant que chef du groupe d’opposition, je suis et demeure l’élu de tous les Saint-Rémois qui m’ont accordé leur confiance en mars 2014.
Au sein du conseil municipal comme vous le savez, je mène un combat permanent pour défendre les intérêts de Saint-Rémy et de tous les Saint-Rémois, sans ostracisme ni esprit partisan.
Cette ligne de conduite “sans étiquette” que nous avons fixée depuis le début,est celle à laquelle je me conforme, parce que nous pensons que c’est la seule que veulent les Saint-Rémois.

Dans cette période post-présidentielle, je ne suis pas de ceux qui se laissent séduire par la mode actuelle, ou au contraire vont au secours de partis en “reconstruction”.

Mon combat, c’est celui de Saint-Rémy, notre village. D’ailleurs dans quelques semaines, j’aurai l’occasion de vous inviter à une réunion publique, concernant les nouvelles règles d’urbanisme et la demande du référendum sur le maintien du parking des Cèdres.

De plus, je me félicite de la création d’un groupe “Les Républicains” au sein du conseil municipal. Je comprends leur démarche. Depuis plus de trois ans, nous avons partagé des positions communes et ils ont suivi mes décisions fidèlement. La création de ce deuxième groupe, nous permettra d’augmenter nos prises de parole, et nos interventions lors des conseils municipaux. Pour ma part je reste à votre écoute et vous remercie de votre engagement fidèle.

Aussi, nous saluons le dynamisme de l’association pour la restauration de la collégiale Saint Martin. Cette association a remis à l’ordre du jour le sujet primordial de notre église. J’ai envoyé un courrier en ce sens à Marie-Pierre Callet et Henri Pons, nos deux élus au Conseil Départemental, ainsi qu’à Renaud Muselier président de la Région par l’entremise de nos élus Pascale Licari et Jean-Marc Martin-Tesseire. Je leur ai demandé d’appuyer la rénovation de l’église ainsi que celle des orgues de Pascal Quoirin, afin qu’ils puissent accompagner cet élan salvateur.

Enfin, j’alerte régulièrement les services de la CCVBA sur la problématique essentielle de la gestion des déchets dans notre commune. Ceux-ci sont intervenus début aout afin d’améliorer l’enlèvement des déchets ménagers dans plusieurs quartiers de notre commune dont la Galine. Ces efforts des services n’exonèrent pas nos concitoyens de faire un très gros effort à l’avenir dans le tri que nous devons TOUS faire afin de ne pas alourdir inutilement les tournées et nos factures.

Henri Milan

Expression de la majorité municipale

Le 7 mai dernier, à l’occasion du second tour des élections présidentielles qui a vu la victoire d’Emmanuel Macron, de très nombreux concitoyens se sont interrogés sur la possible candidature d’Hervé Chérubini aux prochaines élections législatives sous la bannière de La République en marche.

Sur ce point, M. le Maire a été on ne peut plus clair : il ne sera candidat à la députation ni pour le mouvement d’Emmanuel Macron avec lequel il a quelques désaccords notamment sur la suppression de la taxe d’habitation et la poursuite de la baisse des dotations aux collectivités locales ni pour aucun autre parti.
Son attachement à Saint-Rémy et plus généralement au territoire des Alpilles ainsi que tout le travail mené depuis des années en tant que Maire et Président de la Communauté de Communes Vallée des Baux-Alpilles lui tiennent plus à cœur.

Il est essentiel qu’à l’échelle de notre territoire, un projet soit porté pour créer la dynamique nécessaire à un pays d’Arles rassemblé, conscient de ses atouts et de ses forces en matière d’économie, d’agriculture, de tourisme, d’emploi, de développement durable, de patrimoine et de culture.
Il est donc essentiel que les candidats à la députation sur les deux circonscriptions du Pays d’Arles prennent très tôt l’engagement de défendre nos intercommunalités contre une intégration forcée dans la Métropole marseillaise.

Ces prochains jours, un courrier sera directement adressé à chacun d’eux par Hervé Chérubini afin de poser une question simple mais essentielle pour l’avenir de notre territoire : en cas de disparition du Département, prendrez-vous l’engagement de défendre un pays d’Arles autonome et non inféodé à la Métropole marseillaise ?
Le Maire de Saint-Rémy-de-Provence et Président de la Communauté de Communes Vallée des Baux-Alpilles s’est d’ores et déjà publiquement engagé à communiquer ces courriers mais aussi les réponses de ces candidats afin que chaque électeur du Pays d’Arles soit pleinement informé du devenir de notre territoire, de leur avenir.

Expression de l’opposition municipale

Une piscine municipale « provisoire » qui revient cher !

Les installations de la piscine municipale n’étant plus aux normes, son exploitation n’est pas possible en l’état. Monsieur le Maire a informé le Conseil Municipal le 4 avril, que les bassins actuels de la piscine municipale sont comblés par des gravats et que des bassins gonflables seront installés en lieu et place!.. L’entrée sera gratuite.
Le coût d’investissement est de 25 000€ en 2017 et de 70 000€ en fonctionnement par an. Comme cette installation est prévue pour deux ans, si tout va bien, l’opération reviendra au bas mot à plus de 165 000€.
A noter que ces coûts incluent l’embauche de cinq personnes à temps complets dont un médiateur pour réguler la discipline dans l’enceinte…
Nous estimons que les frais engagés sont beaucoup trop importants d’autant que l’on sait très bien qu’ils préfigurent le projet beaucoup plus lourd de la future piscine dont l’investissement est programmé dès cette année pour plus de 5 millions d’euros.
Nous avons proposé que d’autres solutions moins onéreuses puissent être mises en œuvre comme par exemple l’affrètement de bus pour la piscine de Châteaurenard par exemple. Sans écho de la part de Monsieur le Maire. En attendant, ce sont les Saint-Rémois qui paient car pour ce projet éphémère, aucune subvention n’est prévue.

Suite au mail de Monsieur le Maire adressé à l’ensemble du Conseil municipal mercredi 26 avril, vous trouverez les communiqués des deux groupes.

Chers collègues élus municipaux,
Au vu des résultats de ce 1er tour des élections présidentielles, je me permets de vous proposer de signer un appel public (ci-dessous) à voter pour Emmanuel Macron, contre le Front National.

Par retour de mail, avant vendredi 28 avril 18h, je vous remercie de me faire savoir si vous souhaitez que votre nom figure sur la liste des signataires.

Dans l’attente de vos réponses,

Cordialement,

Hervé Chérubini

Expression de la majorité municipale

Chères Saint-Rémoises, chers Saint-Rémois,
Dans notre commune, à Saint-Rémy-de-Provence, contrairement à nombre de collectivités qui nous entourent, le Front National n’a jamais obtenu la majorité absolue des voix ni aux élections locales (Départementales et Régionales), ni lors des scrutins nationaux. Et nous pouvons en être fiers.
C’est pourquoi, nous appelons, une nouvelle fois, à faire barrage contre le Front National pour ce 2e tour des élections présidentielles.
Dimanche 7 mai, sans ambiguïté, sans états d’âme (l’enjeu est trop important pour l’avenir de notre pays), nous voterons et nous appelons à voter pour Emmanuel Macron.

Hervé Chérubini et l’équipe municipale de la majorité

Expression de l’opposition municipale

ELUS DE L’OPPOSITION DE SAINT REMY DE PROVENCE
2e TOUR DES PRESIDENTIELLES
Les résultats du premier tour des élections présidentielles au plan national nous ont profondément déçus. Ce sentiment est atténué par le résultat très favorable de François Fillon qui arrive largement en tête à Saint-Rémy. Nous remercions les nombreux électeurs qui ont pris part à ce vote.
Le programme de redressement économique de la France proposé par François Fillon n’a pas reçu l’accueil qu’il méritait. Nous le regrettons. L’avenir nous dira si les propositions du futur Président seront à la hauteur des enjeux pour l’avenir de notre pays. En attendant, pour le groupe d’Opposition Municipale, la situation est claire quant au second tour des présidentielles : notre volonté profonde est de faire barrage, coûte que coûte, au programme du Front National.
Nous tenons à préciser que nous n’avons pas attendu d’être contraints par Monsieur le Maire pour nous positionner sur un vote républicain qui rejoint les valeurs que nous défendons.

Dany Aoun, Christian Guillot, Angeline Ingoglia, Michel Gay, Jordane Marsot, Frédéric Pons, Martine Pascal.

Expressions libres 2016

Expression de la majorité municipale

L’intégralité des comptes-rendus et des enregistrements du Conseil municipal sont accessibles à tous depuis le site internet de la ville. C’est un choix fait par la municipalité pour assurer la plus grande transparence des débats et des décisions vis-à-vis de nos concitoyens Saint-Rémois. Ce n’est en rien une obligation légale.
Le dernier compte-rendu du Conseil municipal du 20 septembre est édifiant et tristement symbolique des errements de l’opposition municipale. Au moment des questions diverses, Hervé Chérubini a interpellé Henri Milan au sujet du tract distribué dans les boites aux lettres saint-rémoises. Un tract insultant, irrespectueux pour le Maire, rempli d’attaques visant directement sa personne. Le Maire posant la question à Henri Milan « est-ce que vous cautionnez ces écrits ? » obtient une réponse très étonnante : « A titre personnel et en tant que représentant de la liste que je préside, non je ne cautionne pas parce que je n’en vois pas l’intérêt ». Sauf que le fameux tract en question est signé et édité par l’association politique de M. Milan et qu’il l’a publié sur sa page Facebook.
Que doivent en déduire les Saint-Rémois ? Deux hypothèses sont envisageables :
– Soit M. Milan ne contrôle absolument rien de sa communication et il laisse le soin à d’autres de s’exprimer à sa place,
– Soit M. Milan n’a pas le courage d’assumer publiquement les insultes diffamantes qui sont, il est vrai, plus faciles à colporter dans le dos des intéressés.
Peu importe la réponse car ce qui est certain, c’est qu’avec une telle opposition, le débat d’idées n’en sort pas grandi. Au contraire il est tiré par le bas en préférant, à la réalité et à la complexité des dossiers, choisir l’invective, le slogan populiste et réducteur.
Concernant la zone des Cèdres, là où l’opposition souhaite voir implanter un parking de plus de 1000 places vides les ¾ de l’année, nous préférons imaginer l’aménagement d’un nouveau quartier respectueux de l’environnement, offrant un joli cadre de vie et répondant au besoin urgent de logements de notre jeunesse mais aussi de nos anciens.
Là où l’opposition souhaiterait voir aménager une immense zone de parking inutile plus de 350 jours par an (cf. comptage officiel de la police municipale) et imperméabilisant totalement cette zone du centre-ville, nous voulons des aménagements respectueux de notre identité et permettant aux Saint-Rémois de rester vivre dans leur ville.

Expression de l’opposition municipale – Tous pour Saint-Rémy

Une Opposition, pas seulement…

L’agriculture et le tourisme sont des atouts indéniables de l’attractivité de notre territoire.
Notre réflexion nous a conduits à nous interroger plus spécifiquement sur le tourisme.
Celui-ci reste le vecteur économique le plus important de notre commune. Saint Rémy, comme bien d’autres villes de notre pays a subi, en juillet notamment, les contre coups des évènements terribles survenus à Paris et à Nice. Les incidences pour nos entreprises se sont heureusement atténuées au mois d’août. Ces dernières semaines nous ont rappelé la fragilité de ce qui fait le fer de lance de l’activité économique de Saint Rémy. Le tourisme s’appuie sur la capacité d’attractivité de nos paysages à travers l’agriculture, de notre patrimoine, du bien vivre en Provence.
C’est dans ces circonstances que l’on doit prendre conscience de la nécessité de conserver et d’améliorer encore l’attractivité de notre territoire. Ceci passe par de meilleures conditions d’accueil (circulation, parkings, etc..), un travail important sur la propreté de la ville, un renforcement de la sécurité en toutes circonstances. Des efforts ont été faits, mais c’est encore insuffisant. Nous avons tous en tête, de nombreux exemples de malpropreté des trottoirs, des abords des poubelles débordantes de toutes sortes de détritus à proximité des restaurants, de la multiplication des vols à la roulotte ou des embouteillages sur les accès au centre-ville.
Mais au-delà de ces programmes à engager et développer à court terme, il est indispensable de s’inquiéter de l’état de l’habitat en centre-ville. En effet, pour pérenniser le tissu commercial qui constitue le fondement du développement économique de Saint-Rémy, pour répondre aussi à la demande de logement des jeunes actifs saint-rémois, et plutôt que de lancer un programme immobilier inutile et incompris (Les Cèdres), il est urgent maintenant, d’engager au plus tôt, la rénovation et l’amélioration de l’habitat urbain à l’image de ce que font d’autres communes voisines.
Ne nous trompons pas de priorité. Développer l’économie de notre village ne signifie pas aider des promoteurs à dérouler des programmes immobiliers inadaptés. Il y a d’autres solutions qui permettent de respecter notre patrimoine, notre environnement, nos traditions tout en répondant aux exigences de la demande des touristes et des Saint-Rémois.
Soyons plus que jamais attentifs aux projets que l’on essaie de nous imposer au mépris de nos avis et de nos propositions.

Nous, nous sommes clairement aux côtés des Saint-Rémois.

Expression de la majorité municipale

Les séances du Conseil municipal se suivent… et se ressemblent

Le dernier conseil municipal n’a pas dérogé à la règle : une fois encore Henri Milan a fait la démonstration de l’inconséquence de sa conduite et de la légèreté de ses propos.
Il y a quelques semaines, le chef de file de l’opposition municipale diffusait aux Saint-Rémois un document mensonger décrivant Saint-Rémy comme une ville au bord de la faillite et à deux doigts d’une mise sous tutelle préfectorale. Il n’a depuis fourni aucune explication ni aucun document pouvant justifier ces accusations très graves.
Interpelé le 26 avril lors du Conseil municipal, puis le 31 mai dans une lettre ouverte et enfin le 7 juin au Conseil municipal suivant, Henri Milan ne s’est toujours pas prononcé sur le sujet, comme en témoigne le journal La Provence du 10 juin : “A lettre ouverte réponse ouverte, promet Henri Milan sans justifier, pour autant, ses allégations”.

Tout ceci ne serait pas bien grave si ce n’était la méthode récurrente de la politique politicienne menée par l’équipe d’Henri Milan : s’arranger constamment avec la vérité, avec pour conséquence de tromper les Saint-Rémois.
Ce fut le cas il y a un an avec la pétition lancée contre la fermeture du parking de la Libération : plusieurs centaines de Saint-Rémois ont signé en toute bonne foi un document qui n’avait pourtant aucune valeur, puisque la fermeture du parking n’a jamais été à l’ordre du jour. Ce fut encore le cas il y a quelques semaines avec l’annonce de fermeture, toujours imaginaire, du parking des Cèdres.

À l’évidence, pour Henri Milan, il semble plus utile de colporter de fausses informations que de travailler au sein de la commission des Cèdres dont il fait partie. Sur ce dossier important pour Saint-Rémy, en effet, aucune contribution de sa part. En revanche, il instrumentalise le travail des membres de la commission pour servir ses propres intérêts politiques, en laissant croire que les places de parking de la zone des Cèdres seront entièrement détruites au profit de centaines de logements destinés à accueillir des hordes d’envahisseurs venus d’on ne sait où. Là encore, Henri Milan trompe son monde : les chiffres parlent d’eux-mêmes puisque 95 % des logements aménagés ces dernières années ont bénéficié à des Saint-Rémois.

M. Milan, être élu, même dans l’opposition, c’est être responsable de ses actes mais aussi de ses propos. Montrez-vous enfin à la hauteur de votre fonction et agissez en élu digne de Saint-Rémy, digne des Saint-Rémois.

Expression de l’opposition municipale – Tous pour Saint-Rémy

“Imite le moins possible les hommes dans leur énigmatique maladie de faire des noeuds.” René Char
De René Char / Rougeur des matinaux

Cette maxime de notre célèbre poète et résistant, nous invite à réfléchir sur le sens profond dù dire.
Monsieur Chérubini ne nous a toujours pas expliqué la dérive inquiétante des fonds de roulement de la mairie.
Libre à lui de défaire les noeuds, puisqu’il est le seul à connaître la réalité de nos finances.

Les élus de l’opposition
rejoignez nous sur les réseaux sociaux Facebook et blog

Expression de la majorité municipale

Les Finances communales : une fois encore,
Henri Milan et son équipe se sont trompés

« Si les charges de fonctionnement ne sont pas réformées et si un frein n’est pas mis aux investissements, une nouvelle augmentation des impôts sera inévitable après les élections (en 2015). »

Ces mots sont ceux d’Henri Milan et de son équipe dans leur programme des élections municipales de 2014. Quel manque de lucidité ! Le problème avec les contre-vérités, c’est qu’elles finissent toujours à un moment par éclater au grand jour au détriment de ceux qui les ont proférées. Mais Henri Milan et ses amis sont coutumiers du fait, eux qui pendant plus d’un an ont annoncé la fermeture du parking de la Libération, tout en sachant, puisqu’ils participent à la commission des Cèdres, qu’il n’en sera jamais question et que les 400 places du parking seront conservées et même aménagées.
Pour en revenir aux finances communales, le budget 2016 de la ville comme celui de 2015, dément parfaitement les allégations de l’opposition municipale. Les investissements à Saint-Rémy se portent très bien avec 8 millions d’euros d’inscrits au budget prévisionnel pour mener à bien des opérations importantes pour les Saint-Rémois comme la poursuite de la sauvegarde de la collégiale Saint-Martin, la réhabilitation des échelles du Mont-Gaussier, les travaux de voirie ou d’éclairage public, etc.

Rassurez-vous M. Milan, l’équipe municipale est parvenue à ce résultat tout en respectant ses engagements forts : ne pas augmenter les impôts et baisser l’endettement par habitant. En 2005, Saint-Rémy avait une dette de 78% supérieure à la moyenne nationale pour des communes de même importance. Nous en sommes à 26 % (soit 3 fois moins) et nous espérons nous rapprocher de la moyenne nationale à la fin de ce mandat. L’important désengagement de l’Etat (–1,7 millions de recettes entre 2013 et 2017) ne nous a pas empêchés de tenir bon la barre et de maintenir le cap pour notre ville. Un constat également fait par Henri Milan, forcé de revenir sur ces propos de 2014 au sujet des économies à réaliser au niveau du fonctionnement des services de la mairie. Dans La Provence du 26 mars dernier, suite au vote du budget, le journaliste écrivait : « Henri Milan n’a pas manqué de féliciter les services municipaux pour la réduction des dépenses. » CQFD.

Expression de l’opposition municipale – Tous pour Saint-Rémy

L’ASSR en grande difficulté

L’Association sportive de Saint-Rémy est en difficulté financière. Ce n’est pas un scoop. Depuis plus de trois mois déjà, la nouvelle a circulé dans tout le village. Et combien ont été émus à l’idée de voir peut-être disparaître un symbole pour beaucoup, de l’enfance, du sport et de l’image de Saint-Rémy.

Au Conseil Municipal de février, l’ASSR demandait une avance de subvention de 20 000 euros. Monsieur le Maire nous a proposé de leur octroyer 30 000 euros en signifiant qu’ils étaient en grande difficulté. Nous nous sommes interrogés sur les raisons de cette proposition et surtout sur l’ampleur et les origines des problèmes financiers de cette association. Nous avons proposé à Monsieur le Maire que soit conduit un audit par une personne indépendante pour trouver les réponses que chacun se pose légitimement.

Trois mois après, toujours pas d’audit réalisé ! L’attitude de Monsieur le Maire est incompréhensible.

De courageux bénévoles se déclarent prêts à relever le défi, de relever cette association en demandant au préalable à la municipalité de porter plainte contre les anciens dirigeants pour que soient révélées les malversations qui ont conduit l’ASSR dans cette situation. Là encore, pas d’écho ! Comme on le dit dans ce milieu du football, Monsieur le Maire « joue la montre », pourquoi ? Pour protéger quelqu’un ? Pour que ne soit pas mis à jour des insuffisances de contrôle ? Une quelconque forme de clientélisme politique dans l’attribution des subventions ? Mystère.

Ces passionnés ont même fait réaliser à leur propre initiative, une étude financière par un expert-comptable. Le « trou » dans les caisses atteint plusieurs dizaines de milliers d’euros et de nombreuses zones d’ombre demeurent inexpliquées.

Il est grand temps que Monsieur le Maire qui avait accepté de faire réaliser un audit le fasse mener dans les meilleurs délais. De plus, sa responsabilité est engagée dans la mesure où l’ASSR fait partie des associations recevant plus de 23 000 euros de subvention.

Expression de la majorité municipale

Permettre à nos jeunes de rester vivre dans notre commune

Les statistiques de l’Insee sont tombées il y a quelques semaines : Saint-Rémy serait repassée sous la barre des 10 000 âmes, perdant 1035 habitants en 2 ans. L’équipe municipale conteste bien entendu ces chiffres et tous les indicateurs que nous avons réunis démontrent le contraire. C’est la raison pour laquelle nous avons porté la voix des Saint-Rémois au sommet de l’Etat auprès de M. le Ministre pour tenter d’infléchir la position de l’Insee.

Mais au-delà de la bataille de chiffres qui nous oppose à cette institution, cette annonce est un signe qui ne doit pas être pris à la légère et doit nous amener à nous interroger. Saint-Rémy est en effet depuis longtemps confrontée à des prix de l’immobilier très élevés, qui continuent de monter. C’est un réel problème pour les jeunes Saint-Rémois voulant fonder une famille mais qui, n’ayant pas les moyens, sont obligés de quitter la commune. La question qui se pose à nous peut se résumer ainsi : quel Saint-Rémy veut-on pour les décennies à venir ? Veut-on que Saint-Rémy soit un village provençal de carte postale, pittoresque et figé, pour le plaisir de quelques privilégiés qui parviendront encore à se l’offrir ou bien veut-on que la commune reste ce qu’elle a toujours été dans son histoire : un pôle de vie et de dynamisme économique qui se développe et se modernise, dans le respect de tous les Saint-Rémois et de l’identité de notre village ?

D’un côté nous avons les ardents défenseurs de l’immobilisme. Cette minorité de personnes qui depuis des années gesticulent, caricaturent, s’opposent systématiquement dès qu’il est question de créer des logements accessibles sur notre village. D’un autre côté nous avons des familles saint-rémoises qui vivent au quotidien les difficultés du logement. Quand la commune d’Eygalières crée des dizaines de logements sociaux (comme dans nombre d’autres villages des Alpilles), accuse-t-on son Maire de vouloir transformer son joli village en banlieue marseillaise ? Non. Alors pourquoi à Saint-Rémy ne parviendrions-nous pas à faire ce que nos voisins font et à créer des logements qui permettent à nos jeunes et aux Saint-Rémois modestes de rester vivre dans leur commune ?

Expression de l’opposition municipale – Tous pour Saint-Rémy

L’expression du groupe Tous pour Saint-Rémy n’est pas parvenue à la rédaction. Cet espace lui est néanmoins réservé.

Expressions libres 2015

Expression de la majorité municipale

Le parking de la Libération ne fermera pas

Le 13 novembre dernier, ce n’est pas seulement la jeunesse de France qui a été dans les viseurs des djihadistes, c’est aussi notre culture, notre art de vivre. En un mot, chacun de nous. Ces extrémistes n’avaient qu’un seul objectif, porter atteinte à l’unité nationale, et ils ont perdu. Nous sommes toutes et tous sortis renforcés dans nos certitudes que les valeurs de la République, liberté, égalité, fraternité, sont les piliers de notre démocratie.
À Saint-Rémy, nous avons voulu témoigner de notre solidarité avec les victimes en annulant immédiatement l’inauguration de la salle Jean-Macé. Les drapeaux de la mairie ont été mis en berne et une centaine d’autres a été distribuée quelques jours après aux commerces du centre ville pour arborer fièrement nos trois couleurs.

Plus que jamais l’unité doit régner et en cette fin d’année la discorde ne devrait pas avoir sa place notamment dans le débat local. C’est pourtant une toute autre voie que les élus d’opposition ont choisi de prendre, en continuant à agiter l’épouvantail de la fermeture du parking de la Libération.

Sur ce sujet, les engagements de la municipalité restent les mêmes. Le parking de la Libération ne fermera pas, il n’en a jamais été question et dire le contraire, c’est mentir aux Saint-Rémois.

Concernant la zone des Cèdres, aucun projet ne verra le jour sans l’assentiment de la commission spécialement créée pour réfléchir sur ce dossier. Cette commission est très représentative des Saint-Rémois. Elle est composée de 25 membres dont 12 élus de la majorité et de l’opposition parmi lesquels nous pouvons citer Henri Milan, Angeline Ingoglia ou Frédéric Pons. Parmi les 8 personnes qualifiées participantes à la commission, 2 ont été choisies par cette même opposition qui dénonce le projet « fantôme » de la Zac des Cèdres.
Détail révoltant et qui démontre une fois encore que l’opposition n’est pas à une contradiction près : certains élus qui siègent aujourd’hui au Conseil municipal et qui sont les fers de lance de la pétition « anti-fermeture du parking de la Libération » étaient déjà élus sous le mandature de Lucien Palix. Alors dans la majorité, ceux-là même qui crient aujourd’hui au loup avaient voté pour la création de 250 logements sur cette même zone des Cèdres.

Avec l’opposition municipale, la vérité d’un jour n’est définitivement pas celle du lendemain.

Expression de l’opposition municipale – Tous pour Saint-Rémy

Nous sommes 6750 à avoir signé la pétition pour le maintien du parking de la Libération.

Pour l’activité économique de Saint Rémy, pour ses commerces, pour ses entreprises de restauration et d’hôtellerie, pour sa vie associative et culturelle, il est indispensable non seulement de conserver, mais d’étendre et d’aménager ce parking en cœur de ville.

L’actuelle municipalité projette d’y construire de nouveaux logements et de réduire de façon drastique le nombre de places de parking disponibles. Pas d’extension, au contraire, alors que c’est une nécessité évidente les jours de grande affluence comme les marchés du Mercredi, les manifestations festives ou lors de la haute saison touristique et bien sûr pour le confort et la sécurité de tous les Saint Rémois.

En signant cette pétition, vous avez affirmé votre volonté de garder cette zone de stationnement. Vous pouvez compter sur toute l’équipe de « Tous pour Saint Rémy » pour porter votre voix au plus haut niveau

Lors de la Fête des Lumières, samedi 12 décembre, nous avons tous pu constater que celle-ci fut une réussite grâce aussi à ce parking de la libération qui a permis aux saint-rémois et aux habitants des villages alentour de nous rejoindre et de rendre encore plus vivante cette manifestation qui est un moment fort de ce mois de décembre.

Nous resterons vigilants et à votre écoute.

Nous vous adressons nos souhaits de Joyeux Noël et de bonne et heureuse année 2016.

Henri MILAN, Danièle AOUN, Pierre GUILLOT, Angeline INGOGLIA,
Michel GAY, Jordane MARSOT, Frédéric PONS, Martine PASCAL.

Expression de la majorité municipale

Halte à la désinformation !

Il y a deux types d’élus : ceux qui travaillent concrètement sur les dossiers pour trouver des solutions aux problèmes de leurs concitoyens, et ceux qui manipulent l’opinion pour servir leurs desseins politiques. Henri Milan appartient définitivement à la 2e catégorie ; en témoigne la pétition présentée aux Saint-Rémois (et signée par de nombreux touristes) au motif mensonger que notre municipalité prévoirait de fermer le parking de la Libération.

Nous sommes bien placés pour savoir que la ville a besoin de places de stationnement : c’est précisément pour cela que nous avons ouvert l’extension du parking de la Libération en 2011. Nous ne comptons d’ailleurs pas nous arrêter en si bon chemin : des travaux vont bientôt commencer au parking Camille-Dourguin pour créer plus d’une dizaine de places en plus. Comme annoncé lors de la campagne électorale, nous disposerons de davantage de parkings en fin de mandat. La peur de la pénurie, brandie par M. Milan, est donc totalement infondée.

Nous savons aussi que l’aménagement d’un parking très coûteux, destiné à absorber l’afflux de véhicules pendant quelques mercredis matin du mois d’août, ne constitue pas à lui seul une gestion responsable d’une commune. En effet, trop de Saint-Rémois sont amenés à quitter Saint-Rémy, ne pouvant plus s’y loger à un prix raisonnable. Cette pénurie de logements accessibles est bien réelle, n’en déplaise à cette opposition déconnectée de la réalité qui soutient une pétition portée par ceux qui n’ont aucune difficulté à habiter sur la commune.

C’est pour réfléchir au meilleur consensus, tenant compte des besoins des commerçants, des touristes mais aussi des habitants et des entreprises, que nous avons créé une commission extramunicipale chargé de réfléchir à l’aménagement du quartier des Cèdres qui comprend le parking de la Libération. Son rôle est d’établir un projet global, qui sera soumis ensuite à l’approbation des élus municipaux.

L’opposition fait justement partie de cette commission, où elle ne manque pas de s’exprimer. La pétition mensongère diffusée depuis deux mois n’est donc qu’une polémique artificielle, relayée dans le seul but d’exister politiquement.
Pour s’en convaincre définitivement, il suffit de se rappeler qu’en mars 2005, la majorité municipale de Lucien Palix, dont faisaient partie Jordane Marsot et Michel Gay, membres de l’opposition actuelle, a approuvé la création d’un projet immobilier de 250 logements dans le quartier des Cèdres !

Expression de l’opposition municipale – Tous pour Saint-Rémy

Au 10 octobre 6567 !

Nous sommes 6567 à avoir signé la pétition pour le maintien du Parking de la Libération.
Pour l’activité économique de Saint Rémy,
pour ses commerces,
pour ses entreprises de restauration et de l’hôtellerie,
pour sa vie associative et culturelle,
il est indispensable non seulement de conserver, mais d’étendre et d’aménager ce parking en cœur de ville.
L’actuelle majorité municipale projette d’y construire de nouveaux logements et de réduire de façon drastique le nombre de places de parking disponibles.
Pas d’extension au contraire, alors que c’est une nécessité évidente les jours de grande affluence comme les marchés du mercredi, les manifestations festives ou lors de la haute saison touristique et bien sûr pour le confort et la sécurité de tous les Saint Rémois.
Le groupe d’opposition continuera à agir afin que le maintien et l’aménagement du parking de la Libération sur le site des Cèdres soient définitivement actés.
En acceptant de signer la pétition, vous avez manifesté votre volonté de garder cette zone de stationnement.
Vous pouvez compter toute l’équipe de « Tous pour Saint Rémy » pour porter votre voix au plus haut niveau.
Nous remercions tous les commerçants, toutes les associations et tous les Saint Rémois qui se sont mobilisés, et qui sont eux, conscients de l’importance cruciale de ce parking.

Venez nous rejoindre sur nos réseaux sociaux , Facebook et Blog

Les élus de SAINT REMY POUR TOUS
HENRI MILAN DANY AOUN CHRISTIAN GUILLOT
ANGELINE INGOGLIA MICHEL GAY JORDANE MARCEAU
FREDERIC PONS MARTINE PASCAL

Expression de la majorité municipale

Trêve de plaisanterie, M. Milan !

L’une des actions fortes de la municipalité a été de créer des commissions extramunicipales. Réunissant des élus de la majorité et de l’opposition ainsi que des personnalités locales dont l’expérience est considérée comme une plus-value, ces commissions visent à garantir un débat démocratique et à aboutir à des décisions partagées sur les dossiers à forts enjeux pour Saint-Rémy.

Les membres de la commission des Cèdres, dont fait partie Henri Milan, mènent donc une réflexion sur le devenir du site. À ce jour, aucun projet et aucune décision n’ont été arrêtés, la commission continue à travailler pour élaborer un cahier des charges. Pourtant, il y a quelques semaines, Henri Milan s’est fendu d’un e-mail à l’attention de tous les membres pour leur dire son opposition. Mais une opposition à quoi, puisqu’aucun projet n’est pour l’instant arrêté et la réflexion toujours en cours ? Ce qui est incohérent dans l’attitude de l’élu d’opposition, c’est que celui-ci n’a fait jusqu’à présent aucune proposition à la commission.

La définition de la démagogie est très claire : « utilisation d’un discours flatteur ou appelant aux passions ». C’est exactement ce que fait l’équipe d’Henri Milan, en instrumentalisant sans cesse la question du logement en général et des Cèdres en particulier. Aujourd’hui, dans un village comme le nôtre, bon nombre de familles saint-rémoises et de très nombreux jeunes ne parviennent plus à se loger. Aucun élu responsable et intellectuellement honnête ne peut faire l’économie d’une réflexion sur ce sujet. Non, la municipalité ne va pas pour autant construire des barres HLM comme le prétend l’opposition et comme on l’entend depuis 40 ans. En 20 ans de mandat, la majorité ne l’a jamais fait et a une autre vision pour Saint-Rémy.

La gestion d’une ville n’est pas une plaisanterie, M. Milan !
Saint-Rémy mérite du travail et du sérieux.

Expression de l’opposition municipale – Tous pour Saint-Rémy

SAINT REMOIS LE PARKING DE LA LIBERATION VA ÊTRE SUPPRIME AU PROFIT DE 250 LOGEMENTS POUR QUI, POUR QUOI ?

Vouloir faire « 200 à 250 logements » pour un village de 11000 habitants paraît être une assez bonne idée en soi. Cependant dans la zone prévue à la place du parking de la Libération et de son extension en terre battue, cela devient une ABERRATION !

250 logements prévus sur 3 ou 4 étages, si mal placés et sur si peu d’espace, ne correspondent ni aux attentes des Saint rémois, ni aux problèmes que cet afflux ne manquera pas de provoquer pour les riverains et le centre-ville.

Avec une densité aussi forte, ne prend-on pas le risque de créer des situations conflictuelles de voisinage ?

Plus INCOHÉRENT, ce projet supprimera définitivement le dernier parking pouvant accueillir à la fois les Saint Rémois et les touristes, qui voudraient se rendre au cœur de notre village, qui est déjà saturé par manque de places de stationnement.

Saint Rémois vous avez l’occasion de manifester votre opposition à ce projet DESTRUCTEUR POUR NOTRE AVENIR, en vous joignant à notre demande d’annulation de ces constructions en l’état actuel.

N’hésitez pas à nous suivre sur les réseaux sociaux et à venir en discuter à notre permanence.

CE NOUVEAU PROJET EST ENCORE PIRE QUE CELUI DE LA ZAC D’USSOL !!!

Les élus de l’Opposition.